NOM- Maeda PRENOM - Yui AGE - 14 ans VILLAGE - Kiri Grade ∫RANG - Genin

PHYSIQUE
De loin, tu ressemblais à un enfant. Ta petite taille d'un mètre cinquante était un complexe pour toi. Tu n'aimais guère les gens qui critiquaient ta taille. Toujours à te comparer à quelqu'un d'énorme, deux fois plus grand que toi. A côté, tu avais toujours ce regard insouciant. Surtout envers les plus grands que toi. Un regard montrant la peur, l'innocence, comme un enfant de cinq ans qui découvrait un nouveau monde pour la première fois.

Dans ce regard, tu avais de grands yeux marrons. Des yeux qui ne connaissaient pas encore le monde de l'extérieur, aussi purs et innocents que toi. Ensuite il y avait ton nez, il était vraiment petit, petite tu te demandais si tu en avais vraiment un à cause de sa discrétion. Plus bas, il y avait ta bouche, petite à son tour, mais celle-ci arrivait tout de même à manger de grandes choses. Tes lèvres étaient d'une finesse, que ta mère en était jalouse. D'un côté, tu ne pouvais mettre de rouge à lèvre ou autre cosmétique dessus, cela ne t'allait guère. Un peu plus bas se trouvait ton menton, celui-ci était assez court et carré. Ensuite, tout en haut sur ton visage se trouvait ton front. Rare était les personnes qui l'avaient vu. Il était toujours caché par tes cheveux, mais toi tu savais qu'il était lisse -heureusement puisque tu es jeune- et normal, il était ni trop long ni trop court. Pour terminer les parties de ton visage, sur les côtés se trouvaient tes joues. Celles-ci étaient fines comme une jeune femme, mais on pouvait parfois voir qu'elles étaient encore un peu enfantines. Il fallait croire que ton corps n'avait pas encore totalement changé.

Ta taille et les composants de ton visage n'étaient point les seuls à être petits, presque tout était petit chez toi. Comme tes oreilles qui étaient courtes et petites. Pour finir au niveau de la tête, ta chevelure brune était courte et ne descendait jamais plus bas que tes épaules. A vue, d’œil, elle était naturellement lisse. Toi seule connaissais la bataille que tu menais avec elle pour te coiffer le matin. Après chaque réveil, tes cheveux ressemblait à n'importe quoi. Parfois la coupe du matin avait l'air cool, mais parfois elle était affreuse, tellement affreuse que tu évitais de voir ta famille pour qu'elle ne puisse pas admirer le désastre. Au niveau du toucher, tes cheveux étaient assez doux, parfois on te demandait ton shampoing, mais comme d'habitude tu ne savais pas quoi répondre. Au niveau odorat, ta chevelure sentait la pomme. Cette fois-ci, on ne demandait pas ton shampoing, mais il y avait toujours cette réflexion stupide « Hum ça sent la pomme ! ».

Maintenant, le reste de ton corps, toujours de bas en haut, ton cou était normal, il est ni trop long ni trop court, ni trop fin, ni trop gros. Tes épaules n'étaient guère larges, au contraire, il était plus facile pour toi de mettre certains vêtements que les jeunes femmes à épaules larges. Ensuite, tu avais une petite poitrine, tu n'étais pas une planche à pain, mais ta jeunesse trahissait ton corps qui se transformait encore de manière progressive. Ensuite, tes courbes étaient assez faibles avec des vêtements. Tu avais souvent tendance à les cacher, comme si tu ne voulais pas admettre que tu avais grandi. Tes bras étaient fins, on ne voyait pas d'énorme muscle sur ton corps, à croire que tu ne faisais jamais de sport. Cela était de même pour tes jambes qui étaient très fines. On voyait bien que tu n'étais pas le genre de fille à se donner à fond lors d'une épreuve physique. Pour conclure, tu as une corpulence assez frêle, qui te donnait une image de fille fragile.

En résumer, tu étais une fille mignonne, grâce à ta petite taille ainsi que ton corps, tu étais souvent vu comme une personne innocente et angélique grâce à ton regard. Malgré tout, tu n'étais point un mur, les gens pouvaient sans doute te lire comme un livre, l'expression que tu avais, était celle d'une fille timide, ayant peur de communiquer avec les autres. Ta voix était le mélange d'une jeune femme et d'une petite fille, tout dépendait de la façon dont tu prononçais les choses.

Enfin le style vestimentaire. Jean, jupe, robe, short, tu mettais un peu de tout. Tu pouvais passer de l'adorable jeune fille portant des habits assez mignon, à la jeune adolescente normal et décontractée.  Mais aussi, il arriverait que tu puisses mettre des vêtements beaucoup plus masculine, mais ce style-là, tu ne l'avais jamais montré aux yeux de tous. Après tout tu devais être la fille parfaite, donc il te fallait un minimum de féminité.

CARACTERE
Yui, Yui... Tu étais une fille adorable et mignonne jusqu'à tes six ans. Tu ne sortais pas, mais au moins tu étais heureuse à la maison. Ton sourire angélique était le plus beau de tous. Tes parents n'arrêtaient pas de le répéter. Toi au moins tu faisais tout pour qu'ils soient fier de toi. Comme la famille, tu faisais tout pour être une surdouée. Un génie même, hélas, tu pouvais avoir une grande motivation, tu n'arrivais point à réussir. Tu savais qu'il te manquait quelque chose, mais tu ne savais pas quoi. Durant ton apprentissage avec ta famille, tu ne connaissais qu'eux. Tu étais bien, tu souriais presque tout le temps, jamais tu n'avais eu peur. Jusqu'au jour où tu as enfin eu l'accord de sortir. Un monde qui t'était inconnue, tu ne connaissais même pas ce qu'était une orientation sexuelle. On te l'avait demandé, tu préférais les hommes ou les femmes ? Mais tu étais perdue. Une brebis égarée dans un monde empli de danger. Tout cela tu ne le savais point, tu venais encore du monde l'enfance où il y avait des lapins blancs dans les forêts qui vivaient heureux en famille. Innocente, insouciante, tu étais toujours suivie par quelqu'un pour te surveiller. Le monde était différent, il était même difficile pour toi de s'y intégrer. Heureusement grand-frère était là, tu croyais en lui. Même si père ne l'aimait pas, toi au moins tu lui donnais de l'amour. L'amour familiale tu le connaissais, mais jamais celui de l'amitié ou de l'amour... l'amour entre deux personnes.

Dans ton petit aventure, tu commençais à communiquer, ou plutôt les autres venaient communiquer avec toi. Tu rougissais souvent, en baissant les yeux. Ta voix était celle d'une jeune fille fragile qui avait besoin d'être protéger. Tu essayais de jouer avec les autres, mais tu avais peur. Tu préférais refuser une invitation pour jouer avec eux en disant que tu allais rentrer. Il fallait croire que tu étais une vraie asociale. Mais en réalité, tu essayais de bien t'entendre et cetera, mais la présence d'inconnu te gênait vraiment. Tu te sentais toujours bien en compagnie des animaux qu'auprès des humains après tout. Pourtant, à chaque fois que tu te retrouvais seule dans ta chambre, tu avais l'habitude de repenser à ton passé. Pourquoi avais-tu réagis ainsi, si tu étais restée, peut-être que tu te montrerais comme avec ta famille et au moins tu aurais quelques amis.

Mise à part tes problèmes de communication, tu restais discrète. Comme si tu essayais de te faire effacer dans le monde que tu découvrais petit à petit. Apprendre la vérité faisait mal n'est-ce pas ? C'était ton cas ? Savoir que dans ce monde l'être humain pouvait être aussi machiavélique qu'un démon. Tu avais toujours reçu des exemples d'hommes dangereux ce qui créa en toi une peur chez l'être humain, mais surtout chez l'homme. On te disait souvent de ne pas t'approcher des garçons, que les filles c'était mieux pour toi. C'était à ces moments-là que tu étais perdue, tu allais dans un coin reculé du village ou tu restais simplement en boule dans ta chambre auprès de ton lit. Ne pas avoir confiance aux hommes, alors pourquoi avoir confiance en Père et en Ryo ? Ces questions te rendaient souvent folle, tu te mettais à grimacer afin de calmer l'intérieur de ton crâne qui surchauffait. Il fallait sérieusement que tu arrêtes de réfléchir.

Même si tu connaissais peu à la vie, tu y tenais. Il était hors de question de mourir. Quand tu étais en danger à cause des imbéciles du village, tu avais tendance à utiliser ton charme pour qu'ils aient pitié de toi. Cela marchait toujours, tu les regardais en rougissant, en tremblant légèrement et tu finis par leur demander de te laisser tranquille d'une petite voix effrayée. Pour être chanceuse tu l'étais, grâce à cela, on te posait rarement la main dessus. Tu n'étais point manipulatrice à la base, mais il fallait que tu te protèges de temps en temps, surtout depuis que grand-frère n'était plus auprès de toi.

Ensuite, tu étais une jeune fille qui réfléchissait, tu préférais te taire à la place de parler, tu intervenais rarement et tu agissais de façon logique. Même si tes émotions venaient souvent te rendre imprévisible.

Ensuite, au niveau des goûts, tu aimais manger tout ce qui était bon et tu aimais ce qui était mignon et beau. Les fleurs tu les aimais, les animaux aussi, tu pouvais aimer n'importe quoi comme tu pouvais en détester. Au niveau vestimentaire, tout ce qui te plaisait. Ainsi tu n'étais vraiment pas une fille compliquée, malgré ta fragilité.

Au niveau combat, tu préférais la fuite. Éviter de se battre était la meilleur chose à faire pour toi. Tu savais que ton corps n'était pas solide et que la moindre épine pouvait facilement te faire saigner. La douleur physique tu ne la connaissais pas vraiment, seul ce que tu avais dans le cœur et dans la tête te faisait mal.

Pour terminer, tu avais une bombe en toi. Tu savais parfaitement que tu retenais une chose qui était prête à exploser à tout moment. Pour le moment elle n'avait jamais surgi, mais tu savais qu'à ce moment-là ta personnalité sera l'inverse de ce que tu étais normalement. Le changement te faisais peur, cette rancune au fond de toi aussi. Qu'allais tu faire si la bombe explosait ? Comment allais-tu réagir et te comporter ? Enfin compte, tu ne te connaissais pas réellement. Tu as été coupée du monde et c'était petit à petit que tu allais structurer ta véritable personnalité.

HISTOIRE
Tu naquis dans la famille Maeda, une famille noble et riche. Enfin, noble et riche, c'était ce que disait ta propre famille depuis ta naissance. Comme quoi tu devais l'aimer, l'admirer, ainsi que l'honorer. Ces mots, ces phrases, tu les avais toujours entendu. Tes parents t'avaient nommé Yui, car ils pensaient que tu serais une jeune fille dynamique, souriante, combative, courageuse, téméraire, autoritaire ainsi qu'une manipulatrice hors pair. Bien sûr ceci était un rêve, ils voulaient te voir grandir ainsi et feront tout pour que tu deviennes ainsi.

Hélas tu n'étais point fille unique. Tu avais un grand-frère d'une dizaine d'année de plus que toi. Peut-être qu'au début, il ne t'aimait pas, ou qu'il trouvait qu'avoir une sœur avec autant de différence d'âge était absurde, mais tu ignorais tout cela. Après tout, tu ne comprenais pas immédiatement la vie. Tu n'avais même pas dépassé tes six ans. Heureuse, dynamique, pleine de vie. Tu aimais bien rester à la maison. Tu pouvais sans doute sortir dans le jardin, mais père et mère ne voulaient toujours pas te montrer le reste de la ville. Tu vis donc une vie assez monotone, où tu trouvais toujours quelque chose pour t'occuper. Un papillon, un oiseau, tu avais tendance à admirer le ciel, voir les nuages voyager à leur guise et le soir, tu observais les étoiles à travers la fenêtre de ta chambre. Hélas ce monde de rêve était accompagné d'une lourde éducation, par des professeurs que tu ne comprenais pas réellement. Tu avais donc tendance à rire et à les ignorer. Ce qui causa le début de tes problèmes.

Chaque jour tu vieillis et enfin tu pouvais sortir. Quelques mois après tes six ans, tu découvris le véritable monde. Pour une fois tu pouvais sortir des Maeda. Tu n'étais point pressée, au contraire, tu avais peur, peur des nouvelles choses, de voir autant de monde, de nouvelles têtes. Les premiers jours, tu restais toujours derrière l'un des membres de ta famille. Ensuite tu sortais seule ou accompagnée d'un professeur. Cette fois-ci tu avais compris pourquoi il était là, mais à chaque fois que tu devais entendre une longue tirade, tu grimaçais comme une adorable petite fille qui allait pleurer. Cette technique marchait bien pour qu'il se taise. Même si ton professeur te trouvait agaçante, ton comportement montrait tout de même que tu étais intelligente un minimum. Au niveau de tes séjours en ville, tu restais souvent dans la plus grande discrétion. Hélas, quand un enfant voyait une nouvelle tête de son âge, celui-ci était souvent intrigué. C'était à ces moments-là que tu commençais à communiquer avec eux. Les enfants te proposèrent de jouer  avec eux, mais toi tu avais peur, peur de ces inconnus et surtout des garçons. Père et Mère t'avaient toujours dit de ne pas faire confiance aux hommes, de tous âges. Même aux femmes, tant que ces gens-là étaient des inconnus tu ne devais pas rester avec eux. A cause de cela, tu finis seule où seulement ta famille avait sa place dans ton cœur.

Petit à petit, tu entras à l'académie. Ta peur des autres ne changeait guère. Toujours aussi effrayée, toujours timide, tu rougissais souvent pour seulement communiquer. Pour toi aller à l'académie était une épreuve de combattant. Surtout que comme dans le village, les adultes étaient souvent tristes, c'était ce que tu voyais. Pas assez de joie, ni de bonne humeur, tout cela se transmettait par la tyrannie des professeurs. Tu les trouvais bien pire que ceux dont tu devais côtoyer depuis ton enfance.

Un soir, tu rentrais chez toi comme d'habitude, tu fis ce que tu devais faire jusqu'à l'heure du dîner. Étrangement grand-frère n'était point à table, tu demandais s'il avait une mission ou autre, Père était en colère, il t'apprit que celui-ci avait quitté le village. Tu finis même plus ton assiette, tu partis directement dans ta chambre, afin de finir en boule dans un coin. Tu ne le comprenais guère ce qu'il se passait. Pourquoi Ryo avait quitté le village ? Pourquoi lui ? Pourquoi ton frère ? Le fait qu'il ne t'avait rien dit te rendait folle. Une petite rancune envers lui se créa en toi, ton père allait donc profiter de cet événement pour que tu finisses par le détester. Tu te disais que tu préférais entendre qu'il était en mission et qu'il ne pouvait revenir tant qu'il ne l'avait pas accompli. Cette supposition, ta mère te l'aurait dit pour te protéger, mais ton père était toujours aussi direct. Tu n'avais que dix ans et voilà ton premier pincement dans ton cœur. Qu'allait-il devenir ? Allait-il mourir ou survivre ?

Malgré la petite bombe qui commençait à se construire en toi, tu vis ta vie normalement. Tu sortais en restant seule, tu observais les animaux seule, tu admirais un magnifique ciel nuageux ou étoilé seule. Normalement grand-frère t'accompagnait de temps en temps, mais c'était du passé. Tu avais tendance à rester calme, les autres essayaient encore et encore de t'approcher, alors que toi, tu essayais de les fuir. Père avait arrêté l'ancien programme d'éducation, il avait peur que tu devenais comme ton frère. Tu ne pouvais plus sortir librement, il fallait toujours prévenir Père et Mère ainsi que de raconter ta journée. Ils avaient fait une erreur et désormais, ils ne voulaient point en faire une deuxième.

Durant tes onze ans, tout changeaient. Tu avais entendu parler que le régime de Kiri avait changé, sûrement une nouvelle personne au sommet, tandis que toi, tu préférais ignorer l'évènement. Après tout, cela n'allait guère changer ta situation familiale. Même si cette fois-ci ta famille était plus décontractée, les règles pour toi ne changeaient guère.

Dans l'année de tes douze ans tu finis Genin. Réussir le test était étrange pour toi. Cela voulait dire que tu devais être en groupe, avoir un sensei et cetera. Rien que de penser que tu allais devoir encore et encore supporter la présence d'inconnu, la bombe en toi ne faisait que de croître petit à petit.

Enfin tu avais quatorze ans, tu étais toujours aussi innocente et insouciante. Ta personnalité n'avait nullement changé, tu avais seulement grandi physiquement et mentalement. Tu ne connaissais toujours pas le reste du monde, tes parents ne voulaient point t'en informer. Tu restais donc dans l'insouciance, telle un oiseau en cage espérant un jour sa liberté. Ta liberté allait être difficile à trouver, être un ninja n'a jamais été ton but, il fallait encore et encore honorer la famille Maeda, c'était ta première mission en tant que bonne fille, non comme ton frère.

QUE PENSE VOTRE PERSONNAGE DE TOUT CE QU'IL SE PASSE ACTUELLEMENT ?

Yui || Mère ! Mère ! On me pose une question Bizarre !

Mère || Laquelle mon enfant ?

Yui || Que pense Yui de tout ce qu'il se passe actuellement ?

Mère || Ce n'est pas compliqué si ?

Yui || Mère je ne sais pas ce qu'il se passe ! Expliquez moi !

Mère || Il ne se passe rien ! Tu n'as qu'à commenter le régime de Meï Terumi !

Yui || Bien bien... Un jour je saurais ce qu'il se passe... Enfin je l'espère. Bref, alors le régime de Kiri est assez pacifique à mon goût, ce qui me va parfaitement. Alors que l'ancien régime qui était de … Youndaime était vraiment stricte et peu amusant. Enfin pour moi ça n'avait pas changé grand-chose dans ma vie, je suis toujours ''enfermée'' après tout.

Mère || Akatsuki ne te dis rien ?

Yui || Akatsu.. quoi ? Enfin si c'est encore un groupe de ''mauvais'', je préfère simplement m'abstenir et m'éloigner de tout cela. Après tout ce n'est pas pour rien que j'évite les combats si ?

INFOS IRL
PSEUDO - Aru
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SEXE - Fille
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