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De gros personnages libres, dont: Hidan, Kakashi,A Yotsuki, ou encore Jûgo ! Les villages sont attaqués par de dangereux déserteurs, Iwa est le premier village à avoir pu écarter la menace ! Kiri et Iwa sont de nouveau ouverts ! Konoha accepte deux ninjas inventés ! Les Nukenins inventés sont de nouveau autorisés !


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 Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran

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Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  Vide
MessageSujet: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyMer 26 Juin - 17:46

Spoiler:

La veine du Dragon

Kôga Shirayuki 
Fûma Tsubaki
Akumu Uzumaki






Le vil marionnettiste était fait comme un rat. D’un côté, il y’avait ma personne, de l’autre se trouvait Fûma. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mon beau-frère trancha net les deux hommes de Mukade encore vivants. A présent seul, le déserteur fit une chose à laquelle je ne m’attendais singulièrement pas. Se baissant, avant de saisir une lame fichée dans le sol, un air dur, il tira avec force. La lumière devint de plus en plus intense, jusqu’à même devenir éblouissante. Lorsqu’il sembla avoir dégagé l’arme de sa prison de pierre, la vive lumière fit place à une explosion. Ce fut tel un souffle monstrueux de chakra. Aucun moyen d’y échapper si proche de sa source, c’était nous, et non Mukade, qui étions finalement fais comme des rats. Allais-je mourir ici ? Si loin de mon but ? Non, je m’y refusais, quoiqu’il arrive je devais survivre le temps d’accomplir ma destinée. Cette cause transcendait ma vie, même la mort ne pourrait la réfuter. Néanmoins, mes yeux se fermèrent, sans que je puisse les retenir. Lutter était inutile, je perdais conscience, ma seule volonté n’entrait pas en compte.


Le noir s’installa, se faisant pesant et dominateur. Il ne semblait pas être près de disparaitre. Perdu dans mes pensées, dans un monde d’idées, des formes étranges, des couleurs inconnues, je luttais. Ma lutte était farouche pour que je sois en mesure de reprendre conscience. Finalement, une bribe de lumière fit son apparition. Telle une eau salvatrice et se faisant conquérante, elle parvint à envahir le monde où je me trouvais. Jusqu’à ce que plus une once d’ombre n’y réside. C’est là que je me réveillais. Pris dans un sursaut, mon corps se releva de lui-même. Ma respiration était rapide et saccadée. Tout semblait illustrer une situation dans laquelle mon corps aurait subi un lourd effort. Une légère brise caressa alors mon visage,  en s’incrustant sous mon masque. Que s’était-il passé ? Où étais-je ? Et Fûma, allait-il bien ? Une foule de question restait en suspens. Une seule manière de les élucider : récolter des informations. Or, c’est une chose que je savais dès à présent faire d’une manière extrêmement efficace.


C’est alors que constatais une chose avec effroi : je me trouvais dans une ville gigantesque. Or, connaissant parfaitement le pays du Vent, je pouvais affirmer sans le aucun doute qu’aucune ville n’y était aussi immense. Alors où me trouvais-je ? Mon regard se portait sur les hautes tours. Je n’avais jamais vu un endroit pareil durant toute ma vie. C’était vraiment beau, même moi je pouvais aisément le distinguer. Alors même que la beauté n’était pas une chose à laquelle j’accordais bien de l’importance. Cette architecture me rappelait en revanche quelque chose… Dans le but de confirmer ma supposition, je regardais au loin. La ville était cernée par le désert. Donc, je me trouvais actuellement dans le désert, et dans ce désert se trouvait une ville titanesque. C’était impossible ! Ça ne pouvait quand même pas être… Rôran ? Il est vrai que la ville se trouvait bien dans le désert, et son architecture ressemblait aux ruines que j’avais pu apercevoir à mon arrivée. Mais enfin, comment ? J’avais vu de mes yeux les ruines de la ville. Bordel elle ne pouvait pas se trouver là, c’était impossible ! Une illusion ? Non assurément pas. J’étais intimement persuadé que la raison de la renaissance de la ville devait trouver son origine dans l’explosion de tout à l’heure. Mukade à tous les coups l’auteur. Je devais sur le champ partir enquêter. Premièrement, retrouver Fûma et Bokuden. Deuxièmement, comprendre où je me trouvais et ce qui venait d’arrivé. Troisièmement, une fois cela fait, éliminer Mukade pour de bon… Je pris mon élan pour sauter sur un toit non loin ; avant de bondir à nouveau pour me retrouver sur un pont. Trois silhouettes volantes fusèrent vers moi. Qu’est-ce que ça pouvait bien être ?  


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Fūma Tsubaki (Décédé)
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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyVen 5 Juil - 20:30

 Kin no Kuni - Ardor 2 
Fūma ♦ Kõga ♦ Akumu.



J'avais été littéralement happé. J'arrivais encore à raisonner mais je n'arrivais pas à ouvrir les yeux. C'est comme si j'avais franchis la frontière séparant la vie de la mort. Étais-je mort ? Fin absolue de quelque chose de positif. Je voyais cet aspect comme une chose périssable et destructible de l'existence... se rattachant à la symbolique de la terre. Étais-je redevenus poussière ? Mon inconscience était sûrement l'introduction de cette vie après la mort, et s'en suivra d'une révélation quand j'ouvrirai les yeux pour savoir quelle était la situation dans laquelle je me trouvais. Mais actuellement, ce n'était que le néant qui se présentait à moi. Ce néant aussi obscur que le voile du crépuscule s'étendant dans les cieux pour marquer le début de la nuit... Mère de la mort et du sommeil. Toutes les passages à une vie nouvelle demandait l'initiation à une phase de mort. Quelque chose qui m'a peut-être affecté aujourd'hui alors que j'avais déjà un bon nombre de choses à accomplir. Je ne voulais pas me plier à cette éternelle inconscience qui me guettait toujours plus près. Saphir, Jiraiya , Tsunade, Nora, Dahlia, Gaara, Temari, Kankurõ, Chihiro , Mifune, le Byakurentaï, Kõga... Voilà que ces noms percutèrent en moi comme une profonde motivation. Et alors que je m'efforçai de ce que je croyais être le sommeil éternel, une voix vint à mes oreilles. Une fois d'adolescente. Le son qui m'était parvenu se hiérarchisa comme étant une douce chanson. Je ne la connaissais pas, mais au bout du compte, cela me suffit à me faire ouvrir les yeux.

Je me sentais apaisé mais le réveil fut bien entendu légèrement compliqué. Il fallait croire que j'étais encore en vie, ma peau encore chaude, je raisonnais comme il y a quelques minutes. Cela me rassurait plus qu'autre chose, et pour marquer le coup, je me suis relevé doucement histoire de ne pas empirer la douleur du réveil. Poussant un long soupire, mon ouïe percevait encore avec acuité la mélodie qui émanait d'une jeune adolescente aux cheveux rouge orangé. Quand j'ai remarqué sa présence, j'ai tenté de la reconnaître sans l'empêcher de continuer sa chanson. Mon regard restait toujours aussi impassible même après une situation comme celle-ci. Je venais juste de me rendre compte que Kõga & Bokuden manquaient à l'appel, tout comme cette jeune inconnue qui était parmi nous. Quant à Mukade.... Ce dernier était tout aussi absent. Et où me trouvais-je ? Cette fille pouvait sans doute me le dire, alors sur cette pensée j’emboîtais la marche vers celle-ci. « Jeune fille, permets moi de te déranger. » Une petite formule de politesse sans intentions hostiles ou autre...  Ma voix raisonnant dans ces espèces de ruines occupées par des fleurs, elle suffit à perturber le chant de la jeune fille qui tourna la tête vers moi avec surprise. Peut-être pris de peur, elle se jeta au sol, quittant les hauteurs des rocher sur lequel elle se tenait pour donner la liberté à ses mots qui avaient forgé la chanson précédente. Une fois au sol, elle se hâta de se retirer de la pièce.

J'eus comme premier réflexe de la suivre afin de l'empêcher de partir et qu'elle puisse répondre à mes questions. Cependant, son tempérament peu coopératif me forçait à tenter de lui barrer la route. Une porte se tenait devant elle, et je n'eus aucun mal à lui bloquer la route avant qu'elle n'empreinte le passage menant à des escaliers qui descendaient pour sortir de cet endroit. Une fois face à elle, elle recula, sûrement en pensant que je lui ferai du mal mais loin de là était cette intention. Écartant les bras pour l'empêcher de passer à droite ou à gauche. Je déglutis légèrement avant de vouloir prendre la parole mais un bruit attira mon attention. Je me suis retourné en regardant en bas des escaliers et trois marionnettes montaient petit à petit. Une réaction défensive fut de mise, la main sur le manche de mon sabre, prêt à dégainer au cas où. L'étreinte exercée sur mon sabre était telle que je me savais avantagé, pourquoi ? J'avais plus d'assurance que de morceaux de bois. Mes sourcils se froncèrent, regardant les trois cibles se rapprocher petit à petit. Mon esprit forgea l'hypothèse que ces marionnettes étaient l'oeuvre de Mukade... Cela était fort probable. Et quand elles accélèrent leur "marche", elles passèrent le seuil de la porte qui me séparait d'elles, et c'est là qu'un halo de chakra indigo se manifesta et démonta les marionnettes. Mon sabre était à moitié sorti alors que je fus bien entendu surpris de ce revirement de situation. Je ne m'y attendais certainement pas. Ma lame s'endormit à nouveau dans son fourreau alors que je me suis retourné vers la jeune adolescente en prononçant:

« Maintenant que ces éléments perturbateurs n'ont plus de raisons d'être...  Peux-tu m'expliquer où je suis ? »

Sãra - « Vous êtes à Rôran... »

A Rôran ? Je ne me souvenais pas d'une pièce comme celle-ci parmi les ruines dans lesquelles je me suis retrouvé il y a quelques minutes. Peut-être que mon hypothèse sur la perturbation de l'espace temps était bonne, mais je devais tout d'abord sortir pour voir ce qu'il en était. Pour l'instant j'avais affaire avec cette adolescente dont j'ignorai l'identité. Peut-être que je devrais le lui demander, mais là n'était pas ma priorité. Je regardais autour de moi avant de me demander aussi quel était ce lieu. En prenant un peu plus de temps pour réfléchir, peut-être qu'il s'agissait du seul lieu où le chakra du Ryûmyaku n'avait pas d'effets. Et si c'était le cas, il ne s'agissait non pas de ruines mais du légendaire "Jardin", demeurant aussi le tombeau de la fameuse reine Sêramu.  Tout se construisait petit à petit dans ma tête, l'esprit précédemment embrumé commença à se fortifier. Mon regard se porta aussitôt sur la jeune fille, émettant une hypothèse quant à son identité, mais rien était confirmé et je ne préférais pas m'y attarder, j'aurai tout le temps de le découvrir si la situation me le permettait. Encore légèrement confus je finis par ajouter: « Peux-tu me dire comment nous sortons de cet endroit ? » Elle acquiesça, et je voyais bien qu'elle ne nourrissait pas une grande confiance à mon égard. Peut-être mon regard qui l'effrayait, cette moue impassible qui restait constante sur mon visage. Je ne pouvais pas changer pour elle, et elle devra faire avec. C'est alors qu'elle prit les devants, passant par les escaliers et c'est ainsi que je l'ai suivi sans rien dire de plus. Elle marchait rapidement, comme si quelque chose se préparait, mais j'ignorais quoi.

Je percevais la lumière du jour au bout de l'escalier et quand je fus sortis avec elle, mes sens se mirent en alerte alors que des marionettes lancèrent un assaut frontal vers nous.  Les bras mécaniques de ces pantins libérant une flopée de kunaï tenus par des fils de chakra violets. Je pris la fille de ma main gauche en la dégageant sur le côté alors que ma main droite dégaina le sabre avec lequel je fis ricocher les projectiles via ma lame. « Vas. Je m'occupe d'eux. » Dis-je. Inutile de risquer la vie d'une aussi jeune fille. J'allais me charger personnellement de ces horreurs. Je ne les lâchais pas du regard alors que mes pieds s'élevèrent légèrement, me mettant alors à flotter. Mes ennemis fusèrent vers moi, ce qui me poussait à décoller dans les hauteurs en constatant que mon hypothèse se révéla juste. Je m'élevais petit à petit alors que je slalomais entre les tours pour échapper à mes poursuivants. Nous étions dans l'ancien Rôran, celui qui était imprégné d'une grande beauté. Ma vitesse de déplacement était bien grande, mais les pantins allaient aussi vite. Je ne prendrais pas le risque de mettre en jeu la vie d'un quelconque civil, ce pourquoi je resterai dans les hauteurs. Je les regardais en coin tout en faisant attention aux passages que j'empruntais afin de ne pas me faire avoir. Je discernais la position de chacun de mes adversaires, ils voulaient m'encercler. Un fin sourire malin se dessina sur mes lèvres alors que je me suis mis à espérer que leur plan fonctionne, ne serait-ce que de moitié.

Je me suis laissé avoir exprès, les laissant m'encercler pour ensuite imprégné ma lame de chakra. Ecole du samouraï: Issen - Shinkûken. Les pantins se rapprochaient de moi comme pour lancer une attaque physique synchronisée, mais il fut facile pour moi d'allonger la portée de plusieurs de mes coups grâce au fait que j'ai nimbée Gõkei de chakra. Le chakra s'était alors allongé et je fis un enchaînement de coups précis dans le dos de chaque cible afin de couper les fils de chakra et rendre les masses de bois aussi inerte que ces tours. Une fois les coups administrés, je me suis stabilisé sur un toit au bout pointu. Je surplombais Rõran du regard en me demandant de combien d'années je venais de remonter... Et surtout si Kõga & Bokuden s'en étaient sortis indemne. Le chakra de ma lame se dissipa alors, cette dernière rentrant à nouveau dans son berceau. Mukade... tu es à l'origine de cela, et quand je te retrouverai, je ne manquerai pas de te rendre ce que tu as fais au centuple. Le vent hurlait , mes cheveux étaient automatiquement portés ainsi que mes mèches. Et malgré la situation, je ne perdais pas de vue le but de ma mission... Mukade était ici et ce chakra violet correspondait à la veine du dragon. Il fallait que je retrouve Kõga & Bokuden ainsi que la fille qui m'avait gentiment indiqué le chemin pour sortir. Elle en savait peut-être sur les événements de la cité. Et en parlant d'événement, je pus voir d'où je me tenais des feux d'artifice s'élever dans le ciel. Une fête ? En tout cas l'endroit où la fête avait lieu indiquait clairement la présence du palais royal, exactement décrit comme dans les livres. Ma destination prochaine était déjà toute destinée.

FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyMar 30 Juil - 15:32


La veine du Dragon

Kôga Shirayuki 
Fûma Tsubaki
Akumu Uzumaki






Mon regard se posa de suite sur les ombres volantes. Qu’est-ce que c’était encore ? Une chose était sûre, elle fusaient droit dans ma direction. Mes yeux s'écarquillèrent quand enfin je distinguais de quoi il s’agissait. C’étaient des marionnettes. Mukade était forcément derrière tout ça. Mais une chose me dérangeait. Les pantins que je voyais, ils étaient différents. Rien avoir avec ce que je venais d’affronter quelques minutes auparavant. Qu’importe, j’allais les affronter. Et comme pour les autres, je n’en ferais qu’une bouchée. Dégainant ma lame, je concentrais du chakra dans mes pieds. Parmi les trois pantins, l’un allait bien plus vite. Ce serait donc celui que je détruirais en premier. Immobile j’attendais qu’il arrive à ma portée. Son bras se leva. Un mécanisme s’enclencha et dans un bruit métallique, sa main tomba. Dévoilant par surprise un tube. Je vis en une seconde une importante quantité de chakra s’accumuler. Un bruit sourd se fit entendre. Il tira alors droit sur mon torse. La surprise était grande. Certes. Mais jamais une attaque de cette envergure ne me ferait du mal. Glissant très légèrement sur la droite, je posais le genou droit à terre. Ma main gauche agrippa elle aussi la garde de Tsume Fokkusu. D’un mouvement oblique, je partais de bas en haut. Découpant le pantin. Comme il ne se trouvait pas en inertie, la vitesse de son corps emporta les morceaux loin derrière moi. Pas bien dangereux tout ça. Du moins c’est ce que je croyais. Les deux autres marionnettes s’étaient stoppées. Leurs bras s’étaient changés. Sur chacun on pouvait constater la présence d’un missile. Donc, quatre missiles en tout. Et ils étaient braqués dans ma direction. Merde. Un premier partit vers moi. La vitesse était grande. Pas assez pour me toucher, mais assez pour me surprendre à nouveau. Je sautais du pont pour pour aller atterrir sur un toit proche. Seulement un second missile fut lancé. Alors dans les airs, j’étais incapable de bouger. Je ne pouvais pas esquiver. Contrer était ma seule option. Mon chakra se répandit dans ma lame. Dans geste sec, j’effectuais un coup horizontale dans le vide. Une serpe de chakra se forma et fonça droit vers le missile. Seulement celui-ci était bien trop rapide. Le choc de mon attaque contre le missile n’eut lieu que deux mètres devant moi. Désirant me protéger au mieux du souffle de l’explosion, je mettais devant mon visage mes bras. La déflagration eut pour effet de me faire perdre la notion d’où je me trouvais. Ma vitesse augmenta fortement. Anticiper le moment où je toucherais le toit était dorénavant impossible. J’allais chuter vulgairement et me faire mal. Je fermais les yeux...


Au moment où mon corps retrouva le sol, c’est mon dos qui du subir le choc. Comme ma vitesse était élevée, j’effectuais plusieurs roulade non-maîtrisées en arrière. Je sentis que Tsume Fokkusu n’était plus dans ma main. Impossible de réussir à continuer de la tenir après pareil choc. Quand enfin mon corps se stoppa, j’étais face contre terre. Mon masque avait un fêlure en diagonale, mais il n’était pas brisé. Sans perdre la moindre seconde, je me remettais sur mes genoux. Du regard je cherchais les pantins. Ils n’avaient pas bougés. Les deux avaient utilisés un de leurs missiles. Donc il n’en restaient plus que deux au total. Voilà qui était mauvais. Néanmoins, je saurais anticiper un assaut similaire une seconde fois. Mon dos me faisait néanmoins souffrir. le choc avait vraiment été rude. Seulement je n’eus pas la moindre seconde de répit. Déjà un nouveau missile fonçait vers moi. D’un coup d’oeil, je constatais que Tsume Fokkusu était au sol, trois mètres devant moi. Je devais m’en emparer et éliminer ces pantins. Cette fois-ci, je bondissais en avant et effectuais une roulade pour me rattraper, puis en vitesse reprendre ma course vers ma lame. Le missile heurta le sol au moment même où je m’emparais de la garde de ma lame. Je nimbais ma lame de chakra avant de sauter en direction des marionnettes. Un dernier missile allait être lancé vers moi. Seulement cette fois, j’anticipais. Avant même qu’il ne parte j’envoyais une serpe de chakra dans sa direction. Résultat, il explosa alors même qu’il venait d’être tiré. La pantin qui l’avait tiré fut pris dans l’explosion. Quant au second, après avoir atterri sur le pont, je bondissais vers lui et d’un coup vertical je le tranchais net en deux. Concentrant du chakra dans mes pieds, et ma main gauche, je me collais au mur d’une tour pour ne pas chuter. Finalement c’était très simple. Du moins pour le moment.


Moi qui me pensait hors de danger, il n’en était en fait rien. Le combat semblait avoir attiré encore plus de pantins. Ce n’était plus trois mais dix pantins qui firent leur apparition. La situation devenait bien plus préoccupante. Ils étaient trop. Un premier fonça vers moi. A la place d’un bras, il avait quelque chose de semble à un énorme marteau. Je sautais vers un autre pont en contrebas. Échappant de justesse à la puissance du pantin. Ce dernier fit voler en éclat l’endroit où je me trouvais juste avant. Les marionnettes me suivirent dans ma chute vers le nouveau pont. Encore dans les airs, je vis cinq d’entre eux éjecter d’une espèce d’anneau des sortes de kunais. Ils étaient reliés à l’anneau en question par un chakra violet. Étrange. Qui plus il devait bien y avoir cinq lames par pantins. Ce qui faisait un total de 25 kunais animés qui me fonçaient dessus. Du mieux que je pouvais, je contrais. Alternant coups d’épées ou défense de mes bras en armure. Je touchais enfin la pierre du pont. Les kunais revint alors dans leur anneau. Les cinq pantins avait pour bras trois lames. Dans un assaut il me foncèrent dessus. Grossière erreur que voilà. Ma main gauche se posa sur la garde de l’épée. Dans un mouvement rapide vers l’avant, j’effectuais une barre oblique de haut en bas. Laigiri ! Un pantin de moins. Pendant ce temps là, les quatre autres m’encerclèrent. Un devant moi, un derrière, un sur ma gauche, et enfin un sur ma droite. Qu’il en soit ainsi. Je concentrais du chakra dans Tsume Fokkusu. En même temps que je tournais sur moi-même, je prolongeais la longueur de mon arme. Ainsi elle atteignait deux mètres. Telle une tornade, je découpais les quatre pantins d’un unique geste. Ma lame reprit sa taille normale, je me stoppais. Face à moi, au corps à corps, ils ne valaient rien. Il en restait toutefois cinq autres. Deux avec un marteau géant comme bras, et trois avec des canons à chakra pour bras. Malheureusement, c’est de manière aérienne que les pantins à canon venaient d’encercler, pendant que combattais les cinq autres. Telles une seule et unique, les marionnettes chargèrent leur chakra violent et tirèrent sur moi. Étant sur un pont, je pouvais librement esquiver la puissante explosion en sautant sur le côté. Malheureusement pour moi, un pantin à marteau en profita pour foncer vers moi. Je parvenais tant bien que mal à contrer son arme, tout me faisant repousser. Seulement le deuxième en profita pour se poster derrière moi. Il allait me porter un coup que je ne pouvais pas esquiver. je m’étais fais avoir.


C’est à cet instant que Bokuden décida de faire son apparition. Tombant du ciel, il joignit ses deux mains et frappa le pantin derrière moi. Au contact du sol, il fit un petit cratère dans le pont de pierre. La marionnette explosa en mille morceaux sous la puissance titanesque de Tsukahara-sensei. L’immense renard dégaina son arme. Je m’accroupissais alors. Son sabre fendit l’air et trancha net le pantin qui me faisait face. Il restait néanmoins trois pantins. Avec une serpe de chakra je parvenais à en exploser un. J’en visais un deuxième, mais ce dernier esquiva. Cependant Bokuden en profita pour sauter dans sa direction, et l’éliminer alors qu’il esquivait. Tout cela avait été très rapide. Nous formions après tout un duo très efficace. Tsukahara-sensei atterrit sur pont, il bondit à nouveau vers le dernier pantin. Ce dernier ne tenta pas d’esquiver mais d’attaquer mon ami. J’en profitais pour sauter et d’un geste vertical lui coupait le bras. Ceci eut un effet malencontreux. Une explosion de chakra violet eut lieu. Je me protégeait de mon bras gauche le visage. Encore une fois, j’allais percuter violemment le sol et me blesser. Mais il n’en fut rien car Bokuden m’attrapa avant cela. Heureusement qu’il était là. Je regardais l’état de mon bras gauche. Il était légèrement brûlé, mais ce n’était rien. Cependant, tout l’armure que j’avais sur le bras gauche, jusqu’à mon coude, avait disparue. Cela laissait apparaitre mes nombreuses cicatrices, et ça ne me plaisait pas. Fûma verrait bien qu’elle n’étaient pas récentes et se poserait des questions. Merde. Mais je ne pouvais rien faire contre cela. Au loin, je vis qu’un feux d’artifice venait de commencer. Nul doute que c’est là bas que je retrouverais Fûma, lui aussi serait attiré par cela. Bokuden et moi même partions donc dans cette direction.  



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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyDim 4 Aoû - 15:48

 Kin no Kuni - Ardor 2 
Fūma ♦ Kõga ♦ Akumu.



Il représente le monde subtil entre le Ciel & la Terre, entre les hommes et les Dieux. C'est celui qui remplit les êtres, associé au souffle de la vie. Invisible et à la fois universel, il se voit purificateur. Ses mouvements déchaînent la liberté, manifestent la subtilité et l'allègement de soit. Il nous rend sensible, il symbolisme tout aussitôt bien la vanité et l'instabilité ainsi que l'inconstance. Force élémentaire qui caractérise notre pays, et je vois que même en étant retourné dans le passé... Cette force est toujours aussi présente. Synonyme de l'influx spirituelle d'origine céleste, mes pensées étaient bien entendues tournées vers le vent. De là où je me tenais, je pouvais profiter d'un mouvement perpétuel et invisible qui portait mes cheveux tout en me caressant la peau. Je ne bougeai pas alors que mon regard surplombait la cité. Faire le point était la meilleure chose à faire bien qu'il manquait Bokuden-dono ainsi que mon beau-frère. Je ne pouvais continuer la mission sans être sûr de les avoir à mes côtés. Je ne partirai pas non plus de cette époque tant que je ne serai pas aux côtés de ce membre de ma famille. Le vent s'engouffrait dans mes narines alors que mes pieds décollèrent du toit en pointe sur lequel je m'étais installé afin de contempler la cité. Il pouvait être doux, faible, modéré a violent, cinglant, chaud, froid glacial, fort, impétueux... Ces caractéristiques pouvaient se retrouver dans certaines nations où le vent est présent, mais je ne peux m'empêcher de vanter Kaze no Kuni quant au fait que nous possédions tout ces caractères. Un peu de fierté nationale.

Le palais royal de Rõran était clairement le bâtiment dont l'architecture ne peut être contestée, même dans un songe. Malgré mon indifférence portée au niveau du regard, je n'ai pas pu m'empêcher de m'en approcher. Par la phase de contemplation, j'allais voir qui se tenait à la tête de cette cité. Sêramu-sama était elle encore en vie. D'après les histoires de Rõran, elle aurait quitté le monde il y a presque une trentaine d'années. Mais comme je ne sais toujours pas de combien de temps nous sommes retournés dans le passé... Il m'est impossible de savoir qui dirige cet endroit imprégné d'une splendeur égalant la clarté de la lune. Je restais des plus silencieux, ne prononçant pas le moindre mot que ce soit sur la situation ou bien même mon avis sur ce qui était de l'architecture. Il fallait que je parle à la personne qui dirigeait l'immense cité, et lorsque mes pieds décollèrent de l'endroit d'où je me tenais, je me suis hâté vers l'endroit qui se définissait comme le centre de Rõran. Il ne me fallut que quelques secondes pour me reposer sur un toit avoisinant. J'avais une  vue complète sur les festivités, et un peu plus loin il y avait le balcon. Je restais discret en vue du fait que des marionnettes aient déjà tentées de me tuer, il n'y avait nulles raisons d'ouvrir les hostilités une  nouvelle fois. Et puis une jeune fille arriva sur le balcon, accompagnée de deux marionnettes. Mon regard restait impassible bien que dans ma tête, cela voulait clairement dire que Sêramu-sama n'était plus au pouvoir. Défunte ? Malade ? En remplacement ? Je ne savais pas. Ce qui était sûr, c'est que cette fille devait faire partie de la famille de l'ancienne directrice de Rõran. Sûrement sa fille, et par conséquent, celle que j'ai sauvé un peu plus tôt.

Il fallait faire le point, comprendre pourquoi ces marionnettes ont elles tentées de m'abattre alors que la fille qui vit encore grâce à moi et à la tête de la cité. Il fallait que je lui parle, mais attendre la fin de la cérémonie me semblait plus judicieux. Judicieux jusqu'à ce que bizarrement quelque chose attire mon attention. Elle saluait la foule fièrement, comme si elle leur devait quelque chose. Elle restait souriante alors que tout à l'heure, je discernai clairement de la tristesse. Quelque chose l'avait frappé au niveau moral, mais j'ignorai quoi. Sûrement l'absence de Sêramu était justifiée par un décès, ce qui expliquerait pourquoi une fille aussi jeune que celle-ci s'avère peut-être être sa fille. Mais ce qui aiguisa mon intérêt c'est quand elle partit brutalement en avant. Le front du balcon s'effondra et cette dirigeante chuta dans le vide. Ma première réaction fut de durcir mon regard avant que mon corps s'élance de lui même avec rapidité dans les airs. Me concentrant sur la victime de la chute pour la récupérer furtivement, elle fut recueillie dans mes bras alors que je continuais de voler pour me retrouver ensuite dans un coin reculé de la fête. Cette dernière ne parlait pas, elle tremblait alors que je la déposai sur le sol, contre un mur. Nous étions assez éloignés, et j'espérais que personne ne nous avait vu car il serait facile de retracer ma trajectoire. Mon regard se posa derrière nous, regardant bien si personne ne nous avait suivi. Et quand je tournai mon visage vers la jeune fille, je sentis sa main percuter ma joue. Mon visage se tourna aussitôt sous l'impact de la gifle qui me fut administrée, agréable surprise... Cette dernière me prit pour son agresseur, mais elle finit par se calmer en réalisant que j'étais celui qui l'avait sauvé plus tôt. Elle s'inclina aussitôt pour s'excuser.

Sãra - « Veuillez m'excuser ... ! Je vous ais pris pour un agresseur. »

« Il n'y a pas de mal... Après une telle chute, c'est justifié..  »

Sãra - « Vous avez toute ma gratitude. Comment vous appelez-vous ? »

J'étais sur le point de répondre quand j'eus l'impression d'être avertis d'un certain danger. Mon regard se durci, alors que d'un coup, ma main se posa sur mon sabre et je me suis retourné furtivement en dégainant pour bloquer une personne avec un kunaï. J'ai été rapide mais cet homme le fut encore plus, sa lame bloquée par mon épée était presque au niveau de ma chair. Une vitesse affolante et pas moyen de l'identifié, il portait un masque. Il fut rejoint par deux autres personnes. Je pestai silencieusement alors que je repoussai aussitôt cet homme aux cheveux blonds qui rejoignit ses deux alliés. Je me suis redressé alors que mon sabre reposait encore au creux de ma main. Mes sourcils se froncèrent et eux ils ne bougèrent pas. C'est comme s'ils me jaugeaient, et je devais en faire autant. Savoir à qui j'avais affaire. Ils m'étaient inconnus, peut-être des forces spéciales d'un certain village en vue du port du masque. Mais aussi des Juunin Spéciaux, cela était plus que plausible. Ma respiration, je la contrôlais parfaitement. Je ne laissais transparaître aucune faiblesse venant de mon visage. Rester sûr de sois, ne pas laisser le moindre avantage à son adversaire. C'était la clé d'un combat de regard. Ils avaient beau porter un masque pour m'empêcher de les identifier, mon visage était tout aussi impassible qu'un voile d'ANBU. Étaient-ils à l'origine de ces assauts de marionnettes ? Ils avaient forcément quelque chose à voir avec cette cité, sinon pourquoi m'attaquer juste après que j'ai sauvé cette dignitaire de Rõran ? Il fallait se reprendre et engager les mots avant que les gestes ne fassent le travail.

??? - « Qui êtes-vous ? »

« L'artisan de votre mort si vous ne vous identifiez pas avant. »

Il baissa son masque de quelques centimètres pour nous montrer son bandeau frontal.

« Konoha... »

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Akumu Uzumaki
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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyDim 4 Aoû - 18:01


La délicieuse chimère n'était douée de la capacité à rêver. Nul songe délectable, ni affreux cauchemar, ne berçait chaqun de ses repos. Ici forcée à vivre un nouveau malaise, elle porta sa hargne tant sur la faute de ce pouacre belliqueux de Mukade, que sur cette artéfact empoisonné. L'Etoile qui semblait l'affecter frêlement certes mais assez voracement pour perturber ses sens, ses forces et même son chakra. Elle ne prierait guère pour se prévenir d'une providence capricieuse pouvant la faire sélérate et victime grotesque à l'avenir. La beauté des blés ne fit que nourrir rancoeur contre ce dément, son brasier enragée dévorerait cette vermine, foi d'abomination. Tenace était la jeune jouvencelle luttant pour revenir à elle. Ce ne fut un baiser de prince charmant qui la tira de son sommeil maladif, tout juste une sensation étrange. Elle demeurait dans les vappes mais présentait qu'une créature familière la côtoyait. Elle n'avait plus le moindre lien, trop peu avec les mécréants de la Lune Rouge, ainsi donc personne ne devait se soucier de son existance de fantome. Pourtant une présence se tint là, au chevet de Boucle d'Or, attendant patiemment qu'elle rouvre ses merveilleuses prunelles. Ce qui ne tarda pas mais fut assez ardu, comme s'il s'agissait d'un chérubin tout frais. Elle était plus atteinte qu'elle ne l'aurait cru, son corps bien engourdit et une douleur au crane. Sans doute s'était-elle fracassée après cette téléportation foireuse. Elle sembla toute pure et innocente, ses yeux comme son visage d'angélique traduisant un état de vide proche de l'amnésie. Un murmure paru alors, fébrile, demandant où elle se trouvait. La silouette d'en face lui était encore floue pourtant elle ne ressentait nul danger. Elle se sentait apaisée, était-il magicien ?

D'une manche en dentelle funèbre, elle s'essuyait les globes embués. Récoltant ainsi quelques perles de rosée. Pourquoi ces larmes ? Elle s'étonna presque en les contemplant, c'était si abérant. Elle n'avait jamas pleuré, ou plutôt si mais il pleuvait par cette nuit d'horreur et d'orage. Ici elle devait paraitre bien faible et pitoyable, quoique pas désagréable à regarder non plus. L'homme n'était vicelard bien qu'il ait bénéficié d'une vue imprenable et d'une possibilité de s'y livrer sans vergogne. Elle ne prendrait les armes contre cet être, ne lui devant rien. Elle se releva avec maladresse, souffrant de tremblottis et devant s'aider du mur pour tenir debout. Elle s'y adossa, essayant de faire le point et rassembler ses esprits. Se moquant éperdument de la trombine ou de l'identité de son garde malade. « Tenez, vous aviez perdu cela. » Glissa-t'il adorablement en lui tendant son sac à dos. Il avoua n'avoir regardé à l'intérieur. Tant mieux, sa crédibilité de simple victime perdurerait. Mais elle ne le remercia non plus, elle fit mine de se décoller du mur pour, en enfilant son paquet, filer. Là voilà qui chutait, le bellâtre masqué la ratrappa sans en profiter. Elle le bouscula légèrement pour s'en défaire, elle n'appréciait guère être touchée du reste. « Quel est cet endroi et d'où sortez-vous ? » Un petit rire douillet se glissa hors du voile de bois pour qu'il l'enlève un fugace instant. « Je pourrais vous demander la même chose ... Nous sommes à Rôran. Etes vous une anbu de Sunagakure, jeune fille ? » Il dû être intrigué à la vue de ses protections aux jambes, celles des bras étant habilement tapissées.

Elle n'en cru pas un traitre mot sur le moment, fronçant les soucils d'or en se méfiant à présent. Elle s'adossa de nouveau contre la paroi de ce corridor admirable, parsemé de vitraux filtrant une lumière d'automne dans la petite pénombre de ces recoins où elle siégeait. « Si vous dîtes vrai, je ne viens pas de votre temps. Autrefois j'étais digne de ce grade, aujourd'hui je n'ai plus de terre. Mon objectif est l'arrestation du sélérat nommé Mukade. » Tandis qu'elle proférait cela, elle sembla matelée par cette gravure irrésistible. Ce visage si beau l'attirait, l'intriguait, mais de cela elle ne comprenait rien. Cruelle ironie qui réunissait un père et sa fille mais faisait naître un gouffre immense entre eux. Chaqun ne savait qui était l'autre. Cette empreinte, ce lien devait être inscrit dans ses gènes. Au fond elle était certaine de l'identité de cet être mais ne pouvant le réaliser, elle se retrouvait condamnée à passer son chemin sans trouver la moindre réponse. Elle détachea son regard, impassible mais doux, de ce ponte gardien, pour se décoller à nouveau du mur et filer lentement. Là elle tenta à nouveau de se morpher en sa forme infantile, sans résulta. Elle se figea, se guidant une mimine au crâne lui faisant souffrir le martyr. Et elle réalisa, qu'on l'avait bel et bien touchée. Ses doigts de fée caressèrent un tissus lui bandant le front. Elle renvoya un petit regard sec à ce gredin qui n'en fut pas le moins du monde intimidé. Sa mise en garde avec son état potablement utile à la bataille, lui passa au-dessus des nuages. Voilà qu'elle démis ces bandages, sans gestuelle barbare, et filait à pas retentissant en le dédale grotteux. Il disparut en un éclair, elle rangea ce souvenir légèrement ensanglanté dans son sac et disparut à son tour.

N'ayant grand intérêt à suivre l'homme mysthère, Akumu se contenta de porter l'errance, non sans douleur et titubements, sur la majestueuse cité. Parvenue au dehors, elle fut immédiatement saisit par ces vestiges intact d'une glorieuse civilisation. Elle ne conçavait certes le concept de beauté, ne le comprenant pas non plus, pourtant elle contempla ces colones et architectures ingénieuses. Voilà une radience se voulant immortelle. En chemain elle rencontra des détracteurs toujours aussi agaçants et stupides. Pourtant ils eurent clairement le dessus sur elle. Elle éprouva un certain mal à se mouvoir, rien qu'au repos, alors à bondir de surface en surfaces. Son mental pouvait le suporter, prenant sur elle, la princesse des serpents tenta de semer ses poursuivants. Hélas avec ses muscles souffrants, sa vitesse d epointe s'en retrouva amoidrie, beaucoup même. A son kodaichi brandit, un éclair d'argent déchira les cieux pour qu'une de ces armures d'argile aillent choir en contrebas. L'ennemi était passablement innombrable, menant la battue du chasseur. Mais elle était vive et douée d'une grande légèreté et agilité. Là voilà donc qui dansait dans les airs, s'esquivant à mout nuées de poignards. Pour au détour d'un poursuivant la faisant sélérate, se faire prendre à son tour. Elle se retourna et à l'aide de deux Poignes du Serpent Spectral, put fracasser deux pantin contre leur groupe si resserré. Elle profita de la confusion pour s'enfuir, pensant à faire perdre sa trace parmi la populace amassée tout près. Y parvenant sans nouvel ennuit, elle se posa parmi les citadins de la place et vint à se meller à eux.

Quelle ne fut pas sa micro surprise, bien que ceci ne l'ébranla en vérité, de découvrir que ces êtres n'étaient que des servant du théâtre. Elle usa du Shunshin no jutsu pour s'évader de cet océan grouillant de potentiels requins, pour apparaître dos à une petite colonne d'une sorte de pont. Elle s'attela à reprendre un rythme cardiaque optimal, s'étant si peu ménagée à vrai dire. Ironiquement, elle ne put masquer sa présence mais n'en n'eut besoin. Le capitaine de la croisade contre le marionnettiste dément, était ici, se livrant à une entrevue privée avec une jeune femme à la robe de feu. Soudain voilà que fusa une foudre qu'elle ne senti venir. Allant en découdre avec le sage samouraï. Il n'était plus seul, deux acolytes se tenaient dans son dos, un à la coupe afro la regardait. Elle sortit lentement de l'ombre du pilier, donnant le change sur sa factice bonne forme. Sa voix fluette et morne parue alors. « Cessez ces enfantillages. Nous avons tous la même ambition. Pourquoi ne pas oeuvrer de concert, messieurs ? » Le blondinet au masque d'oiseau lui lança un bref regard, possiblement ravi de la savoir saine et sauve malgré son état. Elle garda les bras croisés sous sa poitrine mollement relevée. Essayant de garder sa concentration intacte et sa tenue de corps fébrile dans le mensonge. « Uzumaki Shizuka. » Affirama-t'elle avec nonchalence pour sembler coopérative, sans savoir que ce simple nom pourrait éveiller de mauvaises augures.
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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyLun 5 Aoû - 18:56

... ... ...
Kôga - Fûma




∞ La Désillusion



Alors que nous avancions en direction de l’origine du feux d’artifices. Bokuden et moi même prenions la peine de parler. Selon lui, il ne faisait aucun doute que nous nous trouvions dans le passé. Il ne saurait dire avec exactitude quand. Mais le fait était là, nous ne nous trouvions plus à notre époque. C’était très certainement un effet secondaire de la rupture du sceau de la veine du dragon. Fichu Mukade, on peut dire qu’il avait foutu un sacré bordel. Les cheveux dans le vent, je sautais sur les différents ponts, toits, et murs, qui se trouvaient sur mon chemin. Décidément, cette ville possédait une architecture impressionnante. Tout cela était vraiment beau à voir. Je m’en serais presque émerveillé si ça n’avait pas pour cause de rendre la progression trop compliquée. Par moments, nous étions obligés de grimper, de redescendre ensuite, puis de contourner un immeuble, tout cela pour effectuer un chemin en ligne droite. C’est là le coût de la beauté du lieu il faut croire. Finalement, il ne nous fallut qu’à peine quelques minutes pour enfin parvenir à destination. Que dire de ce que je voyais alors ? Que j’étais surpris. Oui sans nul doute. Bokuden et moi même étions sur un toit, bien en hauteur. Nous pouvions donc surplomber tout ce qui se trouvait en contrebas. Pour faire simple, tout cela semblait être une sorte de fête. Une véritable foule était agglutinée plus bas. Les explosions des feux d’artifices retentissaient dans mes oreilles. Le souffle de leurs déflagrations ne cessait de me décoiffer. Immobile, j’observais la scène. Il ne fallut pas longtemps avant qu’un évènement se produise. Face à moi, un peu plus bas, se trouvait un balcon. Je vis en sortir une personne. La populace sembla s’exciter à sa vue. Qui pouvait-ce bien être. Prenant soin de l’observer, je pu constaté qu’il s’agissait là d’une femme. Une jeune femme. Peut-être bien une adolescente. Vêtue d’une tenue d’apparat, ses cheveux rouges étaient coiffés impeccablement. Elle respirait la royauté. Aucun doute quant à son identité. C’était la Reine de Rôran. Je tournais la tête vers Bokuden qui en savait bien plus que moi sur l’histoire de notre monde. Il affichait un air sérieux, bien plus qu’à son habitude.



« Je connais cette personne. Il s’agit de Saara. Elle fut la Reine de Rôran il y’a une vingtaine d’années environ. Je ne pourrais l’affirmer, mais je crois qu’elle est décédée depuis peu. Quoiqu’il en soit, elle devrait être bien plus âgée... Kôga, ceci confirme mon hypothèse, nous sommes bien dans le passé... »



Une goutte de sueur perla sur ma tempe. Hébété, je ne savais quoi répondre. Façon de parler bien sûr... Je ne savais que dire, que penser. Bien que dorénavant il était prouvé que je me trouvais dans le passé, l’admettre était une toute autre chose. Le monde ninja recèle de choses que je ne suis en mesure d’expliquer. Des phénomènes étranges. Ou des miracles comme certain préfèrent dire. L’existence même du Ninjutsu est une chose incroyable. Bon nombre de techniques interdites possèdent des effets inimaginables. Mais retourner dans le passé. Briser la boucle du temps, retourner à une époque antérieure. C’est une chose tout bonnement impossible. Et pourtant... pourtant nous nous trouvions bien dans le passé. Les faits contredisaient une loi que depuis ma naissance je connaissais comme inviolable. L’accepter était compliqué. Je posais un genou à terre et prenais ma tête dans mes mains. Tsukahara-sensei posa une main sur mon épaule. Ma respiration était longue et profonde. Je cherchais seulement à me calmer.



« Kôga ! »



Surpris, je relevais immédiatement la tête. Que se passait-il encore ? Bokuden pointa du doigt le balcon. Mon regard s’y porta instantanément. La jeune Reine de la cité venait de chuter. Non. Ce n’était pas ça... Une partie du balcon s’était effondré. Un accident alors ? Étrange cette histoire... Je n’eu pas même le temps de songer à partir sauver la jeune femme qu’on me devança. Mon regard s’écarquilla, ma bouche s’entrouvrit. C’était Fûma ! Il venait tout juste d’attraper au vol Saara et avait disparu plus bas. Je devais vite le rejoindre. Néanmoins une chose attira mon attention. La foule n’avait pas manifestée la moindre réaction suite à cet évènement. Comment cela se pouvait-il ? Vraiment quelque chose ne tournait pas rond ici. Si je voyais mon Kage faire une pareille chute, je réagirais forcément. Bien sûr, je sais qu’il s’en sortirait indemne sans nulle aide. Néanmoins la surprise et la peur seraient au rendez-vous. Alors pourquoi ? Pourquoi cette foule ne manifestait pas la moindre réaction face à ce qui aurait pu être le décès de leur Souveraine ? C’était un point que je devrais éclaircir au plus vite. Toutefois, ma priorité était de vite retrouver mon beau-frère. En concert, Bokuden et moi-même sautions sur un toit en contrebas. Suivi d’un second saut, d’un troisième, et enfin nous atterrissions non loin de Fûma. Il se trouvait deux mètres plus bas, sur notre droite à quelques mètres. Pour le moment nous étions sur ce qui semblait le toit d’une allée pourvue de colonnes. J’allais le rejoindre, quand soudain, je vis un homme. L’individu portait un masque qui cachait son visage. Quelle drôle d’idée (LOL). Il était apparu d’un coup et avait tenté d’asséner un coup de kunai à Fûma. Normalement, cette tentative aurait été vaine et stupide. Mais l’homme avait une telle vitesse que c’est presque par chance que Fûma sembla l’arrêter. Jamais encore je n’avais vu cela. Mon beau-frère dans une telle situation ? Comment pouvait-ce être possible ? Décidément cette journée était on ne peut plus forte en rebondissements. Quand l’homme, enfin, montra son bandeau frontal, en abaissant légèrement son masque, je constatais qu’il venait de Konoha. Ils étaient donc nos alliés. Du moins aujourd’hui ils le seraient. Seulement il y’a une vingtaine d’années ce ne serait pas le cas. Fallait-il se méfier d’eux ? Oui. C’était bien plus sûr. Ce fut au tour d’une jeune femme blonde de faire irruption. Avant de se présenter sous le nom de Shizuka Uzumaki, elle prôna que les deux hommes cessent. Mais qui était donc cette personne. Une Uzumaki ? C’était très rare d'en voir. Mais Kami no Kitsune en personne, que faisait-elle ici ? Elle semblait vraiment très jeune. Alors que j’observais toujours la scène, Bokuden, l’air surpris me toucha l’épaule. Me retournant dans sa direction, j'écoutais ses murmures.



« Ce type aux cheveux blonds. Je suis prêt à parier qu’il s’agit du défunt Yondaime Hokage. Cette coupe de cheveux, et puis surtout, cette technique de téléportation. Aucun doute sur ce point, c’est lui. »



Avant que je ne puisse faire quoique ce soit, il sauta. D’un bond lourd il alla s’écraser là où se trouvaient Fûma et l’homme masqué. Les deux hommes durent cesser leur duel de force. Sous la force immense de Bokuden, un petit cratère se forma là où il venait d'atterrir. Il dégagea son poing du sol et se releva. Il envoya un bref sourire à Fûma avant de toiser l’homme masqué de tout son haut. Posant sa main sur la garde de son sabre, il plongea son regard vers le sien. Après quelques secondes de silence, il salua l’homme de la tête. L’air sincèrement réjoui, il prit la parole de sa voix grave.



« Je me présente, Bokuden Tsukahara. Kami no Kitsune m’en soit témoin, c’est un véritable plaisir de te rencontrer gamin. Tu peux retirer ton masque, Namikaze Minato, l’éclair jaune de Konoha. Je ne suis pas ton ennemi, et l’homme derrière moi non plus. »



Je ne fis alors plus attention à ce qui se passait. Une chose venait de me traverser l’esprit. Si cet homme, ce Minato, était encore en vie, et que nous nous trouvions il y’a une vingtaine d’années... Alors Mehlia était encore en vie ! Ma grande soeur vivait. Le massacre commis par le Kurorentai n’avait pas encore eu lieu. Je devais avoir environ 16 ans à cette époque. Si j’allais prévenir ma soeur et le Fûma du passé, je pouvais tout changer. J’étais en mesure de TOUT réparer. Ma vie ne serait pas la misère qu’elle est actuellement. Toute ma souffrance jamais n’aurait existé. Je devais sauver ma soeur et ma famille. L’occasion m’était donnée de changer le passé. Je ne devais pas cracher sur cette chance, et mon beau-frère lui non plus. Je devais le convaincre de me venir en aide. D’un bond, je me retrouvais derrière Bokuden. La main de mon bras nu se posa sur sa fourrure? Je le caressais alors en vitesse. Son visage changea littéralement d’expression.



« Mais de quoi parles-tu ? Comment ça sauver Mehlia ? Tu sais bien qu’elle est morte enfin... »



Comme ce n’était pas clair, je me retournais vers Fûma et fonçait vers lui. Arrivé à sa porté, je m'emparais de son col des deux mains. Avec force je le rapprochais de moi. Mon visage se colla presque au sien. ceci fait, mon regard était plongé dans le sien, à quelques centimètres. De manière claire et nette, je lui intimais de me venir en aide. Cette mission, je n’en avais guère à faire. Rôran avait déjà succombé par le passé? Une fois de plus  ou de moins, je m’en fichais. Seule ma grande soeur comptait. Et Fûma était son mari. Il DEVAIT me rejoindre...



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Fūma Tsubaki (Décédé)
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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptyMer 28 Aoû - 15:08

 Récapitulatif de Mission 
Fūma ♦ Kõga ♦ Akumu.



En mission pour le compte de Suna, Fûma Tsubaki & Kõga Shirayuki furent demandés en tant que chasseurs de déserteurs. Mukade, ancien marionnettiste de Suna comptait s'en prendre à la Veine du Dragon - Source de Chakra Infinie en possession du pays du vent -. Scellée par le Yondaime Hokage par le passé, Mukade a décidé de briser le sceau pour s'approprier la source d'énergie. Sur les lieux et arrivés trop tard, Mukade absorbe le Fûinjutsu de l'Hokage défunt et laisse déferler le chakra indigo contenu par le sceau. Trop de chakra en liberté perturba l'espace-temps, transportant Fûma & Kõga dans le passé. Notons aussi la présence d'Akumu Uzumaki, s'étant présentée à Mukade afin de le tuer. La jeune adolescente fut aussi envoyée dans le passé. 20 ans auparavant, ils se retrouvèrent à Rõran. La cité qui gardait la Veine du Dragon en lieu sûr. Tous les trois séparés, Fûma avait continué sa route afin de comprendre où il se trouvait. Il trouva une jeune fille, Sãra. Il fut aussitôt attaqué par des gardes marionnettes mais n'eut aucun mal à les éliminer, c'est alors que la fille avait disparu. Quant à Kõga, il se trouva dans la même position que son beau-frère, éliminant les marionnettes hostiles. Et Akumu, elle trouva refuge auprès de trois shinobi de Konoha. Ensemble ils surent trouver Fûma qui s'était manifesté lors du festival de Rõran pour sauver une fois encore Sãra. Kõga se manifesta à son tour quant à l'intervention des Konohajin auprès de l'Empereur Blanc.

La suite de la mission se révéla être assez compliquée. Les deux Sunajin étaient tombés face à celui que l'on retient comme l'homme le plus rapide parmis les ninja. Svelte, puissant, souple, digne: l'éclair jaune de Konoha. Ce dernier se trouvait sur les lieux en présence des shinobi: Shibi Aburame & Chõza Akimichi ainsi qu'Hatake Kakashi. Ces derniers étaient en mission afin de protéger Sãra, l'actuelle reine de Rõran. C'est cette même fille que Fûma sauva d'une mort certaine alors qu'elle fut poussée du haut du balcon du palais Royal. Fûma remarqua aussi la présence d'Uzumaki Akumu, jeune fille se trouvant avec lui & Kõga avant d'être envoyés dans le passé. Suite à quoi il expliqua à Minato la façon dont ils sont arrivés, et Minato jugea nécessaire de trouver un moyen de les renvoyer dans leur époque. Soit, trouver et tuer celui qui les a envoyé dans cette cité: Mukade. Ce même homme qui en voulait à la vie de Sãra pour diriger Rõran. Il était nécessaire de s'allier pour y arriver, et leur enquête les mena à la conclusion que Mukade s'était renommé: Anrokuzan, le ministre de Rõran. Un homme qui se fait passer pour un être de confiance alors que seule l'avidité du pouvoir le motivait. Une fois son identité secrète découverte, ils durent le localiser et ce fut un jeu d'enfant. Quand ils surent que Mukade avait emmené les hommes de Rõran dans les sous-sols de la ville afin de les faire esclaves afin qu'ils construisent ses marionnettes soldats... Ils décidèrent de s'y rendre, et de l'attirer dans son propre repaire.

Ce qui marcha, le ministre de Rõran se montra dans les sous-sols de la ville afin d'affronter les élites. Et il se montra sous sa véritable forme, il sacrifia son corps pour devenir une marionnette géante qui tirait sa puissance de la Veine du Dragon. Un pouvoir qui était mis en parallèle avec les Jinchûriki. Se transformant en un être toujours plus bestial avec une force toujours plus puissante. Mukade utilisant sa marionnette pour créer un nouvel organe, les Jinchûriki eux se transformaient en gardant l'apparence de leur bête. Le combat fit rage dans la cité de Rõran: Minato - Shibi - Chõza - Fûma - Kõga - Akumu & Kakashi surent se montrer digne de leur puissance quand Sãra ferma la veine du Dragon. Devenant aussitôt vulnérable, les shinobi lancèrent une technique combinée qui avait suffit à réduire l'être au silence. Ainsi une fois tué, Minato prit la décision de sceller la Veine du Dragon. Ainsi nous faisons le parallèle entre le début de la mission où il était dit que le Yondaime avait scellé la source, et le moment présent où il prend cette décision. Pour ne pas modifier le continu espace temps, il voulut effacer la mémoire des personnes présentes, s'incluant dans le lot, afin qu'ils ne gardent aucun souvenir des événements qui se sont déroulés. Fûma demanda néanmoins le corps de Mukade pour le ramener à son époque et avoir une preuve de la réussite de la mission. Ainsi soit-il, revenant à leur époque, à leur réveil... Fûma & Kõga ne purent voir la présence d'Akumu Uzumaki. Ils retournèrent avec le corps de Mukade, ayant oubliés leur périple au sein de Rõran.

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MessageSujet: Re: Mission de Rang S - La Veine du Dragon : La Magnificence de Rôran    Mission de Rang S - La Veine du Dragon :  La Magnificence de Rôran  EmptySam 7 Sep - 15:02

Partie 2 ? :


Correction RP


> Kôga Shirayuki <

    Positif

    - Rps aérés parfaitement lisibles.
    - Un vocabulaire riche est des phrases bien tournées.
    - Quasiment pas de faute.
    - Longueur très satisfaisante, excepté pour le premier post.
    - Ton dernier rp est toujours bien tourné autour des sentiments de Kôga vis à vis du décès de sa soeur. J'ai apprécié le fait qu'il laisse tout de côté et veuille se précipiter pour la sauver, tu respectes parfaitement bien ton personnage et ses envies.
    - Une mission bien menée et entraînante à suivre.

    Bonus échelon 2


    Négatif


    - Même reproche que pour la 1ère partie de la mission, concernant le passé simple des verbes du 1er groupe à la 1ère personne du singulier. Pour décrire une action brève dans le passé, comme un saut, il faut employer le passé simple ("-ai"), ce qui n'est pas ton cas ("-ais").
    - Je déplore tout de même la fin de cette mission, pour laquelle j'aurais vraiment apprécié de voir dans un premier temps le choix de Fûma concernant la proposition de Kôga de sauver Mehlia, ainsi que ce qu'il s'en serait suivi. Idem pour le combat final, inexistant ... Dommage.

    Malus échelon 1 (uniquement à cause du 1er point négatif)


    Récompense


      Nombre de mots : 692 + 1604 + 1641 = 3937
      Gain de mission : 50 xp
      Calcul : (3937/20)*1,1 = 196,85*1,1 = 216,5

      Expérience gagnée : 267 xp
      Ryos gagnés : 350 ryôs



> Fûma Tsubaki <

    Positif

    - Rps aérés parfaitement lisibles.
    - Un vocabulaire riche.
    - Longueur très satisfaisante.
    - Beaucoup de métaphores appréciables.
    - Une mission bien menée et entraînante à suivre.

    Bonus échelon 2


    Négatif


    - Pas mal d'erreurs d'inattention, d'accord et de conjugaison. Tu confonds même parfois l'imparafait (terminaison -ait) avec le participe passé (terminaison -é). Je te conseille de mieux te relire à l'avenir, il est dommage que cela entache tes rps et tes récompenses alors que tu peux t'en débarrasser.
    - Je déplore tout de même la fin de cette mission, pour laquelle j'aurais vraiment apprécié de voir dans un premier temps le choix de Fûma concernant la proposition de Kôga de sauver Mehlia, ainsi que ce qu'il s'en serait suivi. Idem pour le combat final, inexistant ... Dommage.

    Malus échelon 1 (uniquement à cause des erreurs/fautes)


    Récompense


      Nombre de mots : 1758 + 1301 + 819 = 3878
      Gain de mission : 50 xp
      Calcul : (3878/20)*1,1 = 193,9*1,1 = 213,3

      Expérience gagnée : 263 xp
      Ryos gagnés : 350 ryôs



> Akumu Uzumaki <

    Positif

    - Rp plutôt bien aéré.
    - Un vocabulaire particulièrement riche.
    - Longueur très satisfaisante.
    - Des phrases très bien tournées, de beaux récits.
    - Un personnage qui s'incruste bien dans cette mission qui ne la concerne pourtant en rien.
    - Une mission bien menée et entraînante à suivre.

    Bonus échelon 2


    Négatif


    - Attention, j'ai quand même décelé plusieurs fautes, que je mets pour la plupart sur le compte de l'inattention (chemain, n'en n'eut, elle senti_ venir, affirama-t-elle, des oublis de 's' au pluriel ...). Relis-toi bien, la prochaine fois cela pourrait être accompagné d'un malus.
    - Je déplore tout de même la fin de cette mission, pour laquelle j'aurais vraiment apprécié de voir le combat côte à côte avec le père de Akumu, Minato ... Dommage.


    Récompense


      Nombre de mots : 1449
      Gain de mission : ////
      Calcul : (1449/20)*1,15 = 72,45*1,15 = 83,3

      Expérience gagnée : 83 xp
      Ryos gagnés : ////

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