Tel père , Tel fils ! .

Le pays du fer , originaire d'une contré lointaine était paisible , il faisait bon y vivre et les habitants du se petit village étaient tous chalereux. J'étais dans se tout petit village avec mon père qui était dans sa jeunesse un samurai de grande renommé. Il avait participé a de nombreuse guerre et en était sorti tout le temps victorieux. Un modèle pour tout les samurais du village, il était le percepteur d'une nouvelle façon de se battre au katana. Son enseignement était au niveau de son expérience. Tout les samurais voulaient avoir la chance de pouvoir etre entrainé par lui , et moi son fils jus la chance de pouvoir faire cela. Sa remonté a il y a onze ans , le jour de ma douzième année sur cette magnifique terre.


Mon père avait décidé de m'offrir mon tout premier katana en matière et non plus en bois pour les simples entrainement. L'acquisition de cette arme faisais de moi un autre homme. Je venais de passer le stade de enfant a semi adulte. La manipulation d'une tel arme pour un novice pouvait lui etre plus que défavorable. Mon père ayant commencer mon entrainement par une arme en bois ma aidé a me familiarisé avec cette instrument. Oui ceci était un instrument , meme si aucune mélodie sortait de sa lame , le coté acier de la chose rendait une sorte de mélodie a chaque coup porté.


Le bruit du métal cognant contre un objet faisait un petit bruit sourd. Dans la mythologie , les samurais avait un katana des leurs plus tendre enfance. Ce katana offert de génération de père en fils devait symbolisé l'aboutissement de toute une vie pour le prédécésseur. Mon père venait de m'offrir son propres katana , issu d'un matière provenant uniquement du pays du fer. Il avait été forgé à l'époque par son arrière arrière grand père.


Il portait le nom de Akeichi. Un grand samurai connu pour avoir participé a la Deuxieme guerre ninja. Guerre que les hommes avaient perdu. Les deux protagonistes , arrivèrent a plonger le monde dans un illusion parfaite. Une illusion qui prit fin après la mort de son créateur. Durant la vie dans cette illusion , je n'étais meme pas capable de remarquer que nous vivions pas dans un monde réel. Rien ne pouvais laisser penser que rien de ce qu'on vivait n'été que supercherie. Mais ne nous égarons pas sur une chemin encore que biscornu. Mon père pour mon douzième anniversaire avait enfin eu l'envie de m'enseigner l'art de Laido.


Cette technique était le fruit d'un entrainement long , dur et rigoureux. L'art du laido permet a son utilisateur de dégainer si rapidement son arme qu'il peut parer ou attaquer sans que l'adversaire puisse comprendre. Il fallait arriver dans un état de concentration avancé pour arriver a maitriser ce genre de technique. Mon père était un brave utilisateur de cette technique. L'apprendre a son fils n'était que la juste logique des choses. Mais comment un homme sans femme , qui vivait uniquement de son travail , protéger le village. Il n'avait pas eu une vie facile lui aussi, fils d'un homme qui avait sombré dans le désespoir et la folie apres la mort de sa femme. Mon père avait du se construire tout seul , sans la moindre attache familiale.


Il m'avait raconté notre rencontre pour la première fois. D'après se qu'il m'avait raconté un rayon venu du ciel était venu me posé au centre du village. Mon père n'avait pas très bien vue qui m'avais posé la , il semblerait que la personne qui m'avait posé ici serait un ange. D'ou le nom que je porte aujourd'hui. Je ne croyais pas vraiment a cette histoire et meme si elle était vrai. C'était quand meme difficile a croire surtout pour moi qui était quand meme son enfant. L'apprentissage du Laido n'allait pas se faire tout seul , il fallait que je commence a mis mettre au plus vite.


Mon père me réveilla a l'aube pour partir dans les montagnes du pays pour commencer mon entrainement. La neige , le froid , l'altitude , tout ses éléments allés joué en ma défaveur. Pas habituer a m'entrainer sous des température hivernale , je devais déjà faire un combat contre moi meme. C'était une lutte de l'esprit contre le corps , et je devais arriver a faire cohabiter les deux pour pouvoir réussir. Il le fallait bien , ne serais que pour mon père qui se donne tant de mal depuis le début de ma vie. J'enfilais mon kimono rouge bordé de petite fleur d'oré ainsi que mon pantalon en soie bleu façonné par une vieille dame du village. Mon katana attaché a son étui au niveau de ma taille , mon père entra dans ma chambre pour me faire signe qu'on y allé.


" Fils il est l'heure de partir en direction des montagnes du village. Ton entrainement commence. J'espere que tu es fin prêt ! "
" Très bien père je suis prêt a partir quand tu le souhaite ! "


Un grand homme m'avait dit un jour : que le pouvoir ne l'intéressait pas. Il était selon lui trop compliqué, trop pervers, il était le reflet d'une société malade où chacun s'avilit, pour peu qu'on lui donne une autorité et une liberté d'agir.Voilà pourquoi ces terres et ses villes étaient libres, nul n'en était le maitre, et si l'un osait le prétendre, d'autres sortaient un instant de l'ombre pour le ramener à sa place. La ville est à tout le monde, chaque rue, pierre et recoin appartenait à celui qui l'occupait. Cet équilibre reposait sur la certes controversée loi du plus fort, mais il fallait reconnaitre que cela avait parfois ses avantages.
Je lui avais répondu que sans le pouvoir , cette paix et quiétude ne pourrait régner en ces terres , bien trop de choses était en jeu pour croire en la confiance humaine et leur humanité à accepter une cohabitation commune.


Nous y voila , l'aboutissement de ma jeunesse allez enfin se produire. L'heure du départ avait sonné , il était temps de rejoindre les montagnes du pays du fer pour commencer mon apprentissage du Laido. Je n'avais pas n'importe qu'elle maitre avec moi , j'avais ce que n'importe qu'elle samurai pouvait rêvé. D'être entrainé par son propres père. Nous sortions a présent de la maison, le temps n'était pas des plus claire et des plus joviale. Il faisait grisâtre, il neigé depuis plus de cinq jours déjà. Il portant pas trop tôt mais la couleur du ciel nous ramener a quelque heures. Se décalage entre le temps et le temps était assez choquant.


Notre route allez d'abord commencer par l'assenssion de la première difficulté du chemin. Pour atteindre les montagnes il fallait passer par une sorte de grotte qui traversé le premier versant de la montagne. Pour ensuite atteindre la plaine d'Hyrule , plaine qui nous conduira jusqu'a la montagne du Fer. Montagne ou comme je le disais , les plus grands samurai avait suivi leur apprentissage. Mon père ouvrait la marche dans cette épaisse neige , qui comme un enfant me servais de ses pas pour pouvoir avancer. La marche allais durer quelque heure tout au plus.


Nous avions prit un bon rthyme de marche , nous laissant le soin de pas trop s'épuiser avant la grotte. Pendant la route aucun de nous ne laissé échapper un mot de sa bouche , comme pour montrer que toute force est bonne a prendre. Voila pourquoi je n'étais pas d'un style social a bavarder avec les gens. Mon père parlé peux , ou du moins il le faisait en cas d'extreme néssécité. Notre marche était silencieuse , aucun son émané d'un de nous , rien le silence total créant une apesanteur assez lourde. Mais bon il n'était pas bavard cela ne me dérangé pas plus que sa. C'était juste que le chemin allez etre encore long, et la discussion aurai permit de combler cette longue route. Mais pas grave , j'allais donc faire comme lui , ne rien dire et garder pour force pour arriver vivant jusqu'au sommet de la montagne de fer. Au bout de plusieurs heures a braver le froid , la neige et la fatigue, nous arrivions enfin devant l'entrer de la grotte. La par stupéfaction mon père prit la parole pour m'expliquer en quoi allez consisté le voyage.


" Fils nous y voici ! la grotte pour atteindre les plaines d'hyrule. Fait attention a toi , la grotte est sombre et le sol est humide. Suis moi de près si tu ne veux pas glisser dans un trou. A ton age cela serait quand meme facheux. "
" Très bien père je ferais attention "


Entrant mon père et moi dans la grotte , je pouvais a présent comprendre ses dire. La grotte sentit le moisie , tout était humide , des toiles d'araignées était présente par pas moins de la totalité sur plafond. L'endroit était hostile, l'uccubre , sombre , froid , un chemin peux commun pour amener son fils s'entrainer. Sur les murs a droite de la grotte , longeant le long du mur une sorte de corde accroché par des cloues. Mon père tenait cette corde pour avancer. Je faisais donc de même pour éviter de tomber dans je ne sais quoi. Plus on avancer dans cette grotte , plus il faisait sombre et froid. Il n'y avait pas un halo de lumière pour se repairer.


Je ne sais pas par qu'elle moyen pour père arrivé a voir son chemin dans un noir pareil. Nous avancions doucement pas après pas pour ne pas chuter, mais pour moi j'avais l'impression d'être dans cette grotte depuis plus d'une heure sans arriver a voir le bout. La fin n'était pas encore proche loin de la. Mon père s'arreta de marcher brusquement , sans me prevenir , et bien sur je le percutais dans le dos. Sur la gauche de la grotte il y avait un petit renfoncement avec a l'intèrieur l'arsenal parfait pour le campeur. Deux matelas , au centre du bois pour faire du feu. Tout était prévu pour pouvoir faire une halte avant de repartir.


Malgrès tout j'étais déjà fatigué par cette marche dans la grotte qui était tout de même bien pentu. Mon père me fit signe de lui suivre jusqu'au petit camp tout finement préparé pour nous. Je posais mon katana son le matelas et mon père fit de même en rajoutant son sac a dos. Il sortit du sac deux pierre avec les qu'elle il allait allumer un feu en les frappants l'une contre l'autre. Pendant se temps je me dégourdissais les jambes. Etirant mon corps apres une si longue marche ne ferais pas vraiment de mal. Executant sur le matela diverse série de position pour d'étendre mon corps , mon père faisait déjà cuir la soupe. Un bon petit plat pour nous remettre les circuits en marche.


Mon père avait aussi prit un livre avec lui intitulé " Bushido et Laido ". Un livre qui parle des nombreuses façon de manipuler le katana. Se livre m'avait tapé a l'oeil, il fallait que je puisse en savoir plus. Discrètement pendant que mon père préparé le soupé , je pris le livre et le commença a lire. " Introduction : Laido et Bushido. L'art de dégainer , l'art de couper. " Le bushido ne me disais rien, il fallait que je continus a lire se libre pour en savoir un peux plus sur l'art de couper. Je tournais alors rapidement les pages pour atteindre les premiers chapitre parlant alors du Bushido.


" Chapitre 1 : Bushido.


Le Bushido est un art ancestrales des samurais. Avec le laido et le bushido , le samurai au combat au armes au corps a corps devient pratiquement invincible. La maitrise du laido dans un premier temps offre a son utilisateur, la possibilité d'avoir un temps d'avoir sur l'adversaire. L'art de dégainé maitrisé, offre alors au samurai la chance et le prévilège au samurai de pouvoir dégainer tellement rapidement son arme qu'il peut soit attaqué l'ennemie sois de parer une offensive. Le bushido est l'art de couper sa cible a des endroits bien spécifique du corps humain. Pour un samurai son katana est son meilleur ami tout le long de sa vie. Il faut en prendre soin et essayer de garder le tranchant de son arme a son maximum. Le tranchant de l'arme est le plus souvent utiliser par les adèptes du bushido. L'utilisateur du bushido mise tout dans le tranchant de son arme pour pouvoir combattre l'adversaire. Le maitre en bushido a une maitrise parfaite du corps humain. Les connaissances sur les tendons , os non pas de secret pour lui. Quand l'aquisiteur de la technique bushido combat , il analyse les déplacements de son adversaire pour attendre le bon moment pour si sectionner un membre. Il ne coupe pas le membre a proprement dit. Il le sectionne de l'intèrieur grace a un coup vif et précis. L'adversaire qui reçoit se genre de coup ne sans rends meme pas compte de suite. Le but de l'art du Bushido est de couper les partit enterieur pour mettre l'adversaire dans l'incapacité d'utiliser le membre touché. Sectionnant alors le tendon ou le ligament l'utilisateur du bushido est redoutable au corps a corps contre quelqu'un qui ne combat pas au arme. Un utilisateur en Taijutsu par contre peux évité en scrutant les faits et geste du bushido. Devant être très précis , l'utilisateur de l'art de découpé doit arriver a visé dans un temps imparti sa cible qui pour pas facilité la tache est en mouvement. Les faiblèsses de cette art son la vitesse et la précision. Si l'adversaire en face de vous possède plus de vitesse que vous, alors le bushido ne vous seras d'aucun secours. Il est préférable de connaitre d'abord le Laido avant de se lancer dans un art bien plus délicat. Pour maitriser parfaitement le Bushido il faut que l'utilisateur est des connaissance dans le domaine médical. Sans influé du chakra a l'interieur de son arme l'art du bushido ne peut etre maitriser. Le chakra mit dans l'épée entre en contact avec l'endroit que l'on veut couper. C'est en injectant se chakra a l'interieur de sa cible que le coup opère. "


J'étais stupéfait de lire de tel chose. C'était remarquable comme le fait de manipuler au katana offrait plusieurs possibilité de technique et de style. Le livre était trop gros pour que je puisse le lire d'une seul traite. Mon père mangeait sa soupe a coté du feu , et j'allais faire de même. Nous étions encore loin de notre destination, il fallait vraiment que je face le plein de force pour continuer se voyage. La soupe était tiède, en même temps je m'étais penché sur le livre qui m'avait pratiquement fait sauté l'heure du repas. Oubliant la cuillère , je pris directement le bol que je portais a ma bouche pour boire directement.


Si la soupe était froide cela deviendrait encore moins bon, déjà que tiède c'était pas le top. Buvant rapidement ma soupe et reposant discrètement le livre dans le sac de mon père, je commençais a remettre mon katana au niveau de ma anche et a ranger mes affaires. Mon père faisait de meme et nous repartions vers la sortit de la grotte qui ne devait plus être très loin. Au bout de plusieurs minutes , cela devait faire une bonne demi heure que nous étions repartit , je pouvais distinguer au loin une petit lueur du jour.


La sorti de cette grotte sombre et étroite allé enfin nous faire face. Au niveau de la sorti de la grotte je pouvais voir l'étendu des plaines d'hyrule. Le climat aussi avait changer entre chez nous et ici. Le sol n'était plus recouvert de neige , mais recouvert d'une herbe magnifiquement verte. Le soleil brillait haut dans un ciel bleu se mariant parfaitement avec le vert de la verdure. Nous entamions notre chemin maintenant dans les plaines, bordé d'arbre , de petit ruisseau , d'animaux sauvage. Le contexte ici était bien différent de celui que j'avais vu jusqu'a présent. Je passais d'un décort gris et blanc, a un paysage couvert de couleur plus ravissante les unes que les autres. On pouvait presque entendre les oiseaux chanté quand il y avait un moment de silence.


" Tu vois mon fils, c'est ici que les grands guerrier samurai venait pour trouver la paix dans leur esprit. Les plaines d'hyrule son sacret par les samurais depuis des années. Seul les samurais connaisse l'existance de ses lieux. Prends en toi toute les ressources dont tu auras besoin pour ton entrainement. Fait le plein d'air, le plein de souvenir dans ce lieu si beau. "

Tel père, Tel fils.

" Chapitre 2 : L'apprentissage du Laido.
Un ninja utilisant comme domaine le kenjutsu a la possibilité de choisir entre plusieurs armes. Le choix de l'arme réside dans le style dont la personne veut s'orienter. Un samurai choisira de préférence un katana, tandis qu'un ninja normal peut choisir d'autre arme. Il y a les faux a trois lames, qui gràce a sa corde attaché au niveau du manche permet de gagner en allonge. Très prisé des ninjas du nord il y a la cisaille. Elle s'accroche au poignet de l'utilisateur, lui donnant plus d'ampleur pendant son coup. La cisaille est une arme redoutable qui peux trancher une parti du corps humain sans la moindre résistance. Le samurai lui n'utilise comme dit plus haut , uniquement le katana. Katana qui depuis son enfance sera avec lui, comme son meilleur ami. Un ninja du pays du fer digne de se nom ne sort jamais sans son arme. Elle fait parti de lui et le suivra tout le long de sa vie. Les katanas des samurais son forgé dans les montagnes sacrée du pays, offrant une résistance et un tranchant défiant toute autre acier. Les manches des katanas des samurais son aussi différent par leur conception. Le manche est fait en sorte d'être souple pour que les mains ne glisse pas pendant la prise en main de l'arme. Le manche est aussi plus fin , donnant une meilleur mobilité de l'épée laissant libre court a l'imagination des utilisateurs.


Page 2 : Le laido est enseigné au samurai qui on une faculté de reflex hors norme. Le laido sert a dégainer son katana sans que l'adversaire ne puisse comprendre ce qu'il se passe. En l'espace d'une seconde l'arme du samurai est sorti de son étui. Une fois ce mouvement rapide exécuté , le samurai a deux possibilité. Soit il pare l'offensive de l'ennemi en bloquant avec son katana son arme. Soit est la ou la technique est plus dur, de faire un offensive en obligeant son adversaire a interrompre toute chose commencé. Le swingemant du katana se déroule horizontalement. L'attaque couvre une large zone même sur le coté. Pour atteindre parfaitement l'art du laido, il faut avoir suivi un entrainement rigoureux avec un expert en la matière. Le samurai voulant apprendre se rudiment devra contrôler son propres esprit pour le poussé a la limite. Il faut que le samurai utilisant le laido soit a tout moment en symbiose avec son corps et son esprit. Les deux doivent cohabiter simultanement sans qu'un l'autre prenne plus de place que l'autre.


Il y avait tellement de chose a apprendre sur l'art du kenjutsu et sur comment devenir un vrai samurai que je perdais mon objectif de vue. Il fallait que je sois a la hauteur de mes ancêtres, mais je ne pensais pas avec autant de pression. C'était quand meme dur de devoir faire tout bien, même pour quelqu'un comme moi qui venait du ciel. Mon père était satisfait de mon entrainement jusqu'à présent , mais je ne devais pas me reposer sur mes acquis. Nous étions toujours dans les plaines d'hyrule ou notre chemin avait croisé une multitude d'espèce animal. On pouvait voir qu'il faisait bon y vivre et que quelque chose de magnifique sorté de cette endroit. La montagne ne devait plus être très loin, mais mon père ne semblait pas montrer signe de quoi que se soit. La marche s'annonçait encore longue malheureusement. Les clairières, arbres, animaux, ciel, soleil, allaient resté gravé a jamais dans ma mémoire. Je me souviendrais toute ma vie de se moment sublime passé dans un lieux extraordinaire.


Je mettais arrété au chapitre deux du libre, me laissant un petit gout amer dans la bouche. Les samurais étaient enfaite des machines de compétition. Entrainé avec les meilleurs expert dans chaque domaine, entrainé dans un lieu ou on pouvait ressentir encore les sensation qu'il y avait eu un entrainement. Toute ses chose remonté a la surface au fur et a mesure que l'on avancé dans cette plaine. La plaine d'hyrule a une histoire fantastique, d'après les légendes, un samurai aurai perdu la vie dans cette plaine. Un samurai avec un coeur si grand et bon, aillant accomplit des choses durant sa vie qui fut couverte de succès.


Ce samurai avait tout offert au pays du fer, la sécurité en entrainant les jeunes pouces du village, la protection en ce livrant corps et âme dans chaque combat. Il était aussi un homme toujours d'après la légende qu'il avait accomplit plusieurs acte noble dans sa vie. Comme le dernier qui lui valut la mort dans cette plaine. Il c'était sacrifié encore un fois pour le village, une fois de trop ... Pour laisser le temps au habitants de s'échapper, il était resté la, a retarder le plus longtemps possible l'ennemi. Seul face a toute une arme. Il arriva a tenir une journée entière avant d'être mit hors combat. Son acte de courage a permit a des femmes, des enfants, des vieillards, de se mettre en sureté et a rester en vie.


Nous foulions ses terres sacré, c'était un honneur pour moi d'être ici, marchant sur le sol ou un homme avait donné sa vie pour en sauver des milliers d'autre. Quelque chose qui fut oublier en ces temps sombre que connais le monde des shinobis. Pourtant il devait y avoir un moyen de se réunir tous une bonne fois pour toute et de vivre dans la paix. Tous ensemble dans un seul et unique village. Samurai comme Ninja, tous dans la cohésion la plus parfaite. Mon entrainement avait pour but de me faire devenir assez fort, pour pouvoir un jour, avoir la chance de réunir tout les villages ensemble.


Créant alors une vie seines, et paisible. Mais mon entrainement n'avait pas encore vue le jour, alors je ne pouvais meme pas prévoir si déjà j'allais réussir mon apprentissage. Trop de question, je m'embrouillais l'esprit tout seul. Mais je jubilais d'impatience de commencer enfin a m'entrainer que j'en devenais fou. Mon père durant la traversé de la plaine n'avait pas dit un seul mot. Pour perpétué la légende de ce lieu culte et prisé de tous. Heureusement pour nous, uniquement de nous les samurais connaissait l'existence de cette plaine. On en voyait enfin le bout de cette plaine. Le contraste entre les plaines et la montagne devant nous était vraiment marquant. Une atmosphère froide, lourde, ou on pouvait y sentir le vécu.


" Fils, nous y voila ! Les montagnes du pays du fer. C'est ici que les samurais de ton age venait pour commencer leur entrainement. La route ne va pas être longue comparé a l'entrainement qui va suivre. J'ai vue que tu avais prit soin de lire le livre que j'ai. C'est bien, tu sais maintenant a quoi t'attendre. Ton histoire s'écrit ici fils, soit brave, ne recule devant aucun obstacle, ne baisse jamais la tête. J'ai confiance en toi, et cette confiance fera ta force. Allons y ! "


Encore une prise de parole par mon père qui m'étais mal a l'aise. Cet homme était droit, charismatique, avec un passé que n'importe qu'elle homme sur cette terre aurai voulu. Il avait confiance en moi, une chose qui me motivé encore plus. Il fallait a tout prix que je puisse lui rendre cette confiance qu'il me porté. Je le devais, je ne pouvais pas le décevoir parce que cela m'étais impossible. Comment faire si je ne pouvais atteindre la voix qu'il m'était fixé ? Une pression énorme, les épées de damocles volé au dessus de moi dans le seul bute de me tailler en pièce. Nous allions attaquer la montrer de cette fameuse montagne. Mon père disait qu'il ne fallait pas beaucoup de temps pour atteindre le sommet. Etrange, elle paraissait quand meme grande pour être monté si vite. Peux être n'allions pas au sommet. Le lieu d'entrainement devait se trouver sur un flan inférieur.


En montant le pic du pays du fer, la vue devenait de plus en plus splendide. On pouvait voir toute les plaines d'hyrule, jusqu'à apercevoir la sorti de la grotte. Cela faisait prêt de deux heures mine de rien que nous étions a gravir le chemin de la montagne. Heureusement que cela ne devais pas prendre beaucoup de temps. Mon katana me démangé , j'avais envie de combattre la roche avec mon katana. J'avais envie de vivre moi aussi cette aventure qui avait l'aire tellement énorme. En plus je ne pouvais pas rêvé mieux, sachant que c'était mon père qui allait m'entrainer. Sur la droite de la montagne je pouvais voir des aigles volé en groupe. Le roi des cieux volant dans ce magnifique ciel bleu était annonciateur d'une bonne journée. Et la journée allait tout juste commencer pour moi. Nous voila sur les lieux de l'entrainement. Un renfoncement dans la roche qui donner lieu a un terrain caillouteux et glissant. Creusé dans la roche le terrain d'entrainement était uniquement construit avec des pierres.


Je supposais alors que le bute était de frapper la roche avec mon katana jusqu'à arriver a le briser. Sur certaine roche on pouvait voir encore les traces d'entrainement précédent. Mon père posa son sac sur le sol et prit son katana en avançant vers moi. Il s'avança sans dire le moindre mot vers la pierre qui avait subit plusieurs coups. En une fraction de seconde mon père dégaina son katana, je ne pus voir uniquement une marque sur la roche. Je n'avais rien vu d'autre. Le mouvement fut rapide, net avec beaucoup de certitude. Il avait parfaitement utilisé le Laido pour attaquer. De mes propres yeux je n'avais pas pu distinguer quoi que se soit, c'était vraiment horrible cette sensation d'impuissance. C'était donc sa l'art d'un samurai, une vitesse impressionnante, l'adversaire qui n'est pas un connaisseur ne peut esquiver un coup pareil.


La rapidité me donnais l'eau a la bouche, il fallait que moi aussi j'arrive a un tel niveau. Puis toute façon pour devenir aussi fort il fallait que je mis mette. Mon père allait prendre la parole pour m'expliquer la technique mais je ne lui en laissais pas le temps. Sur de moi , j'avançais vers la pierre la main sur mon katana. Je me concentrais pour essayer de faire pareil, puis je sortis mon katana de ton étui horizontalement contre la pierre. Pour moi, j'avais des le premier coup réussi a faire comme mon père. J'avais atteinds la vitesse parfaite pour la technique. Puis mon regards se porta vers la pierre, ou es-que j'avais frappé ? Mais la ... aucune trace ... aucune marque, pas le moindre petit trait. Comment ? Il était pourtant sur que mon coup était parti contre la roche a la même vitesse que mon père. Je m'étais bien concentré, mon geste était parfait. Je ne comprenais pas comment j'avais pu faire une erreur. Mes yeux se posèrent sur le visage de mon père qui avait un petit sourire. De cette réaction je me doutais bien que je n'étais pas le premier a avoir échoué la première fois.


" Fils, dans le livre que tu as lu, il est mentionné que tu dois connecter ton corps avec ton esprit. Il faut que des l'instant ou tu pense faire le geste ton cerveau est déjà envoyé l'ordre a ton bras. Pour que cela se face aussi rapidement que mon coup. Si tu arrive a faire que ton corps soit en symbiose avec ton esprit il te fait faire le vide. Ne pense a rien, uniquement au coup que tu vas faire, rien de plus. Il faut que tu oublie tout autour de toi, il n'y a rien, uniquement toi, le katana et la roche. "


" Oui père je veux bien faire sa, mais je pensais avoir déjà pour mon coup eu la concentration .. je ne comprends pas pourquoi mon offensive a échoué. J'ai bien compris l'idée de faire le vide en moi pour penser uniquement a mon geste, mais pas si facile a faire. Toute façon je continuerais tant que je n'arrive pas a égaler ton attaque ! "


Me remettant face a la pierre, ma main sur le manche de mon katana je fermais mes yeux mon me concentrer. Je devais arriver a faire que mon esprit sois en symbiose avec mon corps. Que mon mouvement sois la continuité de ma pensé. C'était quand même compliquer a faire. Mon esprit était apaisé , mais mon corps lui était tout tendu. Le stress commençait a monter en moi. Se transformant en peur petit a petit et qui m'envahissait. Il fallait que je me calme, que je ne pense a rien et que j'arrive a faire le vide. Il y avait rien autour de moi, mon père n'était pas la, j'étais seul face a mon destin. Tout était blanc, avec comme seul couleur le gris de la pierre. Mon esprit était libre, mon corps commençait a se détendre, je pouvais sentir mes doigts se crisper sur le manche de mon katana. Quelque chose qui devait faire parti de la technique, mes doigts était comme fusionné avec le manche.


Mon épaule et mon coude étaient fortement contracté, prêt a être utilisé a n'importe qu'elle moment. je devais sentir le moment propice pour lancer mon assaut. Je ne devais pas louper encore une fois, la j'avais les conditions idéale pour réussir. Sentant le moment opportun je lançais mon bras d'un seul coup. Je n'avais même pas senti que mon bras était parti aussi rapidement. Le choc de la lame de mon katana cognant contre la pierre fut un petit bruit bien sympathique. Une toute petite entaille était visible sur la pierre en face de moi. J'avais quelque peux réussi a exécuter le Laido comme mon père. Qui d'après son visage il était satisfait de moi. J'étais contant, mais je devais persister dans mon entrainement. J'avais fait un grand pas en avant dans le monde, je venais de rejoindre l'élite des samurais de mon pays. Quelque chose qui pour certain n'aurai pas d'importance, mais qui pour moi en a beaucoup. La reconnaissance de mon père et le fait qu'il soit fière de moi était une chose qui me tenais a coeur. Je ne pouvais pas arrêter maintenant, et encore moi abandonner. Ici pour apprendre, devenir le meilleur, être reconnu dans se monde, arriver a prouver au autre que les samurai n'étaient pas des moins que rien. Que l'ont étaient une nation a prendre au sérieux. Dans cette montagne le temps semblait bien long, mon apprentissage n'était pas encore fini. Cela allait prendre encore quelque jours ... Voir quelque mois.

THE END.

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