De gros personnages libres, dont: Hidan, Kakashi,A Yotsuki, ou encore Jûgo ! Les villages sont attaqués par de dangereux déserteurs, Iwa est le premier village à avoir pu écarter la menace ! Kiri et Iwa sont de nouveau ouverts ! Konoha accepte deux ninjas inventés ! Les Nukenins inventés sont de nouveau autorisés !
LA CÉRÉMONIE DES OSCARS COMMENCERA A 22H CE SOIR !
Sujet: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Dim 15 Déc - 16:05
▷ various details
PRÉNOM(S) ▷ Raito NOM DE FAMILLE. ▷ Amatsu ÂGE. ▷ 23 ans VILLAGE. ▷ Iwa GRADE ∫ RANG. ▷ Rang S.
▷ behind the screen
PRÉNOM ∫ PSEUDO. ▷ réponse ici. DATE DE NAISSANCE. ▷ réponse ici, facultative. AGE. ▷ réponse ici. SEXE. ▷ réponse ici. QUE PENSES-TU DU FORUM ? ▷ BIen COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? ▷ J'étais ShinsukeAS-TU DÉJÀ ÉTÉ ICI ? ▷ Je viens de répondre juste avant e.e PRÉSENCE. ▷ ça dépend du travail !
▷ credits.
CODAGE ▷ kaya miura. AVATAR ▷ réponse ici. ICONS ▷ réponse ici. ▽ merci de ne pas utiliser sans autorisation, optimisé pour chrome.
▷ description morale/ Description Physique
D’un point de vue vestimentaire, notre bellâtre bien que religieux tant à se vêtir convenablement. Pour cela une sublime veste bleu marine, accompagnée d’un T-shirt couleur neige suffisent à mettre en valeur son torse. Quant au bas, rien de plus classique, un bon vieux pantalon lui aussi couleur marine. Inutile de mentionner les chaussures ni même les chaussettes, je suppose, de toute elles sont d’un classique, ou mainstream diront certains. Passons à la description du corps, oui, les détails que vous attendez tant. D’une bouille aux trait fins se dresse une chevelure elle aussi marine. Tombant, ses derniers semblent plutôt courts. Ses sourcils finement taillés marquent à la perfection son regard de jade. Ainsi notre bellâtre s’accompagne de deux iris bleu azur séparés par deux narines, elles aussi finement taillées. Ses lèvres de tailles moyennes cachent une pléthore de dents tout aussi blanche les unes aux autres. Le reste de son minois semble correspondre à la moyenne et par conséquent ne nécessite plus de détail qu’il n’en faut. . Sa pilosité semble quant à elle inexistante, n’appréciant pas la rugosité ainsi que l’attrait hideux de ces derniers, Raito les coupes mensuellement sans faire la moindre exception ! Son derme couleur porcelaine ne suffirait à le démarquer d’un autre Iwajin, en effet, son torse bien que musclés comme il le faut ne semble ne point être son point fort. Son dos contrairement, aborde toute une flopée de cicatrices, témoins de la terrible enfance de notre vingtenaire. Contrairement à un tatouage, Raito semble pêne à exhiber un tel fardeau, l’obligeant même à ne point prendre par à un bain public. D’une démarche fière et souple du haut de son mètre soixante-dix, Raito peut être considéré comme étant quelqu’un de relativement grand. Léger, il parvient à compenser son manque de puissance par la rapidité ainsi que l’efficacité. Le soleil lui-même ne serait parfaitement le décrire, mais il en convient d’affirmer qu’il ne fut ainsi toute sa vie.
Adolescent, l’ébène subit le joug de sa terrible mère adoptive, qui malgré sa gentillesse sans limites voue un véritable culte au christianisme. Ainsi le pauvre garçon que vous voyez aujourd’hui ressemblait davantage à un moine hors de chez lui, qu’à un jeune homme ! Ne vous en moquez pas, vous risqueriez de l’en vexer.
Enfant démuni, il fut encore moins bien loti, puisque, sans sous en poche, ni parents bienveillants. Le malheureux vêtu d’un pantalon grisâtre à l’allure minable flanquée d’ouvertures et déchirures en tout part, il du composer avec ce dernier durant nombre d'année. Le haut, un T-shirt rouge ne lui allait que trop peu, et devint même rapidement trop petit. Nombre gens pensèrent Raito ainsi que Ryosuko sa sœur, jumeaux tant leurs ressemblances fut frappante. Tous deux dotés d’une chevelure courte, leurs joues ainsi que leurs carrures laisserait le plus aiguisée des regards perplexe quant à l’identité de chacun.
Quand on regarde quelqu'un, on n'en voit que la moitié.
Description psychologique
Enfant, notre Raito fut attentionné, certes turbulent en de grandes occasions, mais relativement attentionné. Sa tendresse atteignait son apogée lorsqu’il se trouvait seul à seul allongé sur l’herbe à compter les longues péripéties de sa journée à sa douce sœur. Ce fut d’ailleurs l’unique personne envers laquelle notre jeune homme eut à devoir être protecteur, du moins pour l’instant. Fanatique du Uno, son niveau atteignait des sommets himalayens. À tel point que ses compères de jeux le surnommaient Lucky ! Très joueur, d’une naïveté monstrueuse, tel un labrador. Attachant dans l’ensemble sauf avec la directrice pour les raisons citées dans l’histoire plus bas, Raito semblait avoir les bases pour devenir un simple humain, sans histoire comme l’on en voit tout les jours. Comme l’on en croise à chaque ruelle. Sans véritable but si ce n’est de venir en aide a sa sœur gravement malade, et ce par tous les moyens, Raito se languit du temps où il considérait ses camarades d’orphelinat comme tel ! C’est en grandissant petit à petit que le bellâtre éveille en lui les sentiments négatifs, tels que l’avidité, la haine, ou encore même la jalousie ! Nous avons là un bien beau spécimen de foire
Raito ne pourrait lui-même expliquer le pourquoi du comment il est ce qu’il est. Ni même pourquoi il fait ce qu’il fait. Les modifications aléatoires de ses goûts et envies l’étonneraient tout autant que son histoire personnelle. Par moment il peut cependant laisser paraître dans sa voix grave et dénuée de ton Alto la froideur apparente de sa personnalité. Celle-ci fut mainte fois comparée à celle de certains procréateurs stupides du genre macho. En soi, il possédait une certaine logique qui lui semblait implacable, celle du seigneur, normal, sa mère adoptive fut elle même none ( du moins elle en avait l’habit ). Accordant une grande valeur à la vie humaine, il se convainc lui-même lors de ses missions ,lorsqu’il doit ôter la vie de quelqu’un, qu’il s’agît d’une juste compensation en retour des vies prises par cette même personne. Et étrangement bien que croyant, il se dit certain de finir en enfer, considérant cela comme le juste prix à payer pour les nombreuses vies qu’il ôta lui aussi. Doté d’une intelligence redoutable supérieure à la moyenne du moins, le bellâtre prône la tactique au fonçage dans le tas. Autrefois un garçon sans âme ni envie de vivre, le maître du Yoton trouva un second souffle en la croyance, tout en étant réaliste quant aux choses que peuvent ou non lui accorder le seigneur. En somme il possédait une rationalité personnelle, voilà tout ; bien sûr en accord avec les standards du monde Ninja, ce qui suffisait amplement à lui prouver qu’il n’était pas réellement étrange ni particulier, comme pouvait en témoigner son effroyable désir de puissance. Froid au quotidien, voire pragmatique lorsqu’il est de bonne humeur. Du point de vue de ses goûts alimentaires, le vingtenaire apprécie particulièrement les plats épicés. Peut être cela est étroitement liée à son don héréditaire ? Cependant notre amateur de cuisine à la fâcheuse tendance à surdorer ses plats en épice. D’un point de vue musical, [oui vous l’aurez remarqué j’essaye d’allonger ma description avec des détails un peu useless] ; le bellâtre tend à écouter des titres plus, classique mélangeant voix d’homme et femme. D’un point de vue relationnel, le vingtenaire semble avoir coupé tout pont avec ses « parents adoptifs », sans aucune raison, ne me le demandez pas, je l’ignore moi-même. Sans doute le fait que ces derniers ne puissent être considérés comme étant saint, par le commun des mortels.
Le village ainsi que ses rares connaissances peuvent le trouver par moment, c’est-à-dire vingt-quatre heures sur vingt-quatre, distantes. De par cette nature, l’utilisateur du Shakuton a la fâcheuse tendance à tout vouloir gérer par lui-même.
Mais comme l’oignon, c’est en perçant les différentes couches que vous parviendrez à découvrir sa véritable personnalité.
▷ histoire.
" Je me demande ce qu'ils font en ce moment. " pensait une femme perdue dans les méandres sablonneux du désert de Suna.
Il y eut deux enfants, contraints de survivre, seul, démuni ne pouvant compter que sur eux et l'espoir chimérique de jours meilleurs. Ils placèrent leurs espoirs en la confiance mutuelle qui les unifiaient et jurèrent de survivre quoiqu'il advienne. Vous n'arriverez surement pas à les comprendre. Cependant bien que le rêve qu'ils avaient, allait rapidement s'effondrer tel un château de carte, leur promesses de vivre coûte que coûte n'allaient pas périr.
Des nuages bas, sombres, menaçants traversaient en permanence le ciel. Une forte pluie marquant le paysage d’une épaisse brume argentée accompagné d’une odeur de rouille. L’atmosphère fut lourde et l’air parfumé d’une odeur asphyxiante. Tout s’enclencha ce jour. Oui ! Ce jour où furent posés deux enfants à la chevelure bleuâtre devant les immenses portes d’un orphelinat. C’était l’endroit parfait pour les rats d’égout qu’ils sont, des enfants victimes des sévices du monde Shinobi. L’allure lugubre du refuge couplé aux murs couverts de mousses avait de quoi en révulser plus d’un ! Bien qu’ils ignorèrent à cet instant, les deux enfants, sans nom, allaient connaître le véritable enfer. Ryosuko, la plus âgée des deux était un modèle de gentillesse, léguée surement par sa mère ; jamais elle ne rechigna à venir en aide à son prochain ; à l’image du vent, elle se laissait dès lors par moment, guider, emporter par cette gentillesse qui dès lors se transforme en son plus grand défaut. Contrairement à cette dernière, Raito quant à lui, fut bien plus turbulent, jouant le plus souvent au ninja avec ses camarades.
Sa sœur elle, fut rayonnante de joie et ce en toute situation. Sa chevelure bleutée la démarquait de la foule d'enfants. Elle les dirigeaient et gérait les conflits entre eux. Posée, courageuse, la belle sut trouver les mots afin de réconforter le petit cœur de son frangin. Diplomate en herbe, nombre enfants la surnommait « La chef ».
Un matin, alors que les lueurs rougeâtres de l’astre solaire illuminaient la pièce de repos. Les hurlements d’une personne n’ayant pu dormir perçaient dans le sinistre silence du refuge. Cette personne c’était Ryosuko, la « chef » semblait pâtir d’un mal bien étrange, de son lit couvert de sang, elle fut transférée à l’infirmerie sous le regard inquiet de Raito. Après de longues semaines de recherches, les médecins ne parvinrent à trouver l’origine du mal rongeant la petite, ne pouvant que la placer sous médicaments afin d’allonger son espérance de vie. Cependant, en ce bien cruel monde rien ne s’obtient gratuitement, ce même pour des orphelins. C’est alors que débuta le véritable enfer. Le duo eut à subir les lourds sévices d’une gérante à l’attitude plus que dépravé.
Les rayons perçants de l’astre l’éveillèrent, la simple vue de l’étoile orangée lui rappelait à quel point il ignorait avant le véritable sens du mot « liberté ». Non, vous l’aurez compris, désormais il n’était plus dès lors question d’orphelinat ni de gratitude, bien loin de là. Du haut de sa soixantaine d’années, la femme aux rides imposantes fit subir les sévices les plus inimaginables au plus jeune Raito, le tout sans que sa grande sœur Ryosuko ne le sache sous peine que celle-ci soit confiée à des parents adoptifs aux relations douteuses. Chaque semaines, même jour, même heure, le garçon se rendait dans la chambre de la dame. Vêtue d’une chemise blanchâtre laissant soigneusement transparaître les hideux contours de son corps, elle arborait un sourire vicieux. La rage qui habitait notre protagoniste fut forte, tellement forte, qu’à l’âge de 7 ans à peine, il ne désirait plus qu’une chose, la mort de cette femme répugnante. Lui-même le sut bien rapidement, que personne ne pourrait lui venir en aide, que seule sa propre force l’extirperait de cette situation périlleuse.
Le lendemain même, un soleil de canicule brillait dans un ciel dépourvu de nuages, et les fougères de la cour hors de ces imposants murs exhalaient un doux parfum. En ce sublime jour, Raito rendit visite à sa sœur, sa moitié.
« Je te demande de ne pas poser de questions. Le jour où je te dirais de venir ait confiance en moi, cet endroit n’est pas sur ni pour toi, ni pour moi. » Annonçait-il fièrement.
IL savait pourtant qu’en s’évadant, Ryosuko ne survivrait bien longtemps dans la froideur et la puanteur des ruelles. IL savait que tant que cette sorcière vivrait, son calvaire ne cesserait. Ce plan minutieux réclamait deux longues années de préparation. Un tel plan réclamait bon nombre de qualités. Et pour preuve, le jeune homme avait un atout particulièrement utile en ces temps compliqués : il était parfaitement maître de lui dans les grandes occasions comme dans les petites. Son manque total de sensibilité, du moins à l’extériorisé, lui permettait de garder tête froide en des circonstances où d’autres hommes plus sensibles et sincères s’écrouleraient en un rien de temps. Ses yeux pâles brillaient de satisfaction : cette stratégie longuement élaborée lui convenait tout à fait. Prenant son mal en patience Raito supportait sans gémir des attouchements de la dégénérée.
Peine et délivrances.
A larges coups de faucille, Raito fauchait les mauvaises herbes qui poussaient en bordure du chemin menant à l'entrée de l'orphelinat. Observant attentivement son battons, solide, robuste, l'enfant ne rêvait que d'une seule chose, la liberté. À la fois si proche, et si éloigné de lui, seul un mur d’une dizaine de mètres les séparait tous deux. Les années passèrent et bien qu’étant désormais un fort jeune homme du haut de ses treize années, il n’eut en ces longs cycles d’attente, la moindre occasion. En ce sublime jour, le lieu d’adoption recevait sa visite mensuelle de la part de Ninja originaire de la Roche. Ces derniers effectuaient de la propagande pour le compte du régime Shinobi, tentant d’enrôler un maximum de ces enfants, car oui, après tout si ces derniers mourraient au champ de bataille, ni parents ni familles n’allaient pleurer leurs pertes. Amatsu de son nom ainsi que ses camarades de chambres, fut congédié en ce jour à la réunion. Assisté par l’effroyable directrice, les enfants subirent un « lavage de cerveau » de la pars des Shinobi envoyés par le Tsuchikage lui-même. Ces derniers parvinrent à convaincre une dizaine d’enfants de s’enrôler dans l’école préparatoire au Nindo. Notre protagoniste vit là un simple moyen afin de devenir plus fort pour acquérir cette liberté qui lui est si précieuse. Désormais, plutôt que de passer ses journées à nettoyer un jardin, notre ado » désirait fermement acquérir le savoir Shinobi, si utile à la pseudo société Ninja. Voguant durant ses journées, observant les beautés du monde extérieur, Raito appréciait particulièrement cette diversité des paysages et des rapports humains qui correspondait si bien à son image de liberté. Il prit tant de plaisir, de ressenti, à pénétrer les villages des hautes montagnes. Y avait-il quelque chose de plus redoutable que le gout de la liberté ? Que la monotonie d’une belle vie libre ? Casser le futile quotidien, rompre l’habitude des soirées passées avec la harpie. Connaître des gens et des milieux nouveaux lui parut rapidement nécessaire telle une drogue. D’autant plus que leur instructeur se trouvait être quelqu’un de particulièrement prévenant avec eux. C’en était presque troublant pour des enfants qui n’en étaient point habitués jusque lors. Ce Ninja répondant au nom de Sakuragi offrait même, lorsque l’occasion s’y prêtait, dans un des nombreux restaurants avoisinants les environs un temps de repos. Le plaisir de pouvoir goûter ne serait-ce qu’un simple jus de fruit, Raito éprouvait un sentiment de victoire, un sentiment d’accompli. Et malgré tout.... malgré tout.... eh bien chaque rêve doit un jour prendre fin. Lui qui commençait à imaginer ses soirées passées avec la directrice comme étant le lourd prix à payer pour obtenir cette liberté partielle en oublia jusqu’à sa pauvre sœur, toujours malade. Revenant d’une nuit où il fut une nouvelle fois abusé, le garçon se rappela, se souvint qu’une personne lui étant précieuse, elle souffrait en permanence, cloîtrée entre ses murs sous le joug d’incompétents médecins. Dégoutté par son égoïsme, le jeune homme en vomissait son repas goulûment avalé quelques heures plus tôt.
Le surlendemain même, alors qu’ils parcouraient les vastes champs de riz des montagnes, il demanda à son tuteur, le regard plein d’espoir.
— Sensei ? Dites, la liberté existe-t-elle en ce monde ? Même vous qui êtes Shinobi n’êtes pas véritablement libre ?
— Eh bien. SI je suis ici, c’est afin d’offrir un minimum de convivialité, et d’inculper quelques bonnes valeurs à des enfants tels que vous. En quelque sorte, même si c’est un peu prétentieux, j’essaye de vous voir comme mes propres enfants ! Répondit-il la voix pleine de fierté.
Ses mots résonnèrent en son cœur. La scène avait beau ressembler à celle d’un film old-school, elle n’en restait pas pour le moins émouvante, Oui ! elle l’était je peux vous l’assurer. Ce même jour, alors que le groupe rentrait de son entraînement au lancer de Shurikens, la dame lançait elle non pas un Shuriken mais son regard vicieux sur le groupe d’enfants. Elle y vit des yeux pétillants désireux de liberté, surtout ceux de Raito comprenant là bien rapidement qu’il faudrait détruire ce rêve afin de conserver au final, le gamin dont elle tomba amoureuse. C’est ainsi que le soir même, poussée par l’idée chimérique de conserver à jamais ce pauvre enfant qu’elle lui annonça froidement.
« Oy, Oy, Mon petit Raito, tu t’amuses beaucoup l’on dirait avec ces Shinobi, j’espère que tu n’envisages pas de m’abandonner sinon, Ryo-chan va se sentir bien seules sans toi » lui disait-elle tandis que son faciès arborait un sourire des plus sadiques, des plus sournois que l’on eut dit le diable en lui-même. À la simple vue de ce regard Raito compris rapidement qu’espérer être ne serait ce qu’un jour libre serait impossible tant qu’elle serait en vie. Ses poings se serrèrent et le sang commençait à bouillir en lui. De sa voix d’ado, le garnement clamait.
« Ose, ose, ne serait-ce que la toucher et ta vie s’en retrouvera menacée. » Lui hurlait-il dessus tandis qu’elle franchissait à grande enjambée le vestibule de la pièce.
Quelques jours passèrent et durant ce temps là, la santé de Ryosuko s’aggrava. Pourtant ! Pourtant ces foutu Docteurs avaient bel et bien annoncé que la demoiselle se trouvait sur la voie du rétablissement, qu’avec quelques mois de traitement sa maladie ne serait enfin plus qu’un mauvais souvenir. Se levant et poussant les volets qui maintenaient la pièce dans une pénombre pesante, Raito contemplait le faciès de celle pour qui il reste en ces lieux maudits ! Sa douce peau dénuée d’imperfection la rendait d’autant plus parfaite à la lumière du jour. Sa chevelure bleutée, semblable à la sienne n’en déméritait pas elle aussi. Ce fut à cet instant précis que Raito décida qu’il n’était désormais plus lieu d’attendre, plan prêt ou non, le jeune garçon allait passer à l’action, le temps lui était compté. Le petit chef de groupe informa ses « collabos » que le plan allait être mit en route, en effet vous l'aurez bien compris, notre petit garnement n’était point seul à rêver de liberté hors de ces infranchissables murs. Cette maison d’adoption qui eut si mauvaise réputation, qu’ils surent avant même de savoir parler qu’ils leurs seraient impossible d’être adoptés par de bons parents. Ainsi après le repas de midi, la troupe se réunissait en cachette dans la cour. En premier lieu il fallait neutraliser le gardien qui de par sa force physique, serait à même de maîtriser la rébellion. Afin de réaliser cette tâche ardue, Raito scinda les forces en deux ; ceux ayant plus de force physique se chargeraient de le neutraliser tandis que l’autre groupe se chargerait de la sorcière ainsi que de délivrer ceux étant à l’infirmerie, ceux étant incapable de bouger ne serait-ce que le petit pouce. Le plan annoncé, le garçon aux cheveux bleuâtre donnait le signe annonçant le début de l’opération. Sans arme, si ce n’est la force et le courage, ces petits garnements s’apprêtaient à livrer un long combat afin d’être enfin libres !
Qu’ils furent bien naïfs, trahis par le groupe chargé de neutraliser le gardien, le groupe restant ne put entreprendre la moindre action de révolte. En fin de compte il leurs serait bien impossible d’être libre attendre la majorité semblait être un véritable supplice. Rapidement dénoncé comme étant chef du complot, Raito fut mis à part, afin d’y subir un traitement particulier. À terre au pied de celle qu’il haïssait tant, elle parlait et lui l’écoutait. Du haut de son mètre soixante, elle rabâchait comme quoi tout ceci s’estomperait, si le jeune garçon lui jurait fidélité. Oui cela put vous paraitre risible, cependant, la dame fut ainsi. Malgré la situation dans laquelle le bellâtre se trouvait, il s’opposa farouchement à cette idée, préférant la mort plutôt qu’un tel sort. Ainsi, face à l’obstination du jeune homme la bête décida de le conserver en ces lieux sombres, à l’abri du regard et de la lumière, durant nombre jours et nombres nuits que même lui y perdit le compte. Durant ce laps de temps, le garçon dépité n’entreprit la moindre action depuis son cachot où il y fut nourri d’un vulgaire bol de riz par jour. Ce fut au moyen de bruitage par delà la porte de bois de sa chambre qu’il entendit que sa sœur fut adoptée par un homme à l’allure lugubre ; plus tard, notre protagoniste découvrira que cet homme répondait au vulgaire nom d’Ishihara. Seul, dans sa cellule notre adolescent sentit son monde s’écrouler ; frappant sa tête contre sol, un fin filet sanguin s’écoulait de sa tempe jusqu’au bas de son visage. Au même instant, il sembla entendre l’atroce voix de cette répugnante femme, oui, celle qui lui pourrissait tant l’existence. Petit à petit, quelques sons à peine audibles émanaient de sa bouche.
« Allez tous en enfer, Allez tous en enfer, Allez tous en enfer ! »
Les flammes jaillirent de sa cellule détruisant en une fraction de seconde la solide porte de bois le retenant. Réduisant en cendres une à une les portes, le garçon se rendit sans plus attendre dans la salle principale, épris d’une rage incontrôlable, ce dernier carbonisait chaque enfant passant sous son effroyable joug et à chaque vie de prise, Raito prononçait ces mots.
— Œil pour Œil, Dent pour dent.
Les flammes se déchaînèrent sur l’orphelinat, le réduisant en cendre lui ainsi que ses occupants sans exception. Disparaissant dans la pénombre notre pyromane en herbe épuisée par l’éveil d’un pouvoir qu’il ne maîtrise absolument pas, s’écroula. Alors que les larmes coulaient le long de son minois, le soleil se couchait, laissant Raito seul avec son chagrin.
Renaissance:
C’était en sa présence que son cœur battait, en leurs présence. Il humait de ses petites narines l'atmosphère, ça puait. L’odeur répugnante de la rue, de la sueur, l’odeur du sang, de la ville, celle de la terre sous ses ongles. Il frissonna à mainte reprise, ne comprenant point d’où pouvait donc lui venir un tel pouvoir. Je vous avouerai que s’il l’eut pu, il se serait débarrassé de cet étrange pouvoir ; mais en cet instant, le meurtrier en eut plus que besoin, afin de se dégager ne serait-ce qu’un minimum de chaleur. De véritables larmes, celle de l'âme s’écoulaient le long de son minois pâli par la nuit tandis qu’il se relevait et marchait d’un pas plus qu’incertain. Effrayé, tellement effrayé par lui même, ses poumons se vidèrent sous la pression. Les images lui revinrent sans répits en tête. La vision de ses doigts étouffants les personnes qui autrefois, furent ses camarades. Puis, le silence. Une sorte de demi-silence s’installa dans les sombres ruelles de ce village perdu. Les rares personnes qui eurent le malheur de voir notre bellâtre en tel accoutrement prirent jambes à leurs cous sans plus attendre, et ce dans un silence de cathédrale. Puis, presque à tout hasard ou plus tôt comme si le ciel lui accordait enfin une faveur. Raito croisa en sortie de bar son tuteur, Sakuragi. Ce dernier semblait être accompagné d’une femme à la chevelure bleutée vêtue d’une tunique de none. Durant quelques secondes, l’ado » se demanda ce que pouvait bien faire une telle femme en un tel lieu de débauche. Bref, cette femme du haut de son imposant mètre quatre-vingt ne répondait qu’au nom de Sœur Roberta. Pris de pitié, tout comme s’ils observaient un simple pigeon à qui l’on eut broyé les ailes. Le duo mit la main sur le petit enfant endormi. Dans le joli petit appartement, la lumière brillait à chaque fenêtre comme si les occupants furent comme bénis par les cieux. À ce « petit » détail, Raito sut qu’il fit jour, son regard se jeta dès lors immédiatement sur le calendrier qui se trouvait non loin de lui sur sa gauche. C’est les yeux écarquillés qu’il constata avoir dormi pendant six jours durant. Les deux sauveurs captivés quant à l’origine du bruit, vinrent à sa rencontre. De sa voix suave et douce, Roberta interrompit Raito alors même que ce dernier s’apprêtait à leurs poser une pléthore de questions.
— "Ne bouge pas trop. Tes blessures n’ont pas encore parfaitement cicatrisés." La sœur attrapa fermement la main de son interlocuteur afin d’en vérifier le pou et les tremblements. Sa main semblait couverte de brûlures qui avaient pourtant cicatrisé bien vite, et elle savait de quoi elle parlait, elle s’y connaissait un minimum en médecine ! Le Derme semblait avoir subi une grave brûlure, mais étrangement le corps lui l’avait relativement bien encaissé, comme si les flammes provenaient de son corps lui-même. Surpris par cette découverte, la none prit à part Sakuragi, lui chuchotant ce qu’elle pensait être. Enfin, une fois leur petite conversation conclue, ce fut cette fois l’homme qui vint converser avec notre jeune adolescent.
— "Raito, l’orphelinat l’où tu te trouvais à prit entièrement feu. Tu sembles être l’unique survivant, les corps semblent avoir été complètement détruits ou alors introuvables comme celui de Ryosuko, te souviendrais-tu de ce qui se serait passé ?" demanda d’une voix calme le trentenaire.
— Je n’en sais rien... Je n’en sais rien... Je n’en sais rien... Je n’en sais rien....Je n’en sais rien répétait mécaniquement l’enfant traumatisé.
Soudainement, alors que l’ambiance ne s’y prêtait pas, Roberta plaqua le crâne du petit garçon tout mignon, face contre table. De son sourire sournois, elle conclut la conversation.
— Écoute-moi bien petit merdeux ! Tu ne vas pas tergiverser sur cet instant, deviens un homme ! Tu t’en sortiras, tu t’en sortiras ; ce sont les autres qui n’y arriveraient pas. Si tu es le seul survivant c’est que le seigneur en a décidé ainsi, rend le lui la pareille en punissant ceux ayant mené à ce désastre, compris ?! Amen !
Surpris par l’attitude plus qu’agressive de cette pseudo-mère adoptive, Raito ne put qu’acquiescer d’un ironique « Amen ». Ainsi de notre jeune protagoniste se lança dans la voie du Ninja puis rapidement rentra à l’académie Ninja d’Iwa. Certes, il était néanmoins âge d'une bonne quinzaines d'année, certes le bellâtre avait un long retard sur les autres, mais cela fut sans compter ses longs entraînements quotidiens avec Sakuragi ainsi que les si terrifiants cours de pratiques orchestrés par Sœur Roberta ! Poussé par ce duo des enfers, Raito parvint en un rien de temps à récupérer le long retard qui l’opposait à ses camarades de classe ainsi que ses équipiers genins, allant même jusqu’à les devancer ! Dans les équipes de Chuunin d’Iwa beaucoup commencèrent à le surnommer l’archange ou Tenshi en japonais, de par la particularité de ses techniques. Le bellâtre attira rapidement l’œil des hauts gradés lorsque ces derniers apprirent que notre jeune garçon usait de techniques Yoton. Ces derniers virent cette capacité d'un bon œil, poussés même par les hauts gradés, Raito parvint à rapidement intégrer les forces spéciales où il prit grand plaisir à éradiquer les ennemis de son village. A là retraite, ses parents spirituels ou plutôt adoptifs tentèrent en vain de suivre le développement de leur rejeton. Trouvant foi en la religion, le vingtenaire parvint petit à petit à surmonter la disparition de celle dont il prit le plus grand soin durant sa si trouble enfance.
Quelque temps, il se décida à retourner sur ce lieu maudit. Abandonnée, la ville semblait être désormais plus que le l’ombre d’elle même. Ces ruelles qui furent si pleines si vastes furent aussi vide et silencieuse qu’un lendemain de guerre. Nostalgique devant la vue des commerces, dont les noms furent désormais couverts d’une épaisse verdure, Raito marchait d’un pas plus que soutenu. Au bout d’une longue demi-heure, le bellâtre parvint à trouver le lieu l’où se trouvait l’orphelinat. Les cendres qui autrefois jonchaient le sol tapissaient aujourd’hui les murs d’un noir ancre profond. Au centre de l’enclos, un arbuste semblait y avoir poussé. Ôtant le gant noir de sa main gauche, le dernier Amatsu posa cette dernière sur l’écorce. Lui qui dut faire face à tant de coup bas. D’un gardien plus vil que le serpent ainsi qu’a la perversité d’une directrice plus tordue que le diable lui-même, l’ébène ne revenait point. Que lui qui fut à mainte reprise proche du suicide l'ou encore même, de la mort Raito s’accrochait encore et toujours à la vie ainsi qu’à cette liberté si durement méritée. Se souvenant d’une conversation qu’il entreprit avec sa sœur, notre protagoniste se mit à glousser de rire, seul, tel un vulgaire enfant.
« Une sauterelle peut sauter, un oiseau voler, penses-tu que l’homme puisse vivre heureux ? Petit frère »
« Tss impossible ! Penses-tu véritablement, sœur, que nous pourrons sortir d’ici vivant ? »
« La sauterelle se bat elle-même contre son environnement pour sauter, l’oiseau de même, alors nous devons faire ainsi nous aussi. Peut être qu’il est certes trop tard pour des gens comme nous, mais si nous ne faisons rien nous n’aurons pas de seconde chance ! » Ses pupilles s’élevèrent dans le ciel, comme si les cieux approuvaient la personne qu’il fut enfin devenu, lui parcourrait chaque pore de son derme.
De par son désir virulent d’en vouloir toujours plus, le bellâtre désormais âgé de la vingtaine participait à nombre combat contre des « têtes du monde Shinobi » ou encore lors de quelques missions à haut risque avec quelques Shinobi de haute voltige telle que Reira Hyouri.
▷ que pense votre personnage de tout ce qu'il se passe actuellement ?
Bien qu'en retrait pour l'instant, Raito éprouve un profond dégoût pour les membres de la lunes rouges, qu'il considère comme étant blasphémateur. Et bien qu'il conserve en sois une flopée de mystère que vous découvrirez au fur et a mesure, il ne ressent pas le besoin d'intervenir durant l'attaque des Nukenin, les jugeant faible, il considère que les forces personnelles du Tsuchikage suffiront amplement à mettre fin à cette farce.
Dernière édition par Amatsu Raito le Lun 13 Jan - 14:36, édité 11 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Dim 15 Déc - 16:15
Bienvenue parmi nous =) Bonne chance pour ta fiche!
Amatsu Raito
Membre ✿ Juunin d'Iwa. (Rang S)
Messages : 34 Date d'inscription : 08/12/2013
Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Dim 15 Déc - 16:20
Merci beaucoup !
Kanae Tsuchi
Membre ✿ Nukenin. (Rang B)
Messages : 84 Date d'inscription : 29/07/2013 Age : 28
Carte Shinobi Ryos: 200 Age: Indiquer l'âge de votre personnages Expérience: (11/1500)
Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Dim 15 Déc - 19:22
Bienvenue et bon courage pour ta fifiche ^^
Gambara Junra
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Mar 24 Déc - 9:12
Yop ! Des nouvelles ?
Amatsu Raito
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Mar 24 Déc - 19:07
J’achève ma prez dès que je suis en vacances (début janvier), promis ! o/
Amatsu Raito
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Mer 8 Jan - 23:23
Brefouille, double post de vilain pour dire que j'ai terminé. Je ne parle pas beaucoup d'Iwa, le village en lui-même afin de me conserver beaucoup de matière à RP. Avec Shinsuke je pensais l'avoir fait mais non, rapidement je tournais en rond dans le contenu et j'aime pas trop ça x). Donc voila, voila.
Gambara Junra
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Ven 10 Jan - 6:28
Yop Raito, et re-bienvenue. Quelle longue fiche ! Les descriptions sont plutôt bonnes, assez courtes néanmoins pour le rang visé. Quant à l'histoire, je t'avouerais qu'au début, je me suis un peu perdu. J'avais du mal à comprendre. Ton personnage et son enfance sont assez intéressantes. Tu nous plonges dans l'"univers" de l'orphelinat, avec une "chef" détestée de tous. Je ne sais pas si tu t'es inspiré d'une des quêtes de Skyrim qui a le même principe, pour ça.
L'évolution du personnage est plutôt intéressante, même si c'est dommage que tu ne te sois pas davantage centré sur Iwa, sur ses périodes Genin, Chuunin, Juunin... Aussi, la découverte de son pouvoir l'est. Cependant, le soucis est que le Shakuton n'est réservé qu'aux Sunajins . A part ça, je n'ai repéré presque aucune faute d'orthographe. Le style d'écriture est très bon, et le vocabulaire plutôt riche.
Bref, pour moi ça sera ok pour le rang S, attends un second avis.
Amatsu Raito
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Ven 10 Jan - 11:36
Arf, un Modérateur m'avait pourtant affirmé le contraire, dans ce cas je vais éditer afin de pouvoir prendre le Yoton si cela reste possible.
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Dim 12 Jan - 17:57
Yop et re-bienvenue, Kisama
Alors, pour commencer, les descriptions. Comme d'hab', j'vais commencer par le négatif. Le physique, je pense que t'aurais pu l'développer un peu plus, surtout pour le rang convoîté. C'assez maigre quand même hein. Pis tes tournures de phrases souvent son spaces, y'a des trucs que j'ai pas compris, du genre "Le malheureux vêtu d’un pantalon grisâtre à l’allure minable flanquée d’ouvertures et déchirures en tout part." - j'm'attendais à un truc après ça. Mais nan, y'avait rien en rapport. Maintenant, la psyché. J'la trouve complète, y'a rien à rajouter. Ok, y'a ds p'tites lueurs ombragées mais je sais qu'on en saura plus IRP, donc spa plus mal. Mais y'a une tournure assez spéciale au début, qui fait limite schizo "lorsqu’il se trouvait seul à seul" ; on aurait plus tendance à dire "lorsqu'ilS se trouvaiENT seul à seul" ou encore "lorsqu’il se trouvait seul". Après, y'a tes "s" qui semblent assez joueurs, quis 'glissent un peu làoù on a pas besoin d'aux, mais spa trop grave.
Concernant l'histoire... Eh bien disons que je l'ai adorée ! Toutes les références à Rainbow, j'me suis régalé (non, Hanwi, spa parce que y'a une sal*pe de directrice d'orphelinat qu'on s'inspire de Skyrim xD). Après, l'ascension du perso est bien décrite, on reconnait tous ses points de caractère... Bref, c'bon quoi. mais y'a encore beaucoup, beaucoup de fautes... Et j'suis pas sûr qu'une relecture t'aide à les éliminer. C'pourquoi j'te donne rang A. Maintenant attends un troisième avis, même si p'tête qu'un test RP pour le rang S serait envisageable.
Naruto Uzumaki
Modératrice ✿ Jinchuuriki de Kyubi & Genin de Konoha. (Rang S)
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Sujet: Re: ▬Amatsu Raito, Iwa no Hi [ End]▬ Lun 13 Jan - 21:04
Bonsoir, je viens donner le second avis.
Pour ma part, ce sera le rang S. Malgré le fait qu'il y ait des descriptions assez courtes, elles sont tout de même bien expliquées, bien décrites. Aussi, l'histoire est plutôt intéressante et change des histoires classiques que l'on peut lire. Par contre, j'aimerais que tu fasses un peu plus attention aux fautes d'accords, de conjugaison etc... Qui ont failli me faire pencher pour le rang A. Néanmoins, ayant déjà eu l'occasion de tes rps de bonne qualité, je t'accorde le rang S. Bon RP !