Tout commença à la clinique de Konoha. Peu de temps, après l'échec d'une mission de rang S...... Une mission où on devait secourir un ami qui voulait lui-même déserter le village. Chez nous comme la tradition de Konoha, nous n'éliminions pas nos déserteurs, car nous savions qu'il fait partie de notre village respectif. Nous nous considérions comme des frères, qui sont prêts à se sacrifier pour nos camarades. Que ce soit, un méchant ou bien un déserteur, il restera toujours notre frère. Sauf, si le traître venait à pousser le bouchon trop loin, nous serions dans l'obligation de l'éliminer, mais cela ne sera pas une tâche facile.
Ayant non seulement échoué, mais aussi des camarades qui sont dans le coma... Tout cela venait de ma faute. C'est moi qui ai l'idée de laisser mes compagnons derrières, s'occupait du reste, mais ceci dit. Je les avais lâchement abandonné, pourtant, j'étais le chef de trois Génin. Bon sang... Pourquoi ai-je eu cette idée, grotesque. Pourquoi ?! Je pensais avoir tenu compte des informations venant de mon père disant qu'il ne faut jamais abandonner ses camarades. Qu'est-ce qu'il m'est arrivé ? Je me suis jouée des tours ou quoi . Tsss... En ce moment, actuelle, je sentais que mes camarades se montreront rancuniers face à moi, car c'est moi qui leur ai mis face au danger... Pourtant, mon équipe eut la bénédiction d'être sauvée par les trois Shinobi respectifs de Suna. Je citais : Sabaku no Gaara, Temari, Kankurô... Par ailleurs, j'avais tout de même oublié ce détail principal. On doit se battre aux côtés de nos amis et les Shinobi de Suna sont venus nous le rappeler. Je leur devais, une fière chandelle. Merci beaucoup a eux....
Puis en étant assis dans un banc. Je me montrais très stressant, en effet, agitant mes doigts dans tous les sens dont une qui est recouvert de bandage dont une petite baguette vient immobiliser le doigt afin de ne pas rendre la douleur aussi intense. Cette blessure est synonyme d'humiliation envers l'ennemi... C'était affreux... Pourtant, la jeune Sunajin qui avait pour nom : Temari. Une fille ayant le même âge que moi auquel j'ai eu un petit combat contre-t-elle lors des passages des examens de Chûunin. Essayait tout de même de me calmer, en me racontant que j'ai toit cela de mon mieux. Ce n'est pas de ma faute, si mes amis sont dans le chaos, etc. Enchaînant des belles paroles, pour me consoler. Pour ma part, je trouvais cela, totalement inutile. Puis, en n'hésitant pas, je le dis clairement & en face : - Je ne suis pas fait, pour être un ninja
Bien que le ninja me répondît disant, que j'étais ennuyeux. Elle me disait aussi, que je menais cette mission comme un véritable homme, mais une fois de plus, cela ne me surprend pas. Je ne faisais que passer à la santé de mes camarades ou bien... De mes victimes... C'est dur à dire cela, mais il faut assumer. Bref, je ne voulais pas encore entendre les bavardages de Temari, même s'il elle m'a rendu un très très grand service. Je préférais, me lever, mettant mes mains dans mes poches, comme je l'ai fait d'habitude et partir loin de cette clinique qui ne me rend pas très à l'aise. Puis parcourant quelques mètres, au prochain mur, j'apercevais mon père, mais je gardais tout de même les yeux baissés. Pas parce qu'il est là, mais le fait de repenser à la souffrance de mes amis... Leur souffrance est bien pire que la mienne, même si mes amis souffrent, je souffre aussi, cependant, je ne peux les comprendre. Car, je vais tout de même l'avouer. "Je suis un lâche"
Depuis la présence de mon père, je m'arrêtais pile au moment où il allait parler. Et, j'ai bien eu raison de l'écouter, car mon père a raison et il a toujours raison. Ce qu'il disait, c'était des mots qui prenaient uniquement quelques secondes et pourtant, ces secondes-là venaient d'amplifier la douleur mon être. Gardant la tête froide, je baissais la tête tout comme les yeux. En me traitant de lâche, il n'avait pas tort & loin d'avoir tort même. Pourtant, il me disait que je n'étais pas uniquement un lâche, mais aussi que je ne suis pas fait pour être un leader, disant même qu'ils chercheront un autre leader beaucoup plus compétent que moi. Et il n'hésitait pas à soulever les points de ce que m'a dit Temari et de les altérer beaucoup plus. Je sentais que ma tête allait exploser. Je souhaiterais mourir avec les autres camarades qui se sont battus avec moi. Je n'ai rien à faire dans ce monde, si je sortais vivant de ce combat, je suis bien pire qu'un lâche tout comme une rumeur l'indique. Croc-Blanc de Konoha fut l'exemple de cette rumeur. Cependant, une petite nouvelle arriva, est-ce une mauvaise nouvelle ? Si oui, je ferai bien de m'égorger la gorge avec un kunaï.
En ouvrant la porte sauvagement, j'entendais, alors le souffle de notre Hokage respectif. S'inspirant de l'air & soufflant à la fois, j'avais l'impression qu'elle était contente. Contente de quoi ? De la mort de nos camarades ? Puis en prenant le temps de s'assoie dans le banc où j'y étais il y a quelques minutes, elle m'annonçait une nouvelle... Vraiment positif. Cette nouvelle venait de me dire que Chôji & Kiba sont en vie ! Bon sang, je n'y croyais pas. Si cela avait été une blague, elle m'aurait marché, mais je penserais qu'elle de mauvaise qualité. Mais apparemment, l'assistante du Hokage nommée Shizune arrivait en se précipitant donné la nouvelle en passant par le couloir s'y trouvant mon père. Elle annonçait en se montrant joviale. Que le reste de mes compagnons, est en vie comme Naruto Uzumaki qui vient à peine de revenir avec Kakashi Hatake. Neji Hyûuga ressuscite. Pourtant, j'avais les yeux fermés et je repensais aux mauvais souvenirs, mais depuis que ces paroles-là ont été prononcées. Elle venait rendre flous tous les combats avec les sbires d'Orochimaru. Pourtant, ce paysage "flou" on dirait une mer venant inondée ces mauvais souvenirs. Mais, c'était des larmes... Des larmes de joie ! Au moins, si on a échoué à cette mission... En tant que chef... Je me sentais ravi, car j'ai eu le courage de faire revenir mes compagnons sain & sauf. Puis, je me promets de mettre cette mission à bien. Tel, l'attribut d'un vrai chef. - Grghh... Je mettrais cette mission à bien, la prochaine fois
Ayant un ton chaleureux, mais aussi avec des cordes vocales très tremblantes, malgré les larmes qui coulent synonyme de joie & de fierté.