Moegi & Tomoyo

Ta le chic pour me refilé tes missions de seconde zone. Fis je les bras croisé dans la tour en posant mes iris violé sur les prunelles rouge d’une jeune femme dont les cheveux bleuté coupé court ne bougeait jamais d’un poil.

Rectification, je te permet de sortir de ta cuisine. Répondit elle avec une pointe de sarcasme.

Secouant la tête, mes cheveux blanc s se balancèrent en arrière en même temps que je tournais les talons. Je descendis les marches de la tour pour me rendre dans un village près de Konoha. Par habitude, je dus passer chez moi. Saisissant mon sac, je mis dedans pas mal d’arme. Comme a mon habitude, quelques affaires, une couchette, des papiers et bien évidemment quelques épices et autre besoin culinaires.
Partant enfin en mission, encore une fois grâce, ou à cause de, mon amie Reiko. Malgré une certaines animosité, je l’apprécier beaucoup. Elle m’avait souvent aidé, et me sortait souvent de ma torpeur en me demandant de m’entraîné avec ses élèves. Chose que je faisais avec le sourire. Dans un sens ça m’entraîné et je pouvais voir si un jour je devenais plus gradé et bien…Enfin si moi aussi un jour je pourrais gérer des enfants. L’instinct maternel et protecteur je l’avais déjà, il ne manquer que les enfants en question. Quand je fus arrivé près du village, je me mis en quête d’accomplir ma petite mission de manière organisé. Je délivré le message attendu sans une ombre au tableau.

Traversant la forêt dense du pays du feu, je décidais de me posé quelque peut. Je me mis à la recherche d’un coin tranquille, je du traversé la forêt un bon nombre de minute, suivant mon ouïe et mon instinct. Trouvant enfin ce que je cherché, un sourire se dessinais sur mes lèvres. Mon sac tomba dans un bruit sourd au sol, amorti par la douceur de l’herbe. Face à moi, des rochers immenses se dressé, une cascade d’eau fine et claire s’en écoulait au centre, au bout de la cascade un petit trou d’eau ou des poissons dansé sagement dans l’eau entre les algues verdoyantes. Les rayons du soleil qui traversé les arbres dense, donnaient des reflets de diamant sur la surface humide. Retirant mes chaussures, je fis glissais mes pieds bouillant dans la fraicheur de l’eau, ma main saisissant le sac que j’ouvris pour me désaltéré à grande gorgée, poussant un soupir de satisfaction, je me laissais tombé en arrière, les pieds toujours dans l’eau claire.

Alors que je somnolais, j’entendis des bruits, puis des petits éclats de voix, un craquement de branche. Etant pas loin de Konoha, je me doutais que c’était surement des ninja, voir même en entrainement de futur petit shinobi. Ouvrant les yeux, je vis passé quelques ombres rapides dans les branches, un sourire se dessina sur mes lèvres quand une des ombres se loupa et tomba vers le sol avec rapidité. Ecarquillant les yeux, je me relevais rapidement et évidement je reçu l’enfant en question qui s’écrasa de tout son saoul sur mon ventre. Souffle coupé, je posais mes iris violet sur l’enfant.
Il s’agissait d’une petite fille, elle parut paniquée, et sortie du dessus de mon corps pour tenter de fuir, tendant les bras en avant je pris la parole de manière calme et détendu.

Tu ne t’es pas fait mal ? ça va ? Demandais je tandis que ma seconde main se massais le ventre doucement avant de reprendre. N’ai pas peur, je ne suis qu’une Shinobi de Suna qui se fait une pause. Ajoutais je en riant quelque peut.
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Moegi & Tomoyo

La douleur de mon ventre ne dura pas, en même temps elle n’en eu pas le temps car la petite fille bondissait comme un félin, toutes griffes dehors montrant une détermination sans faille digne du village du feu. Provoquant en duel l’inconnue que j’étais à ses yeux. Un sourire presque tendre naquit sur mes lèvres délicatement rosé. Alors c’est cela de voir une jeune élève en pleine fleur de l’âge qui désire avec ardeur montrer sa valeur au combat, tentant d’être digne de l’apprentissage qu’elle aller recevoir ou qu’elle avait déjà reçu. Dans ces moments là je comprenais plus que jamais mon amie. Oui, je comprenais pourquoi elle tenait tant à me refilé des misions routinières, lui permettant ainsi de mieux entraîné ses élèves.
Baissant légèrement les yeux vers le sol verdoyant, je me sentis presque coupable, l’échec n’est pas insurmontable. Si je n’étais pas aussi incontrôlable à cause de mes sentiments je serais vite monté en grade. Mais qu’importe, je savais que je ne pouvais pas prétendre a un titre plus élevé que celui que j’avais obtenue jadis. Tentant de calmé l’ardeur et la détermination de l’enfant, je tendais encore une fois de bien lui prouvé que je n’étais pas là en mal. Bah non, je prenais une pause en fait.

Allons calme toi, je ne viens pas attaquer Konoha. Fis je avec un sourire amusé au lèvres.

Quand bien même, venir attaquer un village seul…Surtout Konoha, avec comme Kage la grande Tsunade, quand on connait les capacités du Ninja copieur, la réputation de Uzumaki Naruto et tout les autres. On attaque pas un tel village. De plus le pays du feu et le pays du vent s’entende parfaitement bien, qui je serais si je venais troubler cette quiétude ? Sortant une feuille de mon sac, je la tendis à la jeune fille.
Je ne te mens pas ! Regarde c’est mon ordre de mission, je devais aller dans un village voisin près de Konoha pour arrêté un groupe de bandits qui taxé les habitants. Une simple mission routinière de bottage de derrière. Argumentais je toujours souriante.

J’espérais ne pas devoir en arriver aux mains, c’est qu’une petite fille, il me suffirait de la saisir par le col, de la soulevé du sol pour qu’elle se mette a gigoté en couinant. Elle devait avoir une douzaine d’année pas plus pas moins. Elle avait une sacré frimousse et malgré un début de fort caractère. Ça me rendait nostalgique. Mes souvenirs d’enfance refaisait surface, je me revoyais à son âge, apprenant le taijutsu car le test de la feuille n’avait rien donné la première fois, mon chakra s’était montré bien après.

Allons on ne pas se battre, je suis pas ce genre de Shinobi. Dis je en riant gardant un visage calme et souriant. Puis elle parut se calmé, s’excusant et se rappellant de l’amitié en Suna et Konoha. Ne t’inquiéte pas, tu ne ma nullement offensée. Au contraire, ton village peut être fier de toi. Je me nomme Tomoyo Kawachiru, mais appelle moi Tomo. Dis je en lui tendant une main amicale.

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Le lien qui unit Suna et Konoha était autrefois d’une telle fragilité que je n’aurais jamais était surprise d’avoir un tel accueil de la part d’un Shinobi quelque en fus son âge. A notre grand bonheur depuis que Sabaku no Gaara est devenue le Kage. Les rivalités entre le pays du vent et du feu sont plus sereine, comme des enfants qui se chamaillent pour déterminer qui est le plus fort. Pour l’instant, je ne pouvais que sourire, réfléchie quelque peut face à la petite fille qui se situé devant mes iris violet, elle avait surement cédé a un moment de panique. Je ne voyais nulle autre explication à donner en cet instant. Après tout la pauvre avait loupé son saut ou sa course, qu’en sais-je, et avait atterrie sur une inconnue qui se prélassait de tout son saoul.

Apparemment elle n’avait jamais rencontré d’autre shinobi externe, sauf lors de tournoi ou autre événement qui entraine la venue de ninja extérieur. Je pouvais comprendre ce fait et donc sa réaction qui pour moi n’était pas du tout excessive, elle parut plongé dans de grande pensée frénétique, poussa un bref soupire et se présenta à son tour, un immense sourire orné ses lèvres et sa frêle main rencontra la mienne pour s’en saisir et clore cette futile présentation.

Moegi était donc son prénom, je n’avais jamais entendu un tel prénom, plus je regardais la jeune fille plus je la trouvais mignonne et attachante, encore une fois je me complaisais dans la pensée d’avoir un jour des élèves moi aussi. Pour cela il fallait d’abord que je parvienne a montré a Fuma-Sempaï que j’avais évolué et que je contenais mes sentiments. Du moins je savais qu’au cours de ces derniers jours les missions que j’avais effectué c’était infiniment bien déroulé. Sans aucun soucie, je n’avais perdu aucun contrôle, bien au contraire.

La petite fille parut regardé mon équipement avec attention, mes pupilles en firent de même et une légère moue se dessina sur mon visage, avais je réellement pris autant de bazar ? Décidemment j’étais plus qu’extrême dans mes choix de bagages. Pour une mission commune j’aurais du prendre le strict nécessaire. C’est pourtant ce que je croyais avoir fait tantôt. Haussant sourcil, je me rendis compte que ce n’était pas le cas…Un bref revirement de mémoire me rappela que j’avais amassé pas mal d’objet et d’arme sur les briguant, laissant les choses de valeurs au villageois je n’avais pris que des objets en métal rompu, rouillé et quelques herbes fraîchement donné par un gentilhomme. Moegi me proposa un peu d’aide pour le transport. J’en conclu qu’elle s’en voulait encore de ce qu’elle avait fait auparavant et qu’elle cherché un moyen de s’acquitter.

Tu pourrais m’accompagné alors…Je suis navré je ne sais pas jusqu’ou peux se déplacé une jeune shinobi comme toi. Je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoi que se soit. Commençais en remettant mes chaussures gracieusement et rapidement. Non pas que je remettre en cause des capacités. Tout le monde sait que les Ninja de Konoha sont doté d’une grande force de caractère et qu’ils se sortent de toute les épreuves. Terminais je avec un sourire magnifique sur les lèvres.

Saisissant un sac, ni trop lourd ni trop léger que je donnai avec douceur à la jeune fille. Ma pause étant écourté, il est vrai que si elle m’aide même sur quelques lieux, je serais plus reposé que tout à l’heure. Et sans le vouloir, je lui permettrais de se faire un mini entrainement, accompagné un allié d’un point A a un point B sans anicroche, exploité ses forces en soulevant un sac dont elle ignore le contenue, augmenté son endurance et exercé ces sens.
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La petite fille parut prendre le sac avec facilité, j’en fus ravie, en même temps je n’allais pas lui donner celui qui contenait tout les idioties que j’avais récupéré pendant ma mission. Le sac pesé assez lourdement alors autant que je le charrie moi-même. De plus elle n’allait m’accompagné qu’un temps, donc je serais forcé de les porter seule comme précédemment. Donc je ne vois pas pourquoi je me sentais quelque peut…quelque peut…Bon sang je ne trouve pas le mot qui conviens a ce que je ressentais en cet instant. Elle admettait être costaude, je lui souriais calmement repris d’une voix douce.

Oh mais j’en doute pas, mais une charge en moins est une charme en moins et crois moi, le sac que tu porte est important pour moi. Alors le fait que tu en es la charge est un honneur pour moi. Ce sac contiens la récompense que j’ai obtenue pour ma mission.

Nous prirent alors le chemin forestier, marchant d’un pas tranquille, mes iris violet détaillé le paysage qui s’offrait a moi. Un vert si intense, le gazouillis des oiseaux, la lumière filtrait par les feuilles d’arbres. C’était magnifique, on entendant l’eau qui s’écoulait au loin, les odeurs étaient sucré et fraiche, rien avoir avec la chaleur de Suna, l’odeur du sable, et la moiteur du soleil. J’y étais certes habitué, mais j’adorais les missions éloignée, découvrir la nature telle qu’elle était. Cela me procuré un tel sentiment de bonheur. J’éprouvé une grande admiration pour la nature, j’étais émerveillé par ce qu’elle recelé. Et ça m’insupportait quand on nuisait a sa douceur et sa beauté lors des combats.

En pleine réflexion, la voix fluette de la jeune kunoichi me sortie de ma torpeur, emplie de question, ses yeux brillaient d’engouement. Elle désiré savoir si j’espérais faire quelque chose d’important. Elle avoua qu’elle aimerait être connue pour avoir empêché une guerre ou avoir fait quelque chose d’utile pour le monde ninja. Je comprenais parfaitement. Et non je ne trouvais pas cela idiot de la part .

Quelque chose d’important…Tout est important en ce monde, ce que j’aimerais faire pour notre pays, autant pour Suna que pour les autres, c’est qu’on voit tous la vie et le monde d’un seul regard. Qu’on cesse continuellement de vouloir changé le monde, de vouloir le modelé à l’image qu’on a d’un monde parfait. Le monde est tel quel, pourquoi le changé, pourquoi faire la guerre car on a pas la même vision du monde. C’est idiot, immature et injuste. Fis je d’une voix sérieuse.

Mon Nindo est de voir le monde tel quel, tel qu’il est réellement et pas tel qu’on le voudrait. J’aimerais partager cette vision de la vie avec les autres. Je voulais qu’on arrête de jugé les autres pour le passé, leurs gestes et leurs faits. Il faut voir le monde avec parcimonie. Etre soi même et avoir la notoriété qu’on mérite

Ce n’est pas idiot, certain shinobi plus âgé que toi devrait avoir tes discours. Je trouve cela bien que tu exige autant de toi, tu sera une grande Kunoichi de Konoha si tu te tiens a ton Nindo. Dis je en tournant mes iris violet vers la jeune fille.
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La confiance, ce simple mot doté d’un sens inestimable. La confiance est un pilier des activités interhumaines. Que l’on soit jeune ou vieux, le sentiment de confiance est souvent présent et la question qui en résulte est parfois éludée. Y’a-t-il une confiance mutuelle entre deux êtres qui ne se connaissent que depuis quelques minutes ? À en croire la situation je dirais que oui. Moegi paraissait si heureuse, ses yeux brillaient telles les étoiles du soir que je peux observer de ma fenêtre à Suna. Curieuse de nature, la jeune demoiselle s’empressait de faire durer la conversation frivole qui s’établissait entre nous. Son esprit encore enfantin est un tant soit peu aiguisé tergiversait sur l’environnement de Suna. Du moins c’est ce que je pus en déduire quand elle parla de la vie à Suna en comparaissant à celle de son village natal. Je ponctuais ses arguments avec un sourire presque doux sur mon visage.

En effet, Suna est entourée par un désert de sable, mais tu serais surprise de voir que la vie là-bas n’est pas réellement difficile. Oh bien sur, la température du village du sable est bien plus élevée que celle que tu as pu apercevoir en ces lieux. commençait je d’une voix douce. Et si on vivait mal à Suna crois-tu que je serais présente devant toi ? Le monde Ninja est rempli de mystère, et certains villages aiment garder leurs petits secrets. Comment le pays de la pluie fait pour avoir des légumineux parfaits alors que tout le monde sait que trop d’eau n’est pas bon pour eux ? Comment le pays de la neige survit dans un tel froid ? Tant de questions, tant de mystère est c’est justement ces éléments qui font que ta découverte sur leurs origines et leurs beautés t’émerveillerons. Ne sois jamais pressé de tout savoir, la vie nous permet d’apprendre toujours plus sur le monde qui nous entoure. débitait je d’une voix presque sage.

La fillette passa ensuite sur un aspect plus historique de sa vision des choses, passant un tantinet sur le manque d’information sur certains faits. Comme les bijuu et les jinchuriki. Je comprenais parfaitement l’aspect boudeur qu’elle pouvait ressentir en y pensant. Cette fois ma réponse sera un peu évasive, peut précise, peut objective…Les Jinchuriki…Si ils savaient a quel point je compatie, nombre d’entre eux furent rejetés à cause de leurs situations. Pourtant certains n’ont rien demandé, beaucoup ne se sont pas levée un matin en disant qu’il souhaité abrité le démon a x queues. Je ne comprenais pas pourquoi on pouvait autant le voué de haine et d’irrespect.

Je comprends ta frustration Moegi-chan, mais je dois admettre ne pas trop en savoir sur le sujet. Débutais je d’une voix douce en cessant de marchait, prenant de plein fouet une douce brise sur le visage. Tout ce que je sais c’est qu’il existe 9 démons à queue, Ichibi également nommé Shukaku qui est le démon a une queue, vient ensuite Nibi/Natatabi le démon a deux queues, Sanbi le démon a trois queues, Yonbi celui a quatre queues sans oublié Gobi qui possède cinq queues, Rokubi qui possède six queues et enfin Shichibi pour les sept queues, Hachibi pour les huit et bien évidemment Kyuubi le démon a neuf queue. énumérait je avant de tourné mes yeux violets sur la jeune fille. La peur est compréhensible, mais sache que beaucoup de ces Biju qui sont dans les corps de leurs hôtes, appelé Jinchuriki n’ont rien a envié, certains ont appris à comprendre et a contrôlé leurs Bijuu devenant ainsi de bon combattant. Mais aucun, aucun n’aime être traité comme un monstre. Ils ont besoin d’être vu comme des personnes normales. Personne ne devrait être jugé pour des méfaits commis par quelqu’un d’autre… Fis je sur un ton aussi ferme que sérieux.

Non personne…Et encore moins des enfants, baissant les yeux vers le sol, la petite passa sur un autre sujet ramassant une fleur et compara la couleur a celle de mes yeux, un sourire doux, presque maternel se logea au creux de mes lèvres, je me mis a hauteur de la demoiselle et toucha son nez avec l’un de mes doigts.

Tu aime la nature Moegi ? Demandais je en passant une main sur l’herbe verdoyante.
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J’espérais que mes réponses lui convenaient, mais la jeune demoiselle ne parut même pas y prêter attention. Haussant un sourcil presque vexé. Non pas que j’attendais une quelconque marque de remerciement, mais mon savoir n’était pas universel, j’aurais aimé connaitre son avis sur ce que j’avais pu déblatérer. Bon ce ne fut pas le cas tant pis.

Allez savoir pourquoi ce fut la fleur violette qui attira l’attention de la future Kunoichi, pétale d’un violet quasi semblable a celui qui orné mes yeux, je soupirais intérieurement. Moegi était dans ses pensées, je n’allais pas non plus trop intervenir. Malgré le fait que je devais rentrer à Suna. En temps normal personne ne m’attend à la maison. Mais a chaque mission, Fuma-sempai tente de répondre présent afin de savoir si cela c’est correctement déroulé et si je n’ai pas fait de bêtise…Oui bêtise, quand le Ninpu s’enclenche seul à cause de ma mauvaise gestion de mes émotions ça peut paraitre drôle comme cela. Mais croyez-moi pendant un combat ça peut-être une faille énorme.

La demoiselle me parla alors de son amour pour la nature, enfin surtout pour la vie. Belle façon de penser. J’étais tout à fait d’accord sur ce point, reprenant ma route d’un pas lent pour ne pas la mettre mal à l’aise en étant soudainement pressé. Elle n’avait pas encore passé le test pour connaitre son affinité et donc entrevoir un possible futur.

Je vois… Répondis je quand elle parla de ses affinités et du fait que la nature la guidera.

Cela me rappeler de mauvais souvenirs, ce fut difficile pour moi de décelé mon chakra magnétique et mon Kinton, et j’avais failli assommer bon nombre de Sensai et de Shinobi lors de mon 2e examen, malgré tout ce souvenir là me fit sourire un peu. J’avais laissé parler mon instinct et je ne l’avais jamais regrettée. Dans un sens avant de devenir Metalicana, j’avais appris à me battre au corps à corps et a manié bon nombre d’armes, hormis les katana, encore trop jeune à cette époque. J’avais tout de même gardé cette capacité, cachant pas mal de kunai et autre arme dans ma tenue et mes sacs. De plus mon affinité me demandait beaucoup de chakra, alors savoir se battre et manier le métal autrement qu’avec son chakra ça aide quand on est fatigué ou quand on pense qu’il n’est pas nécessaire de gaspiller son énergie.

Ce fut donc à moi de dire mon impression sur la nature.

Et bien… débutais je en trouvant curieux d’entendre un léger soupir qui s’échapper de mes lèvres. Comme je te l’ai dit précédemment, je vois le monde tel qu’il est, je n’entrevois ni paradis ni enfer, pour moi chaque chose possède une beauté sans pareille et une obscurité infernale. Un équilibre en somme. Une fleur vit pour nous chérir d’oxygène, une abeille la butine pour créer la douceur du miel, le miel nous permet de nous nourrir, le soleil peut autant tué que donné la vie à la nature…la nature donne et prend…elle est un modèle d’équilibre. Je ne vois pas pourquoi on aurait un autre regard sur la nature. Fis je en me tournant vers la jeune fille pour tendre la main.

Nous étions bientôt à la fin de la grande forêt et de ses prairies, l’heure pour moi de récupérer mon sac et de dire au revoir a la petite fille.

Je pense que tu ne devrais pas aller plus loin, merci de ton aide Moegi-chan, ce fut un plaisir de te rencontré et j’espère te revoir bientôt. Dis je à la jeune fille avec un tendre sourire.
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