Kirijin dans le désert.

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Une rencontre

Des réflexions concernant ce monde dans lequel mon corps se ballade. Ce monde qui se meurs dans ses propres sentiments ténébreux. Ces sentiments néfastes qui poussent l`homme avare à semer ce qu`il ne pourra récolter. Je rentrai de cette guerre, lasse, épuisé d`être l`instrument de ces malheurs allant à l`encontre de mes idéaux. Je ne pris personnellement, aucune distraction, aucune joie et aucune volonté à participer à cela. Seule cette apatride, qui me sert de dédoublement de personnalité, avait nourrit, rassasier son gout incessant du sang et du combat. J`été converti, immaculé du sang de mes victimes. Des taches indélébiles marquant mon corps et mon âme. Les jours passèrent, la vie devint monotone, ma démotivation se faisait palpable. Blessé tant mentalement que physiquement, mon corps se remit peu à peu de ces graves altérations. Enfin rétablie je pus enfin reprendre mes moments d` entrainements intensifs. Mon nindo, ma détermination, mon envie de changer un monde sans avenir, tel était ma véritable puissance.

Le Destin est une chose tout simplement impossible à connaitre, par conséquent, nous devons le construire avec une ferveur assez fanatique voir hérétique selon la personne. La guerre, comme un nuage de brume s’installant au-dessus d’un village connait une monotonie assez particulière dans ce petit grain de poussière simplement pathétique. Doucement mais surement, le temps s’écoule et le nuage ne devient finalement qu’un point d’antimatière noire dont personne ne prête attention. Les humains se fichent de tout cela. La compétition de la puissance n’est nullement une chose qu’il recherche avec attention. La seule et unique chose qui les intéresse est leur propre survie et leurs propres richesses. Cette lutte de la paix n’est définitivement rien d’autre qu’une légère tâche de gras dans un Monde à l’utopie mourante avec un affolement morose

Vivant sans crainte, m`exerçant tranquillement dans cet endroit paisible. Ma lame crépitant à chacun de ses mouvements, fluide et impassible, d`une grisante couleur métallique. Ma lame gémissant à chaque caresse procurée par ce vent flegmatique. Cet air frai et pur qu`inhalait mes poumons, à chaque impulsion qu`effectuait mon intellect, allégé par cette brise matinal. Un coup puis un deuxième, mon esprit et mon âme, bouillonnant, laissait échappé un liquide. Ce liquoreux translucide, preuve de la suractivité de mon organisme. Mon énergie s`écoulait à travers mon être tel un long fleuve tranquille, sans pour autant affaiblir la liquidité de mes désescalades. Tout au long de l`ascension cardinal de l’Etoile qui régnait sur notre doctrine astrale, mes altérations s`effectuaient sans encombre, mais mon enthousiaste et mon perfectionnisme les poussèrent présentement à un niveau supérieur. Je résidais dans un milieu extraordinaire, caractéristique du pays de la foudre. Le paysage qui m`étais dû d`apprécier, étais cependant divisé en deux panorama bien distinct.

Le désert de sable du pays du vent. Le temps n'avait rien a voir avec le village de Kiri. Je passais du coq a l'âne en une fraction de seconde. Ma longue tunique noir et rouge me faisais transpirer alors qu'elle avait du mal a me tenir au chaud dans mon pays. Ouvrant la fermeture éclair, je baissais ma veste au niveau de la taille en la retroussant. Cela était bien mieux a vrai dire. Du sable, du sable, encore du sable. Il n'y avait rien dans les frontières de se pays. Pas de petit village pour s'arreter pour s'abreuver, pas de camps de vendeur ambulant, rien. Le néant total. La paix avait sans doutes dû déjà s'abattre ici. L'air était triste, je pouvais sentir la sècheresse dans le souffle du vent qui venait frapper mon visage. Le soleil était haut et j'avais l'impression de le voir s'étendre au tour de moi au moindre de mes mouvements. Le village de Suna était vraiment assez complexe. Je comprenais maintenant pourquoi personne n'osé s'aventurer la bas, au risque de perdre la vie dans ce désert avant de pouvoir atteindre le village. Ceci quand on y pense, agissait extremement bien comme rempart. Le désert ce chargé des plus faible, les plus courageux étaient terminé par les shinobis du village.

M'inclinant en saluant les deux ombres qui s'approché de moi depuis plusieurs minutes, dont je pensais que ne n'été juste qu'un mirage. Je pris la parole d'une voix posé et sage. Montrant que je ne n'étais pas venu ici pour creer des hostilités.

" Bonjour Shinobi du village de Suna. Je suis un Ninja voyageur du pays de la brume. Un Kirijin. Je ne suis pas ici pour m'engager dans un combat ou même créé une guerre entre nos deux villages. Je suis ici pour en apprendre plus sur la possibilité de faire de ce monde un havre de paix. "

Hrp : Passage = Ryu ==> Kenji ==> Lyra ect

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« Kirijin dans le désert. »
Aokawa Ryu - Kenji Yudai - Lyra Nasaki

Ma vie à Suna restait là-même. Le réveil auprès de Yume, le déjeuner avec les enfants, j’espérais que rien n’allait changer de ci-tôt. Tout était banal mais j’en étais satisfait, mes enfants pouvaient enfin s’épanouir et entreprendre la voie qu’ils souhaitaient. Certes, avec ce monde, la vie restera difficile avec eux comme elle a été avec moi il y a quelques années, mais à quoi bon vivre dans un passé rempli de tristesse quand vous vivez dans un présent comblé de bonheur. Je peux encore m’estimer heureux d’avoir une telle famille, et aussi cette équipe sur qui je peux compter, tous ses gens qui croient en moi. Je ne suis certainement pas renommé comme une légende pour rien, je dois beaucoup à Fuma et à Mifune qui m’ont donné une seconde chance, une nouvelle vie.

Ma tâche du jour était d’escorter et de protéger la jeune Lyra Nasaki, reconnu pour être le récéptacle de Schichibi. Une très jeune Jinchuuriki de 13 ans, qui est promis à de grands projets, je ne sais pas si pour son jeune âge, elle allait pouvoir tenir le coup. Mais c’est bien pour cela qu’elle a des équipiers, des amis… Nous sommes là pour l’aider, la protéger et la soutenir, son rôle est complexe et pour la comprendre, ce n’est pas facile, je ne connais pas ses sentiments, ce que lui fait vivre se démon qui est enfermé en elle. Mais j’étais certain d’être à la hauteur pour le devoir que je devais accomplir.

En route vers son domicile, nous devions tout d’abord faire un tour dans le désert. Son entraînement allait être intensif, il fallait qu’elle se rende bien compte de son poste. Le désert pour une fille de 13 ans, cela restait simple, il fallait juste être fort, physiquement comme mentalement. Quand elle sortit, sa réaction était bien étrange, elle ne devait certainement pas être attendue à me voir. Un Samouraï qui allait l’entrainer une Jinchuuriki… J’avais tellement envie de lui apprendre un maximum de chose, mais une journée, c’était bien trop court. Par contre moi, j’avais bien envie de découvrir ses ressentiments. Nous n’avions pas de mission spéciale pour ce jour, nous étions dispensés mais notre rôle restait le même, protéger le village.

Dans le désert, la marche lui fut rude, elle n’en avait nullement l’habitude. J’étais à l’aise, mais le vent du pays du Fer me manquait terriblement, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas ressenti une brise de vent dans les cheveux. Cette atmosphère était irrespirable, nous ne devions pas manquer de nous hydrater, enfin Lyra surtout, elle ne tiendrait pas longtemps. Nous n’avions qu’une gourde, j’avais l’habitude du désert, je m’en suis habitué rapidement, je voulais voir comment elle allait gérer sa ration d’eau qui était assez limitée.

Nous nous rapprochions de la frontière, notre marche s’accélérais et notre souffle aussi. J’étais satisfait du courage de la jeune fille, elle était apte à toutes les épreuves, car une marche dans le désert prouve une détermination, je ne l’ai pas entendu se plaindre et dieu sait que j’en ai entendu des gamins se plaindre pour n’importe quelles raisons. Mal aux pieds, poing de côté etc… Les excuses les plus utilisées. Lyra était impréssionante, je comprenais pourquoi ils l’avaient choisie comme réceptacle, elle était plein de ressources.

Nous étions à la frontière, nous discutions avec Lyra, pour que je puisse mieux la connaitre. Elle me montrait quelqu’un du doigt, un jeune homme, apparemment comme son bandeau l’indiquait, de Kiri, village réputé pour ses légendaires et redoutables ainsi que talentueux épeiste. Il était d’un air déçu mais je voyais une détermination dans ses yeux, nullement quelqu’un ayant de mauvaises ambitions. Je restais près de Lyra, je marchais devant, la main droite prête à dégainée mon sabre de son fourreau, l’homme se présenta :

« Bonjour Shinobi du village de Suna. Je suis un Ninja voyageur du pays de la brume. Un Kirijin. Je ne suis pas ici pour m'engager dans un combat ou même créé une guerre entre nos deux villages. Je suis ici pour en apprendre plus sur la possibilité de faire de ce monde un havre de paix. »

« Bonjour. Tu es bien fou de t’aventuré dans notre pays sans avoir connaissance de ce désert. Que veux-tu faire de plus, notre village est en paix avec les autres. Tu es plein de sagesse à vouloir ramener un tel monde à une paix incertaine. »

Lyra restait en retrait, je n’avais pas envie qu’elle se risque à combattre, cet homme était peut-être un espion et je n’étais pas certain que ses mots étaient vrais. A lui de me convaincre de le laisser passer mais ses tentives seraient inutile, je ne voulais pas risquer la mort de mes camarades. Et le désert allait le tuer, il n’avait l’habitude que du climat froid de Kiri. Mais Lyra restait ma priorité…

© FICHE CRÉÉE PAR AMYLITH | NESIS | MEIYA

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Donc Lyra, on est d'accord sur ce point : tu avoue que je suis le Bijû le plus sexy, le plus maléfique et le plus beau gosse de tout les autres bijûs et en échange, je n'essaye pas de prendre le contrôle de toi, OK ? c'est un deal acceptable. Les autres bêtes à queues demandent une soumission totale, je suis pas comme ça moi. Tu réalise seulement la CHANCE que t'as d'avoir moi comme bijû ? parce que je vais te dire ma vieille, Gobi, c'est différent. Il aurait exigé des posters pour sa cage, t'imagine ? Nibi, là aussi. On atteint des putains de record. Du lait ou possession instantanée, impossible de dialoguer avec ce matou sans lait. Si on lui laissait le choix, je parie que son réceptacle serait un laitier... C'est comme Rokubi, son réceptacle fait des bulles, il paraît ? T'entends ? des bulles ! tu sais pas comment je me suis marré après avoir entendu ça. M'enfin, j'ai entendu dire aussi qu'il était beau gosse... Et Yonbi...

Lyra bailla un peu, assise en tailleur sur le liquide étrange qui servait de sol dans la salle de Nanabi. Elle se maudissait elle-même. Depuis l'incident de la dernière fois, elle avait pris la décision de voir Nanabi afin de lui demander de ne pas prendre le contrôle. Ce dernier avait commencé à faire un deal et finalement, la décision s'étendait désormais sur les autres bijûs. L'insecte à 7 queues était bavard, c'était évident. Mais le faire taire était pratiquement impossible, compte tenu que de un, c'était un insecte de la taille d'un immeuble capable de dévaster un village sans y prêter attention. De deux, il était impossible de l'atteindre, par conséquent, elle ne pouvait qu'atteindre vainement qu'il ferme sa grande bouche.

Elle pouvait bien entendu partir à tout moment mais elle devait toujours le faire promettre de ne pas la manipuler et en plus, il risquait de se vexer si elle partait. Et personne ne voulait avoir affaire à un Bijû vexé, pas même Lyra. Cette dernière était donc obligée d'attendre et attendre jusque à ce qu'il n'ait plus de sujet où jusque à ce qu'il se souvienne de l'existence de sa Jinchuuriki. Et le procédé pouvait être très long, ce qui n'était pas pour arranger la Sunajin... surtout dans les cas important comme celui-là. Elle utilisa donc les grands moyens et toussa un peu afin d'attirer son attention.

Ha ouais merde... Bon, qu'est-ce que tu dis ma gentille petite Lyra, afin que je ne vienne pas te manipuler la prochaine fois que tu pète un câble ?
Oui, Nanabi. Ô Bijû le plus beau, le plus puissant, qui rend Kyûbi jaloux et qui est le plus menaçant des bijûs.
Bien... Maintenant, je vais te parler du moment bizarre où Ichibi s'est mis à danser. Alors, je venais de contacter Shukaku pour m'amuser et là...

Le ciel venait de venir en aide à Lyra qui put entendre sa mère toquer à la porte, elle se releva et lança un regard serein à Nanabi avant de partir, laissant seul son bijû qui en était au moment de l'histoire ou Sanbi rejoint la danse et se crash sur Gobi.

Lyra revint dans sa chambre et se releva avant de se diriger vers sa chambre, sa mère se tenait sur le seuil de sa porte, l'ait assez inquiète.
Lyra ? il y a un... samouraï au seuil de la porte. Il dit qu'il doit aller t'entraîner, alors je suis venue te chercher mais... tu décide, hein ?

Un samouraï ? Lyra fit un signe de la tête et enfila son écharpe, le fourreau de son épée avec l'épée dedans et ses sortes de gants avant de descendre vers la sortie, faisant un petit signe à son père qui buvait son café en lisant le journal. Elle tourna ensuite son attention vers l'autre.

Elle fut surprise pendant un court moment, il était bizarrement assez jeune (du moins, il avait l'air assez jeune) mais plus grand que Lyra. Elle ne pouvait pas dire qu'est-ce qui était le plus bizarre : ses cheveux blancs hérissés ou ses grands yeux bleus dans lesquels elle se sentait happée. La surprise disparut en revanche assez rapidement de son visage alors qu'ils prirent tout les deux la route vers le désert. Ils semblaient être en congé mais on dirait bien qu'elle allait l'emmenée à un entraînement...

La marche dans le désert était difficile mais Lyra s'y était déjà aventurée quelques fois et par conséquent, elle n'était pas trop gênée par ça. La déshydratation était cependant un problème, heureusement résolu par le samouraï qui avait emmené une ration d'eau. La jeune fille se contentait très souvent de prendre l'eau et de la garder un peu dans sa bouche.

Lyra décida alors de prendre la parole.

Dites-moi... Quel entraînement comptez vous me faire suivre ? le Kenjutsu ou alors l'entraînement pour maîtriser Nanabi ?

Alors qu'elle attendait sa réponse, elle aperçut quelqu'un du coin de l'oeil. Elle ne pouvait pas se faire une idée mais la vision d'un individu dans le désert était quelque chose de rare. Surtout en dehors des chemins plus sûrs. Elle le pointa du doigt et son mentor se dirigea vers l'inconnu. Lyra se contenta de rester en arrière mais se tenait prête à aider son sensei si jamais ce dernier était attaqué par l'inconnu qui, à la grande surprise de la jinchuuriki, ne fit rien d'hostile.

" Bonjour Shinobi du village de Suna. Je suis un Ninja voyageur du pays de la brume. Un Kirijin. Je ne suis pas ici pour m'engager dans un combat ou même créé une guerre entre nos deux villages. Je suis ici pour en apprendre plus sur la possibilité de faire de ce monde un havre de paix. "
Bouh, tapette.

Lyra soupira devant le manque d'ouverture de son bijû et s'assis sur un rocher qui restait toutefois assez loin, elle était plutôt fatiguée de marcher et cet étranger était une bénédiction.

Ce n'est pas vraiment le monde de paix qui importe, c'est plutôt comment on l'obtient... et certaines personnes, malheureusement, ne vivent que dans le combat.

**Invité** Invité

Une Rencontre.

Ce monde à l’origine blanchâtre, pâle, maussade. Il est maintenant salit pour toujours. Mon enseignement principalement composé du Kenjutsu et du Ninjutsu, m`avait permis d`extrapoler ces atrocités humaines de mon être. J`avais, par l`intermédiaire de mes recueillements quotidiens, appris à ne guère mélangé ces sentiments néfastes au miens. Cette mauvaise anecdote à laquelle les Hommes s`attachaient, allait bientôt sombrer dans ma lumière. Ce pays vue le théâtre de combat sanguinaire dû à la récente guerre shinobi. Je dois vous avouer que cette contrée, était pour moi le symbole de la renaissance. Un exemple à calquer pour tous les pays. L’histoire s’intègre avec une facilité déconcertante dans les esprits assez maussade des hommes. Bien entendu orchestrer par une espèce de commentateur avalant ses propres paroles de par la nonchalance du geste. Cette chose tout simplement abjecte, mais pourtant qu’on vénère avec une folie tout simplement inquisitrice, voire peut-être fanatique. Enfin trêve de bavardage. En mon âme et conscience, je décidai de faire abstraction de toutes ces réflexions, pour me remettre à mon entrainement. Un puissant vent se leva, faisant claquer ma chevelure d`une nuance verdâtre argenté.

Face à mes pupilles rouges sang se dressaient des montagnes de sable au porte des cieux. Le décor se trouvant derrière mon échine, couvert par un kimono en soie blanche, se caractérisait par une immense plaine fleurie de mille et une couleur vivante. Chaque rayon de soleil pénétrait ce ciel sans nuage, pour finir leurs trajectoires sur ce champ de dune sableuse. Harmonisant ainsi le tout, pour créer un paradis terrestre. Un ciel bleu et sans nuage, malgré sa frontière commune avec d`autre pays au climat sec et aride. À se demander si ces derniers n`étaient pas maudite. C`est ce caractère abstrait qui me charmai dans cette contré du pays du Vent. C`est cet allure nouvelle, qui me charmai. C`est cette particularité qui m`attirai. Seul dans ce monde sans crainte et sans peur, je pouvais enfin m`adonner à mes combats, et mes méditations acharnées. D`un geste de ma main célibataire, une compagne au visage métallisé et tranchant apparue. Du chaos naît une étoile.

Pourtant nous étions bien loin de cette atmosphère si paisible et si chaleureuse. Oui bien entendu il faisait chaud, même trop chaud dans cet endroit. Un homme et une jeune fille se manifestaient devant moi. Je n'avais pas présenté de mouvement ou de parole hostile envers eux bien au contraire. L'homme prit en premier la parole, demandant et c'était tout a son honneur le pourquoi ma venu dans un lieu bien loin du mien. J'étais ici pour créer un havre de paix avec toute personne peuplant cette terre. Le monde avait connu bien trop de guerre, avait connu bien trop de rivière a la couleur sang des ninjas mort au combat. Nous n'avions pas le droit de prendre la vie a quelqu'un part un simple désir. Nous n'étions pas des " dieux ". Nous étions tous pareil, issu de la même terre, nous devions apprendre a cohabiter ensemble. Pourquoi ne pas faire de se monde quelque chose de plus beau et de plus ambitieux que de vouloir la mort et la désolation.

La jeune fille qui accompagné l'homme annonçait une phrase très pertinente. Je ne pouvais pas changer le monde a moi seul, j'avais besoin que l'on m'aide. Je ne pouvais pas en un claquement de doigt changer la phase du monde et les idéaux néfaste des divers individus. Mais je me devais de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour essayer de changer les choses. Je m'approchais du ninja en face de moi en lui tendant ma main pour le saluer.

" Je me présente, Aokawa Ryu, Juunin, manipulateur d'arme lourde du village de la brume. "

Je marquais une légère pause avant de reprendre d'une voix douce.

" Je ne suis pas dieu, je ne peux pas arriver seul a instaurer au cinq grande nation une paix immédiate. Mais je peux par ma volonté tout faire pour parvenir a changer le coeur des gens. Je peux avec l'aide de personne suivant mon nindo arriver a instaurer la paix. Mais seul je ne peux pas faire de miracle. Je compte parcourir toute les nations afin de trouver des personnes voulant changer en bien la phase du monde. Il y a eu trop de guerre, trop de mort. Nos famille ont connu trop de chagrin du a des décès. Je ne veux plus revivre cela, je ne veux plus perdre quelqu'un qui mets chère. Pouvez vous, changer la tournure des évènements ? Pouvez vous suivre le mouvement de personne causant la désolation a chaqu'une de leur décision ? Pouvez vous rester sans rien faire face a autant de douleur et de chagrin ? "

(c) Alyss (Kanade A. J. Rye) pour Aokawa Ryu

**Invité** Invité

HRP: Désolé du court post' :/

Le garçon avait l’air sérieux, il était sûr de ses dires, mais il fallait que je reste sur mes gardes, il pouvait être bon menteur. J’observais Lyra du coin de l’œil, partit s’asseoir sur un petit rochet, qui était situé sur ma gauche. Je devais me préparer à toute éventualité d’attaque. L’homme restait devant moi, d’un air pensif. J’hésitais sur ma décision, je ne pouvais pas le laisser passer pour une telle absurdité ! Je le regardais dans les yeux et lui dit :

Kenji • « Tu penses qu’en venant dans chaque village, tu pourrais en instaurer une paix. Pour préparer la paix, il faut préparer la guerre. »

Je fis signe à Lyra de venir vers moi, nous allions rentrer maintenant, et je ne lasserais pas passer le garçon. Lyra marchait derrière-moi en direction de Suna, retour à la caserne, je ne voulais pas que des personnes mal intentionnés s’empare de ma jeune élève et de son Bijûu, qui sait ce qu’elle deviendrait, à cet âge, elle ne survivrait pas. Je reculais, ma main sur le manche de mon sabre, prêt à dégainer en cause de risques.

Kenji • « Lyra, surveilles bien les environs. »

Le garçon pouvait avancer maintenant, une distance de sécurité était faite, Lyra n’allait rien avoir, je la protégerai coûte que coûte. Je ne sais pas pourquoi cet homme ne m’inspirait pas grandement confiance, je ne le connaissais pas et la confiance ne se gagne pas en évoquant le mot de la paix. J’étais conscient des risques que je prenais, il n’irait pas loin de toute façon si il désirait nous voler notre jeune Jinchuuriki, qui me disait que son bandeau n’était pas faux, que c’était un garçon qui était à la botte d’une organisation pleine de mauvaises intentions. Je ne baisserais pas ma garde, temps que Lyra ne serait pas mise en sécurité…

© FICHE CRÉÉE PAR AMYLITH | NESIS | MEIYA

**Invité** Invité

" Je ne suis pas dieu, je ne peux pas arriver seul a instaurer au cinq grande nation une paix immédiate. Mais je peux par ma volonté tout faire pour parvenir a changer le coeur des gens. Je peux avec l'aide de personne suivant mon nindo arriver a instaurer la paix. Mais seul je ne peux pas faire de miracle. Je compte parcourir toute les nations afin de trouver des personnes voulant changer en bien la phase du monde. Il y a eu trop de guerre, trop de mort. Nos famille ont connu trop de chagrin du a des décès. Je ne veux plus revivre cela, je ne veux plus perdre quelqu'un qui mets chère. Pouvez vous, changer la tournure des évènements ? Pouvez vous suivre le mouvement de personne causant la désolation a chaqu'une de leur décision ? Pouvez vous rester sans rien faire face a autant de douleur et de chagrin ? "

Lyra se figea un moment, cet homme était différent de ceux qu'elle rencontrait normalement. Beaucoup de ninjas voulaient la paix, c'était évident. Mais ils se surestimaient tous. Beaucoup trop, la plupart d'entre eux se prenaient pour des sortes de dieux et fondaient des cultes afin de propager la paix dans le monde, la folie et la promesse d'un monde meilleur masquaient leurs yeux et ces individus ne réalisaient l'horreur de leur actes qu'une fois sur le lit de mort. D'autres essayaient d'instaurer la paix pacifiquement mais ils n'avaient pas le charisme, pas le courage, pas la fierté qu'un chef possède. Ce genre de personnes, qui tentaient quand même d'instaurer l'illusion d'une paix, connaissaient très souvent le même sort que ceux qui essayaient de l'instaurer par la force.

Le point commun de ces individus ? comme dit plus haut, ils se sur-estiment trop et se prennent pour des messies, des dieux. Ceux qui ont la réponse. Au final, ils n'étaient que des saltimbanques, des fous qui poursuivaient un rêve. Nasaki détestait ce genre de personnes, surtout car ces dernières considéraient les Jinchuurikis comme des instruments de destruction à cause de leur Bijû, le mot "paix" est donc un mot qu'il ne fallait pas employer à la légère devant la Jinchuuriki de Nanabi.

Mais cet individu n'était certainement pas comme les autres, il ne se surestimait pas, il ne pensait pas qu'il pouvait tout changer parce qu'il le pouvait. C'était un homme qui voulait juste la paix, pas un dieu, pas un messie. Juste un homme, et les dernières paroles de sa tirade touchaient Lyra, elle qui avait perdu toutes les personnes qu'elle aimait. Elle tendit la main vers lui tout en restant à une distance sûre, un peu derrière son sensei qui ne semblait pas d'ailleurs avoir perdu sa méfiance, contrairement à son élève. Ce n'était pas une mauvaise chose mais elle ne voulait pas que la discussion entre les trois shinobis ne tournent à un carnage parce qu'il était trop méfiant. Le carnage et le sang, ce n'est pas le genre de truc qu'elle affectionne... du moins, lorsque qu'elle est encore normale...

Je sais ce que ça fait de perdre des proches, ce sentiment d'être vide, de ne plus avoir personne au monde. Avoir peur de faire confiance à quelqu'un car il risque de subir le même sort que ceux que vous aimez. Je connais ce sentiment, et j'en ai encore peur. J'ai perdu presque ma famille entière et le reste... Ils voient plus la bête en moi qu'autre chose, il n'y a rien de plus terrifiant que de vivre dans un monde de masques, des masques transparents qui ne cachent pas le mépris, la haine et la peur des autres habitants. Mais je sais que mes frères m'auraient jugées pour ce que je suis et non pour ce qui est en moi, si ce monde cruel ne les auraient pas emportés, j'aurais pu supporter cette épreuve...

Elle alla derrière son sensei qui lui recommanda de bien surveiller les environs. Nasaki s'exécuta mais prit toutefois la peine de regarder celui qui désire la paix.

Toutefois, je suis intéressée par la façon avec laquelle tes compagnons vont ramener la paix dans ce monde, peux-tu me l'expliquer ?

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Une Rencontre.

L`homme est cruel et, cela prendra encore longtemps avant qu`il se débarrasse de cette inhumanité. La cruauté est un acte présent partout dans ce pâle monde résultant des monstruosités les plus fines. Et pourtant, finalement, cela ne dérange littéralement plus personne. La violence, la cruauté, la mort, le champ lexical du désespoir est partout en nous. Nous le savons tous plus ou moins, consciemment ou nullement. Originalement, nous nous délectons de cette cruauté chaque minute de notre triste existence se déroulant comme du papier à musique, sa douce mélodie éclatant dans une gerbe de cristaux magnifiques, éveillant les pupilles de nombreuses personnes aux alentours. Cette fastueuse planète maintenant tâché par la présence des humains.

Qui suis-je ? Qu`elle est la raison de ma visite en ce monde ? Suis-je ici, pour ne voir que la mort ? Suis-je là, pour rependre un message ? Suis-je le messie ou simplement son instrument ? Tant de cris, tant de mort, qui se meurt, qui se torde. Qui nous-sommes pour réduire ce chef-d’œuvre à l`état de cendre ? Qui sommes-nous, pour réduire, ce cadeau qu`es la vie. Qui diable ce cache derrière cette haine. Qui diable convertit l`amour en sang. Et qui diable en rit derrière nos cœurs. Pourquoi tant de souffrances et de malheur ? Mon cœur se meurs, devant cette vision d`horreur. Mon cœur se meurt, devant cette population sans cœur. Que puis-je offrir à ce monde pourrit ? Que puis-je leur offrir ? Mon corps ? Non. Mon âme ? Non. La seule façon de leur venir en aide est de démystifier se Mal inconnu. C`est à travers mon corps, mon âme et mon esprit, que l`arme de paix que je suis, pourfendra ce monde. L`homme parmi tant d`autre qui réussira à allié lumière et ténèbres pour apporter la paix.

L'expérience ne nous offre au premier coup d’œil qu'un chaos suivi d'un autre. La conscience n'est guère dans le désordre du monde qu'une petite lumière précieuse et fragile. Cependant, une étoile dans cette mêlée, synonyme de lumière, éclairant un nouveau chemin, est née. Un chemin qui mènera le monde à une paix durable sans haine et sans chaos. Mais à t-il ne serait-ce que débuter son œuvre ? Cet être de lumière était-il au chaumage ? De nombreux évènements me poussèrent à prendre la place de ce messie. Comment ? Pourquoi ? Quoi ? Ou encore bien même quand ? De multitudes questions s’établissant avec une certaine lenteur, mes avec un force extraordinaire. La réflexion est une chose commune à toute personne ayant au moins le minimum d’intelligence vulgaire acquis.

La jeune fille semblait touché par mes paroles, alors que son compagnons beaucoup moins. Il me voyait comme quelqu'un de mal intentionné. Pourtant je n'en voulais pas a leur vie. Je n'étais pas un dieu qui donné et hoté la vie des gens d'un simple claquement de doigt. Cela n'étais pas mon but. J'étais ici pour que les gens sache qu'il ne fallait pas tomber dans une haine profonde. Il ne fallait pas que nos émotions les plus néfaste prenne le dessus sur notre cerveau. Nous ne devions pas subir l'innèptsie de divers individu qui ce croyait au dessus des lois de la nature. Je devais vraiment prouver que j'étais de bonne foix.

" Chère demoiselle. Je peux sentir dans vos parole que vous avez connu les mêmes chose que moi. Je ne suis pas l'envoyé de dieu, n'y même un ninja aillant un pouvoir extraordinaire. Je suis ici pour rallier les gens a ma cause. Nous ne sommes pas obligé de devoir faire des guerres, faire couler du sang pour que le monde connaisse la paix. Nous pouvons simplement admettre que le monde d'aujourd'hui a évolué de mauvaise façon. Je pense serieusement que mon action ne pourrais pas être entendu si je suis seul. Pour le moment je compte comme dit plus tôt allé dans les pays des grande nations pour leur expliquer mon point de vue. " Je marquais une courte pause, reprenant mon souffle pour continuer a leur expliquer. " Si les villages arrivent a combattre l'un contre l'autre, ils doivent pouvoir arriver a cohabiter. Notre ennemis, parce que malheureusement il y en a un ... ce trouve dans l'ombre. La peur nous gagnera bientot. Nous allons devoir nous entre aidé. Je suis le précurseur non pas de la paix, mais d'un monde meilleur. "

Je ne pouvais pas forcer les gens a ne pas combattre, n'y a vouloir a tout prix devenir plus fort. Je pouvais juste essayer malgres ma pauvre existance de faire en sorte que le monde devienne meilleur. De faire de se monde quelque chose de plus beau pour nos futur enfant. Quelque chose de plus radieux. Parce que en ce moment même nous allions vers un monde gouverné par les ténèbres.

(c) Alyss (Kanade A. J. Rye) pour Aokawa Ryu

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HRP: Désolé du court post'. :S

Nous reculions encore et encore, je retirais ma main du manche de mon sabre pour signaler à l’homme qu’il pouvait passer maintenant, mais je le gardais à l’œil. SI j’aurais été seul, ma garde aurait été relâche depuis quelques temps déjà, en cas d’attaque je pouvais riposter, même étant seul c’est toujours plus simple que d’avoir quelqu’un à sa charge, qui plus est, une Jinchuuriki. Lyra marchait devant moi, elle faisait en sorte que je puisse la voir, je n’avais qu’une idée en tête, mais ma réaction était normale.

Depuis le jour où nous revenions de voyage, quand je n’étais qu’un enfant. Quand mes parents étaient fiers de moi et qu’il voulait me voir devenir un marchand respectable, tout comme mon père. Ce jour où mes parents fût massacrer, et pour quoi ? Pour des bêtises. En n’y repensant, cet homme avait raison, bien que je doute encore de sincérité. Ce monde ne vit que dans la haine, mais il ne faut pas se voiler la face, il restera ainsi à jamais. Des personnes naitront et vivront pour dans la haine, pour la guerre et le sang. Notre triste monde est condamné depuis longtemps, mais j’étais prêt à changer les choses même si je devais y consacré ma vie. Je m’arrêtais et me retournais vers le garçon…

Kenji • « D’une certaine manière, tu as raison. Mais ce monde est sans cesse en guerre avec nos ennemis dans l’ombre. Allons en discuter autour d’un bol de ramens. »

J’allais ramener Lyra chez elle, cette matinée dans le désert l’avait déjà bien fatigué et j’avais une autre préoccupation, celle de sauver ce monde. Il fallait que je discute avec lui pour connaitre les raisons de sa venue ici, pourquoi Suna et non Kumo ou Konoha. S’il arrivait à me convaincre, il pourrait avoir allié de taille à ses côtés… Et pas qu’un allié, le Byakurentaï et Suna en prime, si tout cela étaient prêts à se battre contre l’ennemi…

© FICHE CRÉÉE PAR AMYLITH | NESIS | MEIYA

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" Chère demoiselle. Je peux sentir dans vos parole que vous avez connu les mêmes chose que moi. Je ne suis pas l'envoyé de dieu, n'y même un ninja aillant un pouvoir extraordinaire. Je suis ici pour rallier les gens a ma cause. Nous ne sommes pas obligé de devoir faire des guerres, faire couler du sang pour que le monde connaisse la paix. Nous pouvons simplement admettre que le monde d'aujourd'hui a évolué de mauvaise façon. Je pense serieusement que mon action ne pourrais pas être entendu si je suis seul. Pour le moment je compte comme dit plus tôt allé dans les pays des grande nations pour leur expliquer mon point de vue. Si les villages arrivent a combattre l'un contre l'autre, ils doivent pouvoir arriver a cohabiter. Notre ennemis, parce que malheureusement il y en a un ... ce trouve dans l'ombre. La peur nous gagnera bientot. Nous allons devoir nous entre aidé. Je suis le précurseur non pas de la paix, mais d'un monde meilleur.

Lyra dodelina un peu de la tête, spécial. Oui, il était spécial. Le talent d'un chef, le charisme d'un auditeur, l'intelligence d'un stratège. Il était malin, bien différent des charlatants qu'elle rencontrait et oubliait en une journée. Il ne voulait pas vraiment un monde de paix, il voulait juste un monde meilleur. Nasaki plissa les yeux un moment, un monde meilleur, de son point de vue, est un monde où on ne la regarde pas pour ce qu'elle a mais bien pour ce qu'elle est.

Les Jinchuurikis cherchaient ça aussi, un monde meilleur, loin des villages où ils étaient enfermés tout le temps sans espoir de sortie, loin du mépris permanent de ceux qui furent autrefois leur compagnons, la plupart des Jinchuurikis qui étaient devenus fous ont connus ce sort tragique à cause de cette solitude et chacun espérait qu'un des leurs se dresse et impressionne les autres villages, de par son courage, sa bonté ou sa force. Ce Jinchuuriki sacré était attendu par tout les réceptacles mais il ne se montrait jamais, ils restaient donc seuls dans leurs coins. Sans amis, sans famille et avec un démon surpuissant comme seul allié, certains d'entre eux finissaient d'ailleurs par le libérer sur les villages afin de se venger du mépris et de la haine. Heureusement pour les Sunajins, Lyra ne faisait pas partie de ce genre de Jinchuurikis, la vengeance ne ferait que lui faire perdre la vie et son âme.

Kenji • « D’une certaine manière, tu as raison. Mais ce monde est sans cesse en guerre avec nos ennemis dans l’ombre. Allons en discuter autour d’un bol de ramens. »

Pour Lyra, ça voulait dire "on rentre au village". Elle s'exécuta donc et suivit gentiment les deux hommes, elle avait assez faim donc par conséquent, un bol de Ramens était quelque chose de miraculeux pour elle, surtout que Nanabi absorbait également sa nourriture, il préférait très souvent la salade ou autres mais il n'était pas très difficile en terme de goûts.

Une fois rentré dans le village, le groupe se dirigea vers une boutique, le marchand lança un regard respectueux au Jônin et remarqua Lyra, un mélange de peur et de mépris se dessina sur son visage, expression qui s'accentua en remarquant l'individu de Kiri. Les habitants de Suna n'aimaient pas trop les Kirijins, probablement parce que les deux pays avaient une météo totalement opposée.

12 Bols pour moi, c'est monsieur Kenji qui paye vu qu'il s'occupe de moi. Mais je laisse ce dernier et le Kirijin décider de leur plat.

Elle s'assise et se mit à attendre les ramens, Nanabi s'excitait tout seul dans sa cage. Il avait senti la colère de Lyra et il devait extrêmement retors. En dépit de son caractère jovial et limite stupide, il était extrêmement glauque et menaçant lorsque qu'il devait l'être. Pour Lyra qui pensait que c'était un bijû assez peu agressif, c'était surprenant, surtout la première fois. Le marchand déposa cependant des ramens et elle entreprit de commencer à manger, ignorant les deux autres shinobis;

Lyra... petite Lyra, je sens ta... HO ! DES RAMENS ! Oublie ta colère Lyra, j'ai pas envie de prendre le contrôle en pleine dégustation.

La Kunoichi soupira.

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