I don't need love

Il fallait simplement que j’oublie, que j’abandonne cette idée saugrenue qui avait osé germer au fin fond de ma tête et de mon cœur. C’était tout simplement intenable, ma vie se résumait-elle de cette façon ? Devais-je constamment sourire, positivé en toute circonstance pour montrer que je me fiche de ce qui est dit autour de moi ? Les années et les jours défilent, grain par grain le sablier du temps m’impose des épreuves plus difficiles. Plus dure à tenir. Je tente de canalisé ma colère, je tente de renfloué ma peine, je fais tout pour me montrer sous un soleil radieux, irradient le monde d’une bienveillance sans limites. Laissant mes qualités prendre le dessus sur mon aspect si lunatique. J’ai du combattre l’abandon de mes parents. J’ai du combattre la perversité de l’homme…Contre toute apparence ces deux combats sont extrêmement difficile. Je l’admets, je ne suis pas un déchet physiquement parlant. Loin de là, j’use de mon corps pour les missions, pour obtenir des informations sans utilisé un arme ou autre méthode qui pourrait épuiser. Mais leurs regards lubriques me pèsent. J’en ai plus qu’assez de les voir me dévisageait avec une lueur malsaine dans le regard, marre de les voir se pressant vers moi, cadeaux, attention, demande, tout cela m’importe peut. Mon cœur ne ressent rien. Comme si mon chakra l’avait enveloppé d’une épaisse couche de métal.

Pour échapper a ces timbrés de premières, j’avais décidé de m’entraîné ailleurs que sur mon terrain favoris. Les dunes seront parfaites, avec un peu de chance je tomberais sur des vandales ou autre imbéciles qui tenteront de me volé un petit quelque chose. Je ne refuse jamais un combat, cela me permet de m’entraîné, même si pour ces brigands de bas étages, je n’aurais nullement besoin de mes capacités. Un couteau, rapidité, agilité et mes talents au corps a corps seront largement de taille face a eux. Pourtant, malgré cette pensé d’intense sécurité et de confiance en moi, je ne pu me résoudre à les faires apparaitre. Ces deux sphères de la taille d’une bille, tournant autour de moi comme deux petits oiseaux amoureux. Marchant de longues minutes dans l’immensité de sable qui entouré Suna, je ne fus pas satisfaire du lieu. Ne cherchant rien de précis pourtant. Mon instinct parlé souvent pour moi, comme à mon habitude, je réfléchissais souvent et pourtant mes actes eux l’étaient rarement.  Soudainement, je ne bougeai plus. Mes iris violets ne quittait pas du regard ce qui se trouver face à moi.

Détaillant ce que je voyais, un sourire éclaira mon visage basané, face a moi, une sorte de mini montagne, comme si le désert avait créer une dune si immense que les rafales de vent l’avait séché sur place, lui procurant une armure de terre. Armure de sable, comme celle que le Kage créer pendant les combats pour se protéger, ceci était plus que parfait pour mon entraînement. Mes iris se posèrent sur les deux billes, celle-ci dansèrent quelques secondes avant de prendre une ampleur considérables,  devenant aussi grosse qu’une roue de charrette. Quand ce fut le cas, elles se séparèrent, en deux, en quatre, en six, en huit, en dix, en douze paires. Vingt-quatre sphères de métal était dans les airs attendant l’ordre que mes mains et mon chakra aller leurs donner. Pour débuter, je fis venir à moi deux par les deux les sphères. Les propulsant contre la dune durcie. Les bruits qui suivait résonné un tant soit peut mais je n’y prêtais aucune attention. Mon manège dura une bonne demi-heure. Je désirais améliorer mon lien avec mes créations de métal ainsi que la vitesse d’envoie sur l’ennemie.  Je fis sortir toute les sphères ancré dans le sable, elles laissèrent des trou dans celle-ci d’une petite profondeur, laissant les billes d’acier derrière moi en suspend, je posais ma main sur la paroie durcie pour examiné les trous. Faisant un rapide mouvement des mains, les billes entrèrent en actions, me visant cette fois.

J’améliorais mes réflexes, mon agilité, mon endurance et surtout moi…Quand je pris la décision de me posé, pour reprendre des forces et laissé mon chakra en paix quelques secondes, jamais au grand jamais je n’aurais pensé que des imbéciles de brigands prennent la décision d’attaquer maintenant. Sortant du sable comme de vils serpents, leurs regards sombres brillaient d’excitation.

Merde… Fis je en grognant alors que j’étais dos contre la parois. Il m’entourait, ne me laissant que le simple choix de grimpé la dune sèche, de me posté en haut et de tenté de les abattre un par un. Ou du moins comme je peux.

Pas le choix, je sortie de quoi m’aidé a grimpé la dune de sable, les trous fait précédemment me furent très utile, quand ils virent mon stratagèmes, ils se lancèrent  à ma poursuite. Recréant quelques sphères au comble d’un immense effort, je sentis que j’étais le sommet. Enfin en haut, la dune semblait plus plate, essoufflé, le rideau de cheveux nacré me tombant sous les yeux, alors que je pensais être à l’abri, je me sentie partir en arrière, tournant rapidement la tête en arrière, une main presque irréelle avait enserré ma jambe comme étau. Ne retenant un léger crie, mes sentiments présent, aller une nouvelle fois me joué des tours. Mon chakra s’emballa face a ma peur soudaine, soulevant les armes caché dans ma tunique, alors que la tête du briguant apparaisse face a mes iris violacés, un sourire sur ses lèvres qui partie rapidement. Je ne sus pas ce qui se produisit, des cris, des bruits sourds, la pression sur ma jambe avait disparue.
Me calmant, la seule chose que j’avais réussie à entendre c’était une voix, une voix d’homme inconnue, m’avait-on sauvé ? Je sais que durant l’ascension de cet amas de sable, j’avais entrainé certains brigands au sol les culbutant avec mes sphères (‘--) mais les autres…

Quelqu’un m’avait aidé à les faires partir. A bout de souffle, ma respiration reprenait son cours, la tête baissé, je me relevant titubant un peu, alors que ma chevelure nacré dansé au gré d’une fine brise qui venait d’apparaitre, je perçu une silhouette non loin de moi. Tout aussi bien il avait assisté a mon entrainement depuis le début.

Je…heu…Merci… Fis je en tentant un sourire ne sachant pas s’il avait mis en déroute ses imbéciles.
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I'm not Angel

Le regard n’aide pas, le regard n’est rien, il nous renvoi une image, une simple image, une image peut être dissimulée, les yeux ne montrent pas ce qui se cache dans le cœur des autres. Il ne montre par leurs intentions. L’impassibilité de l’homme ne suggère aucunement si ses intentions seront bénéfiques ou non. Nombreux sont ceux et celle qui sont capable de dissimulés leurs ressentie, moi ce n’est  pas mon cas. J’ai la fâcheuse tendance de ne pas me contrôlé. Même si ma colère est enfuie au tréfonds de mon âme, je ne peux pas nier que ma bonté est encore trop présente. Je ne vois que le meilleur des autres, je ne regarde jamais leurs défauts, même les plus apparents. Pourtant, je devrais être plus méfiante.

Surtout aujourd’hui, mes iris violet se posé sur la masse noire posté près de moi, sans un mot, il tourna les talons et passa devant moi descendant de l’immense colline de sable, ses pieds s’enfoncé dans le sable ; prenant la direction opposé à la mienne. Alors que ma respiration reprenait doucement son ancien rythme, je me levais, balayant d’un geste la chevelure de nacre que m’imposait ma tête. Avançant un peu, titubant légèrement, je ne devais pas me laissait abattre, glissant au sol de la dune, je suivais l’homme. De dos, la masse sombre, masculine, était enroulé dans une cape couleur de nuit, les traces qu’il délaissé sur son passage était profonde indiquant que sa masse musculaire et pondérale était sans nulle doute surdéveloppé. Continuant sur se spas, je me doutais qu’il avait ressentie que je le suivais tant bien que mal, ma propre masse musculaire étant plus légère je n’eu aucun mal a posté devant lui. Posant un bras devant lui sans pour autant le touché. Toujours caché sans sa cape immense.

Je veux juste vous remercier…vous n’étiez pas obliger de m’aider Soufflais en abaissant mon bras.

Il ne prononça pas un seul mot, il captura mon bras d’un geste vif, le tordant aussi facilement qu’un morceau de bois, je me sentie fléchir au sol, sans un mot, alors que la chaleur du sable effleuré mes genoux.

Je n’ai pas l’habitude de prendre un butin de chair Siffla la voix masculine, presque serpentaire alors que deux iris de couleurs verdâtre me fixait volontairement. Après tout pourquoi pas…Tu me dois la vie…ça peut être un marché intéressant. termina l’homme en révélant son visage.

Mes pupilles se posèrent sur un visage carré, sa peau mordorée ornée de plusieurs balafres, ses yeux était étiré comme ceux des reptiles, d’une couleur verdâtres, ses lèvres fines étiré un sourire lubriques. Voila que cela recommençait, ses sourires…il m’insupporte, je pensais fuir ces rictus pervers en prenant la route des dunes, mais non…Non et encore non. Mon bras était comme orné d’un étau, comme ma jambe précédemment, il souriait d’une telle manière, comme si je n’étais qu’une simple poupée. Les battements de mon cœur s’accéléré comme pas possible, il baissa son visage a hauteur du moins et une halène chaude et acide effleura mon visage.

Tu sera a moi le temps de te débarrassé de cette…dette Dit il lascivement en caressant ma gorge avec une belle lame qui reflétais la couleur de ma peau et l’ombre de mes iris.

Heureusement pour moi, dommage pour lui, la frêle femme que j’étais, celle qui ne contiens pas ses émotions et dont le chakra et le magnétisme s’emballe dans ce genre de situation, je ne fis pas exprès, et démagnétisa tout ce qui était composé de métal autour de moi. Sans avoir que dans l’ombre des bosquets asséché par le soleil se situé un shinobi aussi sombre que celui-ci qui eut la surprise (ou non) de voir le peu de métal autour de lui qui s’agite sans son autorisation. Alors que la lame imposé sur ma gorge tombé au sol, sa main elle me saisie les cheveux et il m’enfonça la tête contre le sable.

Comme c’est amusant, elle panique…Si je n’étais pas intervenue sur ces chiens des sables tu n’aurais pas survécue une seule minutes, c’est ça de s’éloignée de son petit village adoré pauvre gourde. Ricana l’homme en relevant mon visage tirant ma chevelure de nacre.

Serrant les dents, je le fixais sans sourcillais, sentant l’immense colère qui englobait mon cœur de métal, il ria a gorge déployé, de manière démente, il jubilait de me voir a ses pieds tel une frêle poupée de tissus. Il recommença sa petite expérience, plongeant ma tête une nouvelle fois dans le sable dur. Je sentis le gout de fer du sang qui s’écoulait dans ma gorge, avec une force spectaculaire il me balança quelques mètres plus loin. Ma chute fut amortie par des pierres et du sable, mes mains prirent appuie sur des broussailles piquantes, alors que les aiguilles naturelles se plantaient dans mes mains, je posé sur lui mes iris violacé, ma bouche se tordis en un sourire carnassier. Ou est la petite Tomoyo qui sourit tout le temps ? Qui offre sa main a ceux qui en ont besoin ? Qui taquine avec nonchalance ceux qui l’entourent ? Et bien, là en cet instant, vous faite face a la fille des déserteurs, celle qui a du décuplé ses forces pour faire taire les insultes. Celle qui a failli assommer la garde lors de ses tests d’affinité. Se remémorant son Jutsu précédent, fait par inattention, utilisant son Jishaku ninpou, elle re-magnétisa tout le métal près d’elle et donc la lame au sol près de l’homme sombre, sans se délaissé de son regard vert.  Alors que la lame s’élevait derrière le sombre personnage, le Bukiame se mettait en route, cette technique je ne contrôlais pas, ou que je contrôlais en laissant ma colère prendre le dessus. Tout objet en métal tremblais, se soulevant et sortant de leurs cachettes.

Le plus drôle dans l’histoire c’est que malgré la légèreté de ma tenue vous n’imaginez pas le nombre de shuriken et de kunai que je peux y caché et les voir sortir de ma tenue de cette façon, avec facilité, tremblant quelque peut, mais pointé sur l’homme qui ne bronchait pas mais dont les pupilles furent plus que surprise. Alors que ma concentration était focalisée sur la lame derrière lui, un sourire mauvais se dessina sur mes lèvres tandis que je me levais comme une marionnette.

Je ne voulais que te remercié…Mais je me vois obligé de te montré ma gratitude a ta manière Fis je en penchant la tête sur le côté.

Il ria une nouvelle fois, faisant apparaitre deux énormes boules de feu entre ses mains, prêt a faire flamboyé et fondre mon Kinton ? Non il n’était pas aussi stupide…De toute manière il n’aura pas le temps, d’un bref mouvement sec de la tête, la lame derrière lui s’enfonça rapidement dans son corps, ses yeux s’écarquillèrent, tandis qu’un sourire mauvais continué de joué sur mes lèvres, je saisie un un kunai en l’air laissant mon magnétisme en marche, les objets de métal me suivirent docilement comme une nuée d’insecte. Je saisie la pointe de la lame qui était enfoncé dans son corps et la fit traversé, le sang sortie d’entre ses lèvres. Levant la jambe j’assainie a son corps un coup rapide, le mettant au sol.

Je vais te laissé là…oui…tu va te vidé lentement de ton sang,  je vais laisser les charognards du désert en finir a ton insipide carcasse. Les pervers dans ton genre m’insupporte, un simple merci résonne a vos oreilles comme un « prenez mon corps maitre… » cela me chagrinne, mais la sensation de te voir mourir me donne encore plus envie de donner a ces autres hommes un fin aussi douce que la tienne. Ta de la chance je suis épuisée… Terminais je en tournant les talons.

Pensant que son heure était venue, je repartie pour me posé quelques minutes, j’avais trop utilisé mon chakra est un tel effort m’avait épuisée. Alors je ne fus pas en mesure de voir qu’avant de mourir le ténébreux et malsain serpent du désert, utilisa son dernier jutsu, une immense boule de feu se former sur sa main, il lança la dite sphère, énorme vers moi dans un dernier crie. C’est ce cri qui me poussa a tourné mon visage une nouvelle fois vers l’homme a terre.  Ce que je vis ce n’est que le rouge du feu.
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So crazy Bitch

Je reçus l’attaque de plein fouet…Enfin l’attaque…Il faut admettre que je l’avais bien amochée et que cette dernière réplique n’était rien d’autre qu’un dernier cri de rage avant de se mourir dignement. L’homme du désert était donc faible et sa sphère infernale brûlante ne fit que m’assommer. Normal, en raison de ma propre faiblesse suite à ces deux combats trop rapprochée à mon gout. Evidemment à vouloir fuir les autres je m’engageais dans de salle draps. Quelque peut sonner, je peux vous dire que lorsque vous gisez sur le sol les yeux clos et les lèvres entre-ouvertes d’où s’écoule un mince filet de sang au pénible goût de fer et bien vous ne rêvez pas. Ou alors il faut arrêter le saké les enfants.

Je ne sais pas exactement combien de temps je suis restée inconsciente, mais dans un sens cela m’a permis de retrouver quelques forces. Levant doucement la tête en prenant appuie sur la paume de mes mains que j’enfonçais dans le sol rocailleux et sableux. Je respirais doucement, cherchant l’air, l’oxygène qui pourrait agrémenter mes poumons enflammés. J’entendais mon cœur qui battait avec une force incommensurable. Cela résonné si fort à mes oreilles qu’une légère migraine s’empressa de prendre place dans mon esprit. Secouant la tête quelque peut comme pour la chassé, je me sentis faible et sans valeur, la tête me tournait et je n’osais pas ouvrir les paupières de peurs de voir le paysage tourné sur lui-même comme un couple qui danse follement sur une musique classique. Pourtant il fallait bien que je bouge.

Une voix, une voix masculine parvenaient au creux de mes oreilles…Parano….Voilà ce que j’étais voilà ce que je ressentais. La peur tiraillait mon estomac et mon esprit joué avec mes nerfs sans l’ombre d’un sourire. Se vivifiant de me voir ainsi faible, folle, pleine de sang et d’hématome. Si Sempai me voit dans cet état, il va montrer son inquiétude en me passant un savon aussi long que ferme. Un soupir s’échappa de mes lèvres. Aucune voix n’était là. Ce n’était que mon imagination.

Les hommes ne méritent pas les femmes…ils sont trop odieux, trop machos, trop sûrs de leurs petites personnes. Ils pensent qu’une femme leur ai acquis dès qu’ils ont croisé leurs pupilles colorées et qu’un mince sourire s’est étalé sur leurs lèvres. Des menteurs, des joueurs, ils transpirent la malhonnêteté et la perversité. Incapable de dire ce qu’ils pensent réellement, fuyant les problèmes comme des gibiers qui fuient leurs chasseurs. Tu en as la preuve vivante devant toi…Aucun ne respecte les femmes, alors qu’elles sont la source de la vie. Bat toi, montre-leur que toi aussi tu peux jouée avec leurs cœurs pour mieux le broyé ensuite.. murmurait mon esprit d’une voix trainante, persiflant, presque doucereuse et pleine de hargne.

Le pire, c’est que j’avalais chaque mot, je me levais, titubant quelque peut, posant mes iris violet ou une lueur malsaine brillaient. M’avançant vers le futur cadavre, je voyais le corps qui bougeait doucement, montrant que ce salaud respiré encore. Un sourire mauvais naquie sur mes lèvres et je me baissais à hauteur de son visage.

Raté…Voilà ce que tu es…Même dans ton dernier souffle tu ne m’aura pas emporté avec toi...J’espère que ta mort sera douloureuse et atroce, et que ta vie dans l’au-delà n’en sera que pire, car les ordures dans ton genre ne mérite même pas la clémence. Mais… Fis je en ponctuant le tout d’un petit rire. Mais remercie moi, je ne tue pas complètement. Je te laisse choir dans le désert. Sois sage petit serpent. Dis je en passant ma langue sur sa joue avant de laché son visage sans aucune douceur.

Me relevant, je tournais mes iris violet vers les alentours, voyant une silhouette au loin, environ 500 voir 600 mètres. Haussant les épaules, je n’avais nullement envie de me confronté de nouveau. Je pense que mon quota d’entrainement est plutôt bien dépassé pour aujourd’hui. Titubant de nouveau je me mis en route pour Suna, objectif ? Me lavé et me soignée ses ecchymosez avant de rencontré Sempai par erreur et de me prendre un sermon. L’esprit encore trop embrouillée par mes propres pensées, il valait mieux que je ne croise aucun homme pour le moment.

(c) fiche par ocean lounge