× [Flash Back] Red Hair under Night Sky | PV. Miyake Kamikage ×

× RED HAIR UNDER NIGHT SKY×

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Le désert, un territoire infiniment grand au paysage qui ne diffère que très peu, même après l’avoir parcourue des kilomètres durant. La moitié du temps, la chaleur est la chose la plus frappante quand on se retrouve dans un tel endroit. Les déserts sont, sans aucun doute possible, les endroits où la température est la plus élevée à la surface de la terre. Il est déconseillé de s’y aventurer sans une très bonne préparation. Mais étrangement, une fois que le soleil quitte son trône au sommet des cieux et que la lune vient prendre sa place, le désert devient un endroit très froid. On ne parle pas ici de température extrêmement froide comme dans les pays enneigé, mais le contraste est tout de même frappant. L’eau ne tombant presque jamais au Pays du Vent, la chaleur ne peut y être stockée ce qui en résulte des températures très fraîches la nuit. En résumé, le Pays du Vent est le plus chaude des Cinq Grandes Nations le jour durant mais également la plus froide une fois la nuit tombée. Ce contraste peut en énerver plusieurs, surtout ceux qui sont en visite, mais ceux qui habitent ce Pays y sont habitués et savent à quoi s’attendre. C’était donc une nuit comme celle qui vient d’être décrite qui venait de débuter au village du Sable. Il n’était pourtant pas bien tard que le vent porteur de grains de sable se faisait déjà plus frais et que les étoiles dans le ciel commençaient à se faire beaucoup moins timides. Comme à l’accoutumé, le ciel n’était porteur d’aucun nuage encore aujourd’hui, permettant ainsi à ceux qui étaient encore debout d’admirer ce ciel plus que parfait. Le village était tranquille, la majorité de la population s’était endormi dans leurs maisons faites de terres cuites. Il n’y avait aucun son, outre celui des rafales venant se fracasser contre les parois du village formant une cuve autour des habitations. Aucun mouvement n’était perceptible dans les rues et ruelles, excepté les grains de sable dansant au gré de la brise. Aucune lumières n’était visible, les installations d’éclairages venaient d’être éteintes. Bref, le calme était le mot d’ordre et rien de venait troubler cette douce et fraîche nuit paisible à Suna.

Car les exceptions font partie intégrante de l’univers, tout le monde n’était pas couchés, brisant les règles et la normalité, quelqu’un ne s’était toujours pas décidé à allez au lit. Et ses raisons étaient très bonnes : il ne pouvait absolument pas dormir, c’était hors de question pour lui. Cette personne était l’hôte de Shukaku, le démon à une queue. Celui qui en est le réceptacle est condamné à rester éveillé en tout temps, au risque de donner le contrôle à la bête en lui s’il décide d’aller au pays des rêves. Forcé dès le plus bas âge à ne pas succomber à Morphée, le Jinchûriki est en éveil constant. Bien entendu, ceci est proche de l’inimaginable, le fait de ne pas dormir a causé bien des troubles à ce jeune homme qui eu par le passé des problèmes de personnalité. Son insomnie grave lui fût très néfaste, mais désormais il s’y était très bien habitué et vivait avec cette contrainte sans effet néfastes sur son corps ou son esprit. Le temps que les gens ordinaires perdaient à dormir, lui il le prenait pour réfléchir ou encore en lisant pour se cultiver. Inutile de dire que cette personne est devenue quelqu’un de très mature et d’infiniment connaissant pour son très jeune âge. Ce fût un de ses atouts qui lui ont permis d’obtenir le titre très gratifiant de Kazekage : le Ninja le plus apte à diriger le village. Fil du précédent Kazekage, Gaara l’avait succédé au sommet de la hiérarchie.

Le Kazekage âgé à peine de seize ans passait donc encore une autre nuit, tout seul, alors que tout le monde dormait insouciamment, bien au chaud dans leurs couvertes. Le rouquin quant à lui portait, en plus de sa tenue normale composé d’une grande veste dans les tons bourgognes et de son plastron grisâtre, son très long et large foulard blanc afin de le protéger de la fraicheur de la nuit. Il marchait silencieusement dans les rues, il errait sans but précis. Il ne faisait que vérifier que rien ne viendrait troubler le sommeil de sa population dont il avait la charge. Gaara était quelqu’un de profondément dévoué à son village, il ne se contentait pas seulement de protéger son peuple dans l’adversité, mais quand le temps lui permettait, il veillait à son bien-être générale. La nuit avançait et il continuait de marcher dans un rythme très faible, presque perdu dans ses pensées. Il ne pensait aucunement qu’un ou qu’une Sunajin éveillé puisse l’interpelé, il se sentait seul au monde, seul au milieu du Désert. Gaara s’était désormais arrêté dans une des rues principales très vivante le jour, mais qui était totalement vide la nuit. Faisant une pause à sa marche, il s’assit sur un banc en bois, le dos accoté contre un mur sec qui composait un bâtiment. Il fermât les yeux quelques secondes, non pas pour dormir, jamais, mais pour profiter du moment de tranquillité.

©Wayke

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Cela faisait dix ans maintenant que je vivais dans le petit appartement de ma grand-mère a suna, 6 ans que je m'habitua à vivre seul dans ce village de ninja. À mon arrivée je m'étais inscrit à l'académie de ninja car, plus jamais je ne voulais voir mourir quelqu'un qui m'était chers. Je voulais devenir forte pour protéger les personnes que j'aimais. Malgré cela encore aujourd'hui, je ne m'étais attaché à personne, je n'avais pas d'amies, cela n'était pas causé pas mes traits différents, mais plutôt de moi-même. J'avais peur, peur de m'attacher à quelqu'un, d'être rejeter, peur de la perde. La mort de ma mère m'avait marqué. J'étais devenue insomniaque, je dormais bien sur, mais je le faisais que très peu de temps et encore là, je préférais ne pas dormir tout cours pour l'unique raison que je revivais cette journée encore et encore dans mes rêves.

Je faisais que très peu attention a mon entourage, je ne pouvais pas vous dire les noms de mes camarades de classe ni même celle de mon Sensai, j'avais entendu la présence d'un Jinchuuriki dans le village, de qui il s'agit ? Je n'avais pas la moindre idée, car je n'avais pas prêté plus attention à cela car a quoi bon ? La seule chose que c'est jeune racontait étais juste complément absurde. Il jugeait le Jinchuuriki juste à cause du démon en lui, a quoi cela servait-t-il ? Où était le mal dans tout cela ? Je ne comprenais pas leurs comportements vie à vie cette personne, j'avais donc trouvé cela inutile d'y prêter attention. Et encore aujourd'hui, je ne connaissais pas ça tête alors qu'il était Kazekage, car je ne regarde pas ce qui se passe dans le village, je ne vois ce qui se passe devant mes yeux, et cela, si je veux le voir.

Les nuits de suna étais plutôt abaissante, il n'y avais personne dans les rues c'étais paisible et j'appréciais cela, j'avais toujours bien-aimé les nuits c'étais des moments de détente. Bien que j'aime la nuit, je ressens beaucoup de tristesse, car j'avais l'impression d'être encore plus seul que jamais. Et pourtant, j'appréciai mes balades nocturnes bien que la plupart du temps, je les faisais dans mon cartier. Aujourd'hui, différemment des autres jours je suis allé sur le toit d'une édifice plutôt élever près de la rue principale, elle n'était pas plus grande que la tour du kazekage, mais elle restais tout de même élever. J'étais perché sur le report, les pieds dans le vide a chanté les paroles d'une chanson que je connaissais bien tout en regardent les étoiles dans le ciel.

La chanson ''Lie''

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La nuit, temps sombre et obscur. La période de la journée ou la majorité des gens évitent d’être conscient. Quand le soleil n’est pas haut dans le ciel, plusieurs personnes ressentent une certaine crainte, voir de la peur, à rester en éveil et préfèrent partir au pays des rêves le temps que la lune quitte les astres visibles pour redonner sa place à la grande étoile flamboyante qu’est le soleil. Les gens, à l’origine, n’apprécient pas la nuit : leurs sens de la vue deviennent bien superflus dans l’obscurité nocturne. Les gens normals ont toujours craint de vivre sans un de leurs cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorât, le goût et le toucher. La grande partie des humains n’osent pas penser à une vie sans un de ses sens. Malheureusement, la nuit, c’est comme si ont leur enlevait la vue. Or, Gaara aimait la nuit. Non pas qu’il aime ne pas voir grand-chose, mais cela lui permet de se mettre dans la peau de quelqu’un de myope, de mieux comprendre les sensations que donne la perte de la vue. C’est donc les yeux fermé qu’il était là, assis sur un banc à développé ses autres sens alors que ses yeux se reposaient. Il caressait les textures du banc et du mur derrière lui du bout de ses doigts, il sentait l’air sec du désert en prenant de grandes respirations nasales. Ses oreilles étaient bien tendues, captant chaque bruit qui survenait dans la ville. Une fois un sens perdu, les autres étaient plus sensibles, c’est grâce à ça que son appareil auditif captât des sons qui lui aurait été invisible autrement. Un être vivant était encore debout en ces heures tardives, elle marchait tranquillement. Se concentrant, il mit tout ses sens en arrêt sauf celui qui lui permettait d’entendre. Puis le son de ses pas cessât de résonner au creux des oreilles du Kazekage, la personne c’était immobilisée non loin d’ici. Un ennemi s’étant introduit au village ? Impossible, des gardes se tenaient à l’entré du village normalement. C’était donc un ou une Sunajin qui ne trouvait pas le sommeil.

Posant tranquillement deux doigts de sa main gauche sur son œil droit, il utilisât la technique « Daisan no Me » qui lui permettait, pour un coût infime de Chakra, de créer un troisième œil de sable. L’œil maintenant créé, la connexion des nerfs optiques était fait. Il voyait désormais à travers cet œil créer par lui-même, un œil qui pouvait se déplacer silencieusement dans l’espace. La petite sphère s’envolât donc pour dominer tout les bâtiments du village, cherchant la personne que le marchand de sable avait oublié. Elle ne fût pas dure à trouver au final, elle était assise sur le report d’un grand bâtiment, les pieds ballotant librement dans le vide. C’était à première vu une jeune adolescente. Gaara prit le temps de l’étudier, elle arborait une longue chevelure au couleur identique à celle du Kazekage, elle semblait perdu dans ses pensées, le regard porter vers les étoiles célestes. L’œil de sable s’était approché discrètement afin de mieux la discerner. Son regard était intriguant, les yeux de cette jeune fille étaient de couleurs différentes, alors que l’un était aussi bleu que le ciel en plein jours dans le désert, l’autre était comparable au vert d’une grande prairie sous un soleil d’été. Ses habits sombres étaient principalement composés d’un minishort noir avec une ceinture noir et argenté. Quel insouciance de s’êtres habillé de la sorte alors que le désert est très froid la nuit… Elle devait vraiment gelée la pauvre. Le reste de ses vêtements fessaient très urbain, l’œil de Gaara avait fait le tour de sa personne sans se faire remarquer, et comme dernier détail, il nota que le Kanji « Croire » était transcris dans son dos. Le jeune rouquin désactivât finalement sa technique, le sable qui composait l’œil se dissipât dans l’air du village, se mêlant sans difficulté aux murs de terre cuite. Sans ouvrir ses véritables yeux cyan, il se levât sans empressement. Son corps se désagrégeât lentement, sa peau et ses vêtements étaient devenu beige et granuleux. Gaara ne devint qu’une simple statue faite de sable qui partie au gré du vent. Formant un tourbillon sur le toit du bâtiment ou la Sunajin se trouvait, Gaara réapparut au centre, reformé par le sable. Il se tenait derrière elle, totalement silencieux. Les bras hautement croisé sur son torse, sa posture droite et sa tête légèrement penché vers le haut lui donnait un air autoritaire qui imposait le respect. Il fixait intensément le Kanji inscrit sur le dos de la jeune fille et l’écoutait fredonner une chanson. Il attendit qu’elle eu finit avant de prendre la parole de sa voix calme, égal mais pas pour le moins puissante et grave.

Tu es bien insouciante. Les nuits dans le désert sont glaciales, le froid doit mordre ta peau, revêtu comme tu l’est.

©Wayke

**Invité** Invité

Le soleil était couché depuis des heurs déjà, les autres habitent dormais habituellement dans le village de Suna et pourtant, moi, j'étais pris d'insomnie. Cela m'arrivait ressèment, mais, j'étais habitué à tout cela, je n'aimais pas dormir, car j'étais chaque nuit prit en otage par mes rêves me mémorisent des souvenirs douloureux. Les nuits de suna étais froid certes mais, je me couvrais toujours peu car le froid me restais éveiller si j'étais pris de fatigue de plus, la froideur intense des nuits étais pour moi ce qui calmais mes esprits, cela m'empêchais de mémoriser mes souvenir douloureux. Je préférais aller sur les toits a chantonné les paroles de mes chansons favorites plutôt de repenser à mon passé. Je venais de prononcer les dernières paroles de l'une d'elles, ce fut juste après celle si qu'une voix calme qui étais toute fois grave, ce fut attendre dans mon dos

« Tu es bien insouciante. Les nuits dans le désert sont glaciales, le froid doit mordre ta peau, revêtu comme tu l'est. »

Je me retournai que légèrement la tête, puis je regardai qui étais celui qui m'avait parlé. Cela était fort surprennent pour moi de voir un jeune rouquin qui devait avoir mon âge juste là, a quelque mètre de moi. Pourquoi ne dormait-t-il pas ? Comment avait-t-il approcher sens que je ne m'en rendre contre ? Je n'en avais pas la moindre idée. Et pourtant, il était là, les bras croisés, le dos droit, la tête haute. Ça posture lui donnait une aire autoritaire ce qui devait imposé le respect des autres, mais pour moi, cela n'importait peu, car le respect était pour moi donner. En d'autre terme si je n'avais pas le respect, je ne voyais pas pourquoi j'en donnerais. Le jeune homme avec des cheveux aussi rouge que les miens, ces yeux étaient d'un joli turquoise entouré de noir, ce qui fessait ressortir que plus ces yeux. Il portait une grande veste de couleurs bourgeonne ainsi qu'un plastron grisâtre avec un grand foulard blanc. Oui, comparer à moi, il était bien plus vêtu que je me trouvais en ce moment. Ne voulant pas être impolie, je lui répondu de ma voix douce, ni trop enfantine ni trop grave.

« Oui... Il se pourrais bien que je le sois, pourtant.. Ces cela qui me tient éveiller et calme alors je ne fais pas trop attention au froid. »

Je confirmais bien que je devais être insouciante d'être vêtu de si peu de vêtement, il était peu être vrai que cela, soit nuisible pour moi, mais, je ne voyais pas grande différence a ça que mes souvenirs. Cela dit, ce garçon m'intriguait énormément, moi qui ne fais attention a pratiquement personne, j'étais tout fois intriguer par celui si, car c'était bien la première fois que je croisais quelqu'un d'autre que mon ombre sous cette nuit étoilée. Plusieurs questions se posaient dans ma tête, mais le seul qui me revenait le plus souvent étais, pourquoi ne dort-t-il pas ?

« Pourquoi es-tu là ? Tu ne devrais-tu pas dormir comme tous les autres villageois ? »

Je n'avais pas demandé son nom, car pour moi cela n'était pas nécessaire, s'il était venu ici cela devait être par curiosité, ce qui voulait dire que j'allais sent doute plus le recroisé. Je ne voyais aucunement d'une quel contre possibilité de lui parlé de nouveau. Cela était donc pour moi inutile, je n'avais pas besoin de connaître le nom d'une personne que je ne révérais plus.

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Elle s’était retournée, le vent du soir faisant danser légèrement quelques unes de ses mèches rebelles de ses cheveux aux couleurs de flammes. Ses yeux aux couleurs non-identiques me fixaient, perplexe. Évidemment, elle ne s’attendait aucunement à ce que quelqu’un vienne à sa rencontre au sommet de cette structure en plein milieu de la nuit, alors que tout le monde était bien couché dans leurs lits. Les secondes passèrent, Gaara ne bougeait pas, seul ses vêtements se laissaient agiter au gré du vent, quant à l’adolescente, elle semblait encore se poser des questions intérieurement. Elle se décidât finalement à briser ce silence en lui répondant d’un ton doux, qui ne se voulait pas hostile. « Oui… Il se pourrait bien que je le sois, pourtant… C’est ça qui me tient éveillé et calme, alors je ne fais pas trop attention au froid. » Elle utilisait donc la fraîcheur de la nuit afin de garder son corps en éveil. Pourquoi cette automutilation ? Elle pouvait attraper des maladies liées à une température corporelle trop basse à force de rester ici, habillé comme ça. Surtout que le vent est d’autant plus présent dans les hauteurs que dans les rues, c’était bien le pire endroit ou se tenir en des heures comme celle-ci. Le Kazekage n’avait pas bronché à ses paroles, il était resté impassible, analysant la situation. Pourquoi vouloir s’imposer nous-mêmes l’interdiction de dormir ? Dans son cas, le démon en lui expliquait tout, mais qu’est-ce qui pousserait une personne normale à s’encombrer de cette contrainte ? Elle ne lui laissât pas le temps de répliquer, d’autres paroles sortirent de sa bouche : « Pourquoi es-tu là ? Tu ne devrais pas dormir comme tous les autres villageois ? » Visiblement, elle ignorait à qui elle s’adressait… Pourtant, tout le monde au village était au courant du fait que le Démon Shukaku l’empêchait de dormir, ce n’était plus un secret pour les Sunajins. Est-ce qu’elle n’était pas originaire d’ici ? C’était très peu probable en y pensant bien. Il restât encore immobile tel un bibelot quelques secondes durant avant de prendre la parole une deuxième fois en gardant le même ton que tout à l’heure.

Je suis l’hôte du Démon du Vent, Shukau le Bijûu a une queue, également appelé « Ichibi ». En tant que Jinchûriki de cette bête infâme, le sommeil m’est interdit au risque de libérer la puissance et la folie contenue dans cette monstruosité.

Il venait de préciser ce que tout le monde savait, car apparemment que ce détail lui était inconnu, sinon elle n’aurait pas posé cette question. Ce qui lui fît penser qu’elle ne l’avait pas appelé « Kazekage-Sama », ce qui aurait été tout à fait normal. Mais elle ne l’avait pas appelé d’aucune façon que ce soit, c’était plus qu’irrespectueux. Ce qui lui fît penser à autre chose, savait-elle qui il était ? Bien entendu… Quelle question, qui ne le connait pas ? Ne pas être au courant de qui dirige son village serait un très grand affront à lui-même ainsi qu’ à son village, avait-elle une quelconque considération pour son village et ses frères d’armes ? Ou se contentait-elle de vivre comme une paria, ne s’informant aucunement des évènements se déroulant dans son propre village ? Il fronçât les sourcils à ses idées inconcevables. Il lui posât une question cette fois-ci, ça voix se faisant un peu plus autoritaire qu’auparavant.

Et je me nomme Gaara, du Désert, Godaime Kazekage. Et vous êtes… ?

Il voulait absolument vérifier qu’elle savait bel et bien qui il était, si elle le savait et qu’elle lui avait parlé comme cela en connaissance de cause, elle était bien présomptueuse. Non pas que Gaara sois très à pied sur les « Sama », mais le fait de ne pas l’avoir entendu de la bouche de quelqu’un avec qui il n’était pas beaucoup familiarisé détonait un peu. Dans tous les cas, cette personne était intéressante, il ne comptait pas la sanctionner pour quoi que ce soit, il voulait premièrement s’informer à son sujet. Et savoir également pourquoi elle se refusait le sommeil cette nuit.

©Wayke

**Invité** Invité

Le jeune homme resta impassible cela me surprit beaucoup, Nombreux sont ceux qui me regard étrangement en apercevant mes canines et mes yeux. Pourtant, lui, il n'affichait pas un de ces regards, je pouvais vous dire que cela me fessait étrange, mais au même moment très plaisir puisque j'ai enfin l'impression d'être quelqu'un comme les autres sens avoir une quel contre différence.

» Je suis l'hôte du Démon du Vent, Shukau le Bijûu a une queue, également appelé « Ichibi ». En tant que Jinchûriki de cette bête infâme, le sommeil m'est interdit au risque de libérer la puissance et la folie contenue dans cette monstruosité. »

Le Jeune homme a la chevelure de feu utilisait les mots infâmes et monstruosité, je ne comprenais pas cela, pourquoi utilisé de tel mot pour un démon ? Bien sur ceux si son des monstres, mais, pour moi les hommes les appelaient comme cela parce qu'il ne pouvait les contrôles. Je ne suis aucunement apeurée d'un démon même que cela me fascinait en quelque sorte. Je me demandais toujours si les démons ont toujours été réellement méchants ou ne sont juste pas juste devenu ainsi parce que nous autre humain les avons rejetées par la peur de leur puissance. Je comprenais que cela n'était pas facile d'être un Jinchûriki, car grand nombre des humains les rejette comme si l'hôte était lui-même le démon et j'étais certaine que c'était pour cela que le garçon disait cela. Ce garçon était donc le jeune dont j'avais attendu les insulte et le méprit à son écart, c'était aussi lui la kazekage du village de suna. Le kazekage devais sûrement pensé que je lui avais manqué de respect pour ne pas l'avoir appeler ''Kazekage-sama'' comme les autres villageois du village le ferais. Le jeune kazekage montra pour la première fois une expression dans son visage, il avais froncé les sourcils, l'avais-je hérité? où était-ce de l'incompréhension? Cette fois, sa voix fut plus autoritaire que les précédentes fois qu'il m'avait adressé la parole.

« Et je me nomme Gaara, du Désert, Godaime Kazekage. Et vous êtes... ? »

j'avais comme l'impression qu'il avait deviné que je ne le connaissais pas, sinon pourquoi me confirmer son nom en plus de me dire qu'il étais le kazekage? Même si ce dernier avait pris une voie plus autoritaire je restai assis sur le report du bâtiment. Je respirai profondément avant de répondre à sa question, comparer à lui, je n'avais pas changé de ton.

» ...Miyake.. Kamikage Miyake.. Désoler de ne pas vous avoir reconnu je ne prêt pas vraiment attention a ce qui m'entoure du moins pas a l'intérieur du village, j'ai peur que cela me nuise si je le faisais.. »

J'avais baisé mes yeux sur le coup attrapa par la même occasion ma mèche rebelle, je me sentais légèrement mal, je n'avais pas l'intention de manquer de respect envers la Kazekage alors je laissais qu'un léger sous-entendu en espérèrent qui n'en prennent pas part et qu'il ne me poserait pas de question. Je n'allais pas raconter le pourquoi du comment j'en suis arrivée a ne prêtez aucunement attention à mon entourage. Cela serait qu'une perte de temps puisque je l'ennuierais plus qu'autre chose, c'était un haut placé, il n'allait pas écouter l'histoire de tout le monde tout de même, il n'avait pas que cela à faire. Cela dit, il ne m'avait toujours pas dit le pourquoi il était venu me voir ce n'est pas comme si j'étais quelqu'un d'importante et il ne me connaissait pas plus que cela alors pourquoi était-t-il venu sur le toit ?
« Cela dit pourquoi être vous venu sur le toit ? »

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