" Chère demoiselle. Je peux sentir dans vos parole que vous avez connu les mêmes chose que moi. Je ne suis pas l'envoyé de dieu, n'y même un ninja aillant un pouvoir extraordinaire. Je suis ici pour rallier les gens a ma cause. Nous ne sommes pas obligé de devoir faire des guerres, faire couler du sang pour que le monde connaisse la paix. Nous pouvons simplement admettre que le monde d'aujourd'hui a évolué de mauvaise façon. Je pense serieusement que mon action ne pourrais pas être entendu si je suis seul. Pour le moment je compte comme dit plus tôt allé dans les pays des grande nations pour leur expliquer mon point de vue. Si les villages arrivent a combattre l'un contre l'autre, ils doivent pouvoir arriver a cohabiter. Notre ennemis, parce que malheureusement il y en a un ... ce trouve dans l'ombre. La peur nous gagnera bientot. Nous allons devoir nous entre aidé. Je suis le précurseur non pas de la paix, mais d'un monde meilleur.

Lyra dodelina un peu de la tête, spécial. Oui, il était spécial. Le talent d'un chef, le charisme d'un auditeur, l'intelligence d'un stratège. Il était malin, bien différent des charlatants qu'elle rencontrait et oubliait en une journée. Il ne voulait pas vraiment un monde de paix, il voulait juste un monde meilleur. Nasaki plissa les yeux un moment, un monde meilleur, de son point de vue, est un monde où on ne la regarde pas pour ce qu'elle a mais bien pour ce qu'elle est.

Les Jinchuurikis cherchaient ça aussi, un monde meilleur, loin des villages où ils étaient enfermés tout le temps sans espoir de sortie, loin du mépris permanent de ceux qui furent autrefois leur compagnons, la plupart des Jinchuurikis qui étaient devenus fous ont connus ce sort tragique à cause de cette solitude et chacun espérait qu'un des leurs se dresse et impressionne les autres villages, de par son courage, sa bonté ou sa force. Ce Jinchuuriki sacré était attendu par tout les réceptacles mais il ne se montrait jamais, ils restaient donc seuls dans leurs coins. Sans amis, sans famille et avec un démon surpuissant comme seul allié, certains d'entre eux finissaient d'ailleurs par le libérer sur les villages afin de se venger du mépris et de la haine. Heureusement pour les Sunajins, Lyra ne faisait pas partie de ce genre de Jinchuurikis, la vengeance ne ferait que lui faire perdre la vie et son âme.

Kenji • « D’une certaine manière, tu as raison. Mais ce monde est sans cesse en guerre avec nos ennemis dans l’ombre. Allons en discuter autour d’un bol de ramens. »

Pour Lyra, ça voulait dire "on rentre au village". Elle s'exécuta donc et suivit gentiment les deux hommes, elle avait assez faim donc par conséquent, un bol de Ramens était quelque chose de miraculeux pour elle, surtout que Nanabi absorbait également sa nourriture, il préférait très souvent la salade ou autres mais il n'était pas très difficile en terme de goûts.

Une fois rentré dans le village, le groupe se dirigea vers une boutique, le marchand lança un regard respectueux au Jônin et remarqua Lyra, un mélange de peur et de mépris se dessina sur son visage, expression qui s'accentua en remarquant l'individu de Kiri. Les habitants de Suna n'aimaient pas trop les Kirijins, probablement parce que les deux pays avaient une météo totalement opposée.

12 Bols pour moi, c'est monsieur Kenji qui paye vu qu'il s'occupe de moi. Mais je laisse ce dernier et le Kirijin décider de leur plat.

Elle s'assise et se mit à attendre les ramens, Nanabi s'excitait tout seul dans sa cage. Il avait senti la colère de Lyra et il devait extrêmement retors. En dépit de son caractère jovial et limite stupide, il était extrêmement glauque et menaçant lorsque qu'il devait l'être. Pour Lyra qui pensait que c'était un bijû assez peu agressif, c'était surprenant, surtout la première fois. Le marchand déposa cependant des ramens et elle entreprit de commencer à manger, ignorant les deux autres shinobis;

Lyra... petite Lyra, je sens ta... HO ! DES RAMENS ! Oublie ta colère Lyra, j'ai pas envie de prendre le contrôle en pleine dégustation.

La Kunoichi soupira.