Psychologie; On peut souligner son nom, Sunagakure. Le chef avait créé le village caché du Sable dans le pays du Vent. Grâce à sa puissance il avait réussi à rassembler des ninjas pour en faire une armée, depuis on les nomme les Sunajin, ou les ninjas du sable. Son prénom était synonyme de désastre, chaos, destruction, il pouvait faire peur rien qu'avec une dénomination. Õarashi Sunagakure ce qui voulait dire, l'Ouragan du village de Suna. Cet ouragan pouvait refléter sa puissance, son caractère, le calme avant la tempête c'était une phrase qui allait bien avec ce personnage très serein. Mais depuis son arrivée à Suna, et cette fameuse nouvelle où le Kazekage l'écrasait, en parlant de sa réputation, de son importance. Depuis il devenait prétentieux, vaniteux, une personne avec beaucoup de fierté. Il déclinait toute aide, en montrant son côté vantard aux yeux de tous, il snobait tout ce qui était en rapport avec la coopération, il voulait être seul en montrant ses capacités aux personnes présentes autour de lui, il attirait la haine ainsi sa réputation évoluait du côté négatif, les shinobi de son village perdaient beaucoup d'estime envers cet élu. Il devenait détestable de plus en plus, même les plus hauts gradés ne l'aimaient pas et ne venaient jamais en aide à Õarashi, ce qui dévoilait l'enfant odieux, il se foutait de la mort de n'importe qui, et principalement des personnes supérieures à lui. Après tout, il s'en foutait pas mal d'être en dessous de quelques dirigeants, pour lui ce n'était pas un problème, car il pouvait facilement ( j'appuie sur son avis ) les exterminer et bien sûr à lui seul, sans aide, avec personne, même si la personne la plus douée lui proposait de l'aide, il refuserait, ce qui est très rare. En fait, quand il était plus jeune, si l’on résume en quelques mots c'était un loup solitaire, mais un loup avec beaucoup de respect, même s'il ne le montrait pas vraiment. Néanmoins, certaines personnes l'avaient cerné sur ce fameux respect dissimulé, par exemple son père ainsi que sa mère, ils savaient que leur fils, qui est Õarashi, avait un caractère fort, mais une grande politesse en lui. Il n'allait pas rester à vie comme ça, plus il grandissait plus il devenait mature, c'était la théorie de ses parents, mais elle restait cachée elle n'était pas dévoilée et la lumière divine ne savait pas ça, du moins de l'avis de ses parents et du secret découvert. Mais en fait, le Kazekage avait cerné autre chose en lui, il détestait ce monde qui était plutôt injuste avec lui. Õarashi Sunagakure est un être très mystérieux, avec un calme et une sérénité impénétrable qui pourrait être terrifiante pour les autres. On peut même dire qu'il est très étrange. Il n'est pas très sociable, du moins c'est très rare de le voir taper la discute avec une personne. Et puis, il ne voit personne étant son ami. Il cache souvent un psychopathe au fond de lui, il entend des voix remplies de haine, vengeance sur les personnes qu'il n'aime pas, car ces derniers osent parler -négativement- de lui et surtout de le critiquer, mais une fois énervé, ils perdent tout. Il n'est pas très bavard, car il préfère agir, de plus il n'est pas du genre à être ouvert, en parlant de ses sentiments, émotions.

Il préfère garder tout pour lui, uniquement pour lui-même. Il est très égoïste, tellement que même son envie de vengeance égale à celle-ci. Par contre, il n'était pas si différent qu'avant, à l'époque il se ventait de ses résultats... Même s'il avait arrêté d'être vantard, il pouvait, parfois rejouer ce numéro et faire son narcissique. Depuis qu'il avait déserté son clan, cet homme est devenu plus serein, calme avec une allure ténébreuse au niveau du visage, dégageant une lumière autour de soi. C'était très étrange, mais intéressant, on pourrait croire que son passé était métissé entre le bien et le mal. Mais en fait, depuis la guerre il devenait plus que mystérieux, d'où son surnom "Otoko Shinpiteki", l'Homme mystérieux. Après avoir participé au conflit des cinq grands villages ninjas, il avait constaté les dégâts d'une guerre, surtout des hommes. C'est comme ça qu'il devenait misanthrope, il les détestait tous, mais en le cachant seulement pour son objectif. Maintenant, il parvient à rester calme dans toutes les circonstances, même lorsqu'une situation est critique, et il garde un humour assez singulier, bizarre, remarquable, étonnant enfin bref qui sort de l'ordinaire. Peu sérieux, il montre une attitude assez dégagée, détachée, légère, en gros désinvolte c'était les mots à dire,  bien que ce ne soit en fait qu'une façade, un masque cachant un autre personnage, le vrai personnage. Concernant son intelligence, rien n’a changé, il est doté d'une intelligence incroyable, il est extrêmement perspicace, spirituel. Il sait souvent mieux faire qu'un autre homme, ce qui peut attirer la jalousie. Il n'est pas seulement cultivé non, l'intelligence, le savoir pouvaient jouer avec la fourberie, la manipulation, tout ce qui était en rapport avec ça. Car oui, notre ami est manipulateur, souvent pour cacher son jeu et le fait d'être misanthrope.

Parfois, il veut tuer une personne, mais il peut seulement quand la personne est seule. Mais après tellement d'évènements, les grands villages n'acceptent plus qu'une personne soit solitaire à moins qu'elle soit mercenaire comme Õarashi. Enfin, après tant que la personne est assez puissante et que la mission est basse. Il reste très croyant sur les divers récits de ce monde, tel que le défunt Rikudô. Un sage qui avait créé le Ninjutsu. Il ne sait pas comment est mort cette légende, ce qui l'intéressait énormément, il s'intéresse beaucoup à cet homme, mais il ne sait presque rien de lui puisqu'il ne sait pas ce qu'il a encore fait, mais seulement cette réputation qui résonne encore en ce moment. Malgré son intelligence, il ne peut tout connaître sur lui.[ 1037 mots &  63 lignes. ]

Physique; Avant toute chose, il est bon de noter que la carrure de notre homme est spécieuse ; si au premier elle paraît peu imposante, sa stature n'en cache pas une musculature saillante qui lui prodigue une puissance prééminente lors des combats au corps-à-corps.

Le blondinet possède une touffe indocile, elle ne tient jamais en place puisqu'il porte souvent un bob qui le décoiffe. Ce bob lui sert souvent à dissimuler cette chevelure ébouriffée. Son chapeau est porté verticalement, avec des rayures vertes et blanches qui ressortent avec ses vêtements. Un regarde vide, inerte, impassible qui ne contient rien du tout. On ne pouvait rien cerner lorsqu'on le voyait, d'où son surnom l'Homme mystérieux, ses pupilles vertes reflètent la paix, et aussi un "symbole" pour montrer qu'il venait du pays de l'Herbe. Il possède un nez fin, aquilin, mais avec un flair, un odorat assez développé malgré la physique du nez qui était plutôt maigre, il pourrait facilement sentir une odeur que ce soit de la nourriture ou autre. Plissées et allongées, ses globes oculaires sont encadrés par des cils noirs et des sourcils jaunes, sombres comme son allure ténébreuse ses cils plutôt courts. Ses yeux sont souvent cachés par le chapeau ou les mèches qui tombent au niveau des sourcils. Teint clair, il pourrait facilement ressentir le soleil lui frapper la peau et recevoir une douleur, un coup de soleil. On pourrait le voir facilement et pourtant il n'hésite pas à se mettre torse nu quand il fait chaud et qu'il est au bord d'une oasis, d'un lac ou autre, ce qui est très rare. Il a une barbe, mal rasé, il n'est pas du genre à se faire beau le matin, c'est une perte de temps selon lui.

Grand et fort, la taille du jeune homme est au-dessus de la moyenne il mesure d'un mètre quatre-vingt-trois pour soixante-neuf kilogrammes ou plus. Des lignes tracées sur ses biceps et triceps ainsi que ses jambes, abdominaux et pectoraux. On pourrait aussi dire que la pilosité du jeune homme est inexistante.
Les traits de son visage sont fins et bien dessinés et pourtant il atteint la quarantaine. Il porte des geta, c'est très difficile de combattre avec normalement, mais notre blond y arrive parfaitement, sans difficulté, avec facilité. Il détient d'un équilibre divin, nul ne peut lui enlever cet équilibre, on pourrait croire qu'il médite, c'était le cas avant, quand il était adolescent, mais à l'âge adulte il n'est plus intéressé. Hors combat, il s'habille avec des bouts de tissus qui forment une tunique/cape, de couleur noirs et verts, il ferme rarement cette cape/tunique pour voir légèrement son torse plutôt développé. Pour les combats, il a un kimono de couleur blanche, avec des manches courtes noires, avec une ceinture noire pour fermer le kimono. Derrière, il avait gravé son grade : mercenaire. Oui il est actuellement mercenaire pour Suna, même si certains disent qu'il est Sunajin. Il détient également une canne dont le bout est arrondi, dissimulant une lame fine, aiguisée, acérée. Sous l'autorisation des hauts gradés de Suna, Oarashi ne porte plus le bandeau, puisqu'il avait déjà une réputation assez élevée, donc quasiment le monde entier connait son identité, malgré qu'il cache ses idéaux et reste dans l'ombre pour le moment, attendant un ordre de Gaara. Il se tient un peu à l'écart du monde, pour avoir assez d'informations sur cette nouvelle organisation : la lune rouge, l'Akatsuki.

CHAPTER I. « L'aboutissement... Une naissance. »

« Les lions ont appris la rage à travers le regard des hommes.. »

 
Õarashi naquit dans les terres du pays de l'Herbe, plus précisément dans un coin reculé dont peu de personnes en connaissaient l'existence. Âgée de quelques mois, notre future légende ignorait que ce monde cachait des choses étranges, surprenantes, anormales telles que les capacités spéciales, les pouvoirs de certaines créatures, une nouvelle espèce était apparue, les shinobi. De puissants individus maîtrisant des aptitudes, capacités, on pourrait appeler ça le talent. Il ne pensait qu'à jouer avec des automates, jouets, même si l’on ne pouvait pas nommer ça un jeu, mais plutôt un bazar formé, élaboré par un môme dont le savoir était succinct, bref, restreints. Il ne connaissait rien, il ne savait même pas ce que faisaient ses parents, où il demeurait. C'était malheureusement quelque chose d'embêtant, mais si Dieu le voulait personne ne pouvait le contredire puisqu'il était au-dessus de tous, c'était lui qui avait créé les humains, les animaux, enfin tous les êtres. Des espèces connues dans une seule vie, dans un seul monde, une seule planète : la Terre. Elle était fascinante, extraordinaire malgré les inconvénients, les défauts de ce globe énorme pour la vue de l'Homme. Il devait se cultiver dès son plus jeune âge, dès qu'il avait acquis la langue, le langage pour communiquer et surtout comprendre les dires de ses futurs enseignants, de ses parents ainsi que ses amis. Il devait connaître toutes les choses importantes, tout ce qui était en rapport avec le ninja, la maîtrise des techniques shinobis, enfin bref comme dirait quelqu'un « le savoir est une arme », mais dont on ne se sert pas assez. Õarashi allait devenir l'idée, la culture, la sagesse, il allait tout regrouper dans sa mémoire pour connaître chaque jutsu, légendes, faiblesses pour vaincre n'importe qui.

Entouré de ses jouets, de son amusette en gros. Il ne savait même pas que ce monde était un univers cruel, rempli de criminels, de violences. Des personnes qui étaient irascibles, ils pouvaient se mettre en colère si facilement qu'on pouvait en être choqué tellement que c'était brusque la façon dont ils agissaient. Tuer des personnes inoffensives, sans une raison ou seulement pour un regard. L'humanité était dangereuse malheureusement. Il ne savait rien de tout ça pendant qu'il jouait avec de vulgaires objets. Mais dès l'âge de six ans il devait s'entraîner, apprendre, tous les jours sans cesse pour devenir un vrai ninja et être plus puissant que le Shodaime Kazekage. On se demanderait pourquoi lui et pas un autre, car ÕARASHI SUNAGAKURE était l'arrière-petit-fils du premier dirigeant du village caché du vent. Ce n'était pas rien, c'était un grand homme, quelqu'un de dominant, vigoureux enfin bref il était puissant si l’on devait mesurer sa force c'était la seule chose à dire, le seul mot à prononcer. Õarashi a été envoyé dans le pays de l'Herbe seulement pour une raison de sécurité, pour ne pas être poursuivi par des bandits pour être kidnappé ou tué, ça dépendait des personnes, de la bande qui voulait s'en prendre au petit. Il vivait avec sa mère dans une paix profonde, en plein armistice, une bonne entente, une tranquillité limitée. Contrairement au père qui n'était pas souvent présent, la mère devait s'en occuper du petit, mais elle n'était pas apte à maîtriser l'art du ninja, elle devait seulement faire la garde et s'occuper de lui pendant sa naissance, son évolution vers les six ans pour ensuite l'amener à SunaGakure no Satô pour entamer ses années dans l'académie ninja.

Le futur misanthrope allait devenir une légende à Suna, une personne puissante qui pourrait soulever son village au sommet, car oui, son futur village était le plus faible des quatre avec Kiri. Ils n'étaient pas bien classés économiquement, c'était un village foireux, merdique, mais qui cachait souvent des choses mystérieuses comme le futur Sunajin, qui était l'homme mystérieux en personne, et plus tard il devrait être surnommé "Otoko Shinpiteki". Plus il grandissait, plus il était acclamé par les villageois, le Kazekage avait promis à ses hommes qu'ils allaient avoir un monstre qui allait défendre, aider, remonter ce village qui était tout en bas du classement. Certaines personnes n'y croyaient pas et s'en foutaient complètement de l'avenir du village, principalement les marchands, qui pouvaient vagabonder comme bon leur semble, mais ils ne s'attendaient pas à un danger hors du village. La guerre n'était pas vraiment terminée, c'était plutôt la fin, voilà pourquoi notre misanthrope était dans un petit village pour ne pas se faire tuer bêtement par un ninja du village ennemi ou par un bandit qui voulait entrer dans cette guerre stupide, il serait en danger. Et c'était l'une des raisons que certains individus ne croyaient pas en l'avenir du village, ils voulaient d'un héros maintenant et pas dans dix-neuf ans plus tard, après la guerre, car n'importe qui était en danger même les innocents, comme les femmes enceintes, les mômes qui venaient d'être shinobi, ou qui ne l'étaient pas encore. Même les vieillards étaient en péril, par cause de maladie donc ils ne pouvaient pas s'enfuir, et ils étaient obligés de rester cloués sur leurs lits. Ils étaient souvent paralysés au niveau des membres ( bras, jambes ) donc difficile pour eux de se déplacer avec un tel handicap, c'était malheureux. Et il n'y avait pas encore un remède à tout ça, ce qui était incroyable, car ils y avaient des ninjas expérimentés pour le jutsu médical. Mais malheureusement, il n'y avait aucun vaccin pour aider les handicapés comme eux, qui étaient atteints d'une maladie grave, ou ceux qui étaient grièvement blessés. Ils attendaient tous un homme puissant pour solidifier ce village, qui était vraiment en bas de l’échelle, mais pour l'instant ils devaient rester patients pour avoir ce qu'ils désiraient.

Quelques mois plus tard et la guerre s'était arrêtée finalement, une guerre totale. Elle avait marqué des centaines de personnes. Les pertes des membres chers de la famille, les personnes traumatisées, heurtées, effrayées à cause de la boucherie, guerre, de cette belligérance. Mais il y avait aussi d'autres personnes qui n'étaient pas atteintes par cette guerre, des hommes sans cœur, sans âme, si l’on pouvait les définir en un mot ça serait : barbare. Ils étaient méchants, vipérins. Enfin bref, il y avait tellement de mots pour décrire des gars pareils. Voilà une raison du pourquoi l'arrière-petit-fils était misanthrope, qu'il détestait les hommes. Les chants des morts, les cris, les joies inhumaines, des personnes faisant leurs deuils pendant des années. Et pendant ses années, notre ami grandissait dans l'ignorance totale de toute cette histoire. Âgé de ses six ans, il finissait ne pas être apte pour maîtriser la langue, communiquer avec les personnes, faire des gestes, et cetera. Il était préparé pour aller à son nouveau village, ainsi qu'aller à l'académie pour se cultiver, pour y étudier bien sûr, car c'était la chose principale à faire. Il ne s'attendait pas à tout ça, puisque dans le pays de l'Herbe c'était plutôt un endroit paisible, les hommes pouvaient choisir leur chemin, ils étaient tranquilles tandis que dans les autres villages, souvent dans les grands, quasiment tous les villageois étaient ninjas pour défendre le village en cas de danger, de risque de guerre ou d'un assaut contre un village ennemi. Il y avait aussi des alliances qui n'étaient pas définitives, mais seulement pour une mission plutôt difficile à engager, terminer, établir. Car dans une mission il y avait plusieurs objectifs, déjà choisir la tache, la mission, le but en gros. Puis il y avait une personne en charge d'élire une équipe assez expérimentée, mais c'était souvent un Junin qui s'en chargeait, de plus il avait déjà une équipe fixe, c'est-à-dire qu'il avait une équipe officielle dont il devait tout apprendre et faire le plus de missions avec. Ce chef d'équipe prenait souvent les membres de son arsenal, mais parfois il devait en prendre d'une autre fabrique même si ce n'était toujours pas le cas, et heureusement, car déjà trois personnes à surveiller, gérer c'était difficile. Puis une fois préparé, l'escouade devait se réunir aux portes du village pour se regrouper afin de créer une stratégie, un plan quelque chose du genre pour ne pas se perdre, généralement ils devaient se suivre en queue, et c'était souvent utilisé pour ne pas se faire submerger par des ennemis. Puis une fois parti, la mission pouvait commencer, aucune erreur sinon ça ne pouvait détruire l'objectif, ainsi que mettre en danger la vie de certains, de tes coéquipiers. Et le misanthrope pourrait s'en foutre complètement puisqu'il n'est pas vraiment Sunajin, mais surtout mercenaire du village Suna. Il n'était pas trop sociable, mais il devait le cacher afin d'accomplir ses buts, mais passons, tout ça va être raconté plus tard.

Il devait se préparer à un changement, du pays de l'Herbe à celui du Vent. Il était en pleine escorte, c'était un voyage plus long qu'on ne pouvait le penser. Pour lui, c'était un bouleversement, il ne connaissait pas son père et il allait le connaître alors qu'il ne l'avait jamais vu, et son paternel n'était jamais là pour s'en occuper, contrairement à sa mère qui s'occupait de lui depuis ses six ans. Dorénavant, elle n'avait plus les droits sur lui, c'était cruel, mais si c'était le choix d'un dirigeant elle ne pouvait pas contredire un homme haut-gradé malheureusement. La discussion était close depuis qu'il était né, elle ne pouvait pas aller en arrière en voulant de son fils, qu'il retourne au pays de l'Herbe, car c'était plus paisible, mieux que dans un grand village, et il pouvait être en danger dans ses temps de guerres. Il y avait de grosses tensions entre les cinq grands villages ninjas. Même si ça s’était calmé, il y en avait toujours, la guerre était peut-être terminée, mais ça pouvait encore éclater une nouvelle fois, et si ça devait recommencer ça pourrait être la dernière guerre pour certains, le dernier conflit entre les villages. Après, tout était possible et rien n'était impossible. Puis Dieu était ( est ) toujours la personne qui avait le plus de pouvoir dans cet univers. Nous étions les créatures de Dieu, personne d'autre n’était supérieur à lui ou à nous, nous étions tous égaux. Plusieurs personnes se prenaient pour des Dieux, mais ils finissaient morts, gravés sur une pierre tombale, enterrés dans une tombe. La mort ne prévenait pas, elle venait en mode squatteuse pour te prendre la vie comme ça, sous les ordres du Créateur, c'était pourquoi certaines personnes avaient peur que ce jeu arrive : perdre la vie. Et puis dans un monde quasiment remplit de ninjas, il fallait s'attendre à mourir, ceux qui mourraient rapidement la raison était qu'ils étaient faibles. Il y avait aussi les samuraï dans le Pays du Fer. Ils étaient bons, ils utilisaient le kenjutsu, l'art de manier le sabre, ils n’étaient dans aucun conflit même s'ils pouvaient s'allier avec un grand village, ils ne l'avaient pas faits.  Ils étaient humbles, respectueux, c'était les seuls qu'on pouvait respecter vraiment, même si tu étais insociable, tu avais un minimum de respect envers eux. N'importe qui pouvait se confier à eux, car ils n'étaient pas mêlés dans des histoires idiotes telles que la guerre. Mais bien sûr, si une personne voulait détruire ce monde, pour en refaire un autre ( ce qui serait utopique ), et la personne en question seraient assez puissants pour faire ça avec l'aide de ses confrères, ils étaient bien obligés d'intervenir, car ils étaient, cette fois, mêlés dans une histoire.

Enfin bref, le monde entier était concerné, mais il n'y avait que les grands villages et les samuraïs qui pourraient intervenir, se défendre, car les petits étaient trop faibles pour sauver le monde. Ils risqueraient leur vie bêtement. Ils n'étaient pas vraiment aptes à être dans une guerre, ils avaient déjà du mal à défendre leur village face aux bandits donc dans une grande guerre ninja il fallait imaginer le résultat, l'angoisse, la peur, une boule dans le ventre qui regroupait tout ça. Après, on pouvait comprendre le poids du risque que pouvait donner, offrir une guerre, car il y avait des milliers de ninjas compétents et d'autres non, les faibles étaient engagés seulement pour avoir un effectif meilleur qu'un autre village. Bref, la guerre était terminée et c'était mieux de rester calme, de rester serein en gardant cette paix même si ça n'allait pas durer. Notre homme était donc accompagné jusqu'à Suna, le voyage était long, enfin il n'avait pas commencé. Ils étaient encore au pays de l'Herbe. Les gardes attendaient patiemment le nouveau, l'élu de Suna. Ils étaient impatients de voir le petit bonhomme et son allure de star. Tandis que la mère n'était pas d'accord, elle voulait rester avec, mais ça pourrait déstabiliser les études d'Oarashi, donc la décision du lien entre la mère et fils c'était à distance, en s'envoyant une lettre chaque mois. Pour ne pas démoraliser l'enfant. Et puis, celle qui souffrait le plus c'était vraiment la mère, elle allait être séparée de lui pour toujours, aucun contact visuel ou physique, c'était dur de gober ça, ce n’était une mauvaise nouvelle, mais c'était obligé. C'était un grand risque à prendre, de se faire escorter avec si peu de personnes, et le petit ne connaissait pas encore les maîtrises d'un ninja, même s'il avait un talent en lui, il aimait combattre, car c'était la seule chose à faire pour défendre les personnes chères d'après lui, la violence pouvait tout résoudre, ça pouvait calmer les personnes vantardes, ou les individus faisant du mal, parfois sans raison. Il trouvait ça débile, méchant et il détestait les personnes de ce genre, il ne supportait pas quelqu'un comme ça. Alors il voulait les punir, et c'était pourquoi il avait aussi décidé d'accepter la demande du Kazekage.  Il allait rencontrer ce dernier, avec un bel accueil, c'était comme-ci le petit était le successeur du roi, du dirigeant, voir du Kazekage. C'était un homme assez important pour certains. Même s'il ne voulait pas être successeur ou quoi que se soit il fallait bien le traiter ou une punition allait s'abattre sur la personne qui voulait du mal à  l'arrière-petit-fils du Shodaime Kazekage, le premier dirigeant du village caché du Vent.

L'heure était venue de plier les bagages, pour ensuite faire une longue route plutôt pénible, lourde, mais d'un côté intéressante, car elle allait mener le môme vers le succès, la gloire et le travail, qui pourrait le cultiver à fond. Les villageois du pays de l'Herbe étaient tristes de voir un si gentil garçon quitter une petite campagne pour aller dans un territoire plus grand, ils pensaient qu'il n'allait pas s'habituer là-bas, car c'était une dure vie, quelque chose d'assez violent surtout pour des enfants. Pour eux, il fallait laisser les enfants dans un petit village le temps de grandir jusqu'à l'état majeur pour ensuite se faire entraîner, mais ce monde ne marchait pas comme ça, car il y avait l'académie des ninjas, c'était une école pour devenir un vrai ninja, pour porter son bandeau, où le symbole de ton village était gravé  dessus pour reconnaître tes alliés, tes ennemis, ou les personnes neutres. Il fallait toujours le garder sur soi, car c'était une fierté à porter, une chose importante, si tu l'enlevais en le raillant c'était une désertion, tu étais considéré étant un traître, un scélérat et tu étais recherché par tout le village, enfin l'élite qui devait s'en charger. Ils étaient hauts gradés et puissants, c'était une décision importante à prendre, et il fallait être assez puissant pour choisir ce chemin sinon c'était débile de l'emprunter comme ça, à l'aveugle car tu avais plus de chance de mourir. La vie était difficile, dure et il fallait l'accepter, sinon tu pouvais aller droit au mur, te suicider si tu ne voulais pas d'une vie comme ça, mais bon, c'était à toi de gérer ta vie, de te faire aimer, d'être assez bon dans chaque domaine, mais si tu t'en foutais tu étais vraiment foutu et on pouvait dire que ta vie c'était de la merde. C'était à toi de voir comment tu devais guider ton destin, ta vie. Tu devais créer ton évolution, ta destinée, tu avais tant de choses offertes, c'était à toi de les prendre " ses cadeaux ". Dieu pouvait les offrir, quand il voulait, tant que tu étais sympathique avec certains et surtout avec lui, sans insulter son titre de créateur ou autre, il pouvait t'offrir tellement de choses, mais il y avait des idiots qui ne voulaient pas les prendre, ils déclinaient toutes les propositions. Le misanthrope n'avait pas décliné le choix d'aller à Suna pour devenir un vrai ninja, ce qui était son rêve quand il était petit, mais plus tu avances, plus tu changes physiquement et mentalement, donc tu changes des idéaux, tes desseins et au fur et à mesure tu te rends compte que c'était possible, alors tu continues sur cet objectif, sans lâcher et à la fin du réussi sans t'en rendre compte, car c'est en pleine agonie que tu pouvais t'en rendre compte.


CHAPTER II. «  Like a blinking cursor on an empty page, it was just the first thing. The beginning of the beginning. But at least it was done. »




Arrivé à Suna, son nouveau village, où il allait apprendre des tonnes de choses en rapport avec les Shinobi. Il allait connaître tous les arts, tel que le Ninjutsu, Kenjutsu, Fûinjutsu. Bref, des dizaines d'arts existaient dans ce monde. Couvert par son bob, il n'était pas reconnu par les villageois, ces derniers pensaient que c'était un môme qui avait fait une connerie au sein du village donc ils ne faisaient pas attention à lui, ils continuaient leurs travaux, comme vendre, acheter, construire un nouveau bâtiment, après la guerre, la communauté était vivante, moins qu'avant, mais elle l'était. Il était bouleversé, il y avait tellement de monde qu'il pouvait se perdre immédiatement s'il quittait les gardes. La direction c'était la tour du dirigeant, le Kazekage. Il avait un rendez-vous important avec ce dernier, c'était concernant son avenir à Õarashi. Une discussion plutôt importante, elle était sérieuse et il ne fallait pas la prendre à la rigolade. C'était drôle quand même, de penser que cette conversation allait être sérieuse, entre un enfant de six ans et un autre plus âgé, plus important et haut gradé.

Une fois cette discussion close, les gardes devaient lui faire une brève visite du village. Il était étonné de voir de si grands bâtiments, des tonnes de villageois, c'était nouveau pour lui. Il avait laissé tellement de choses derrière lui, tel que sa mère, ses amis, ses souvenirs, l'amitié, mais pas l'amour. Oui, il était bien aimé pour un petit garçon. Il était respectueux au pays de l'Herbe, c'était une personne connue malgré son âge. En fait, le village connaissait son identité, sa réputation et les plus vieux savaient pourquoi il devait quitter cette campagne quasi déserte. Il ne s'attendait pas à être aussi important, surtout pour une petite personne comme lui, alors que les autres gamins n'étaient pas aussi importants que lui. Certains étaient vraiment jaloux, lui bien sûr il ne comprenait pas leur réaction et il ne voulait être détesté, il voulait avoir des amis, de vrais amis à  qui il pouvait faire confiance à ces derniers. Mais ce monde était bien trop cruel pour que le bonheur soit vrai, la plupart en grandissant ils pouvaient vite lâcher Õarashi en pleine mission, ou autres s'ils étaient ninjas. Le poids de cette nouvelle vie était assez lourd  à porter pour lui, il avait laissé tellement de choses derrière lui qu'il pourrait être bouleversé pendant des années. Mais c'était son but d'être un ninja, il voulait l'être, être le ninja le plus doué de ce monde. Il aimerait atteindre le sommet, il l'avait promis à sa mère, qui cette dernière était en état de choc quand elle avait vu son fils partir si loin, sans elle, par question de sécurité. En fait, il s'attendait à quelque chose du genre. S'il devait faire le choix d'aller à Suna pour y accomplir son but et qui va certainement être accompli, et bah il devait bel et bien tout laisser derrière soi. Son meilleur souvenir c'était une fête entre ses amis, la fête c'était pour les six ans de l'élu évidemment. Tout le village avait mis du sien, ils avaient tout préparé même si c'était pour un vulgaire enfant sans importance pour certaines personnes, mais les petits villages étaient les plus soudés même en terme de fêtes ils voulaient tout annuler pour fêter ça avec joie, avec une ambiance de folie ! C'était impressionnant, même les plus vieux, les personnes âgées restaient tard pour un anniversaire qui allait certainement se fêter tous les ans, chaque année. Un souvenir qui pouvait marquer à jamais le môme, car à Suna il ne pouvait pas y avoir ce genre d'ambiance, car les grands villages étaient trop importants pour fêter un banal anniversaire même si la personne était si importante, c'était malheureux. Mais tant que la personne avait une famille, cette festivité pouvait avoir lieu, mais   Õarashi n'avait pas de famille, il avait laissé la seule personne qu'il aimait tellement derrière lui pour un objectif, un nindô, un but que certaines personnes rejetaient tellement que c'était dangereux de devenir un ninja, mais Õarashi savait, comprenait et pouvait supporter ce poids. Il pouvait assumer d'être un shinobi, il voulait tout faire pour l'être, mais ce qu'il ne savait pas c'est qu'il ne pouvait pas protéger sa mère, car c'était interdit, il avait signé un contrat en acceptant cette demande, d'après le Kazekage. Mais bon, il devait accomplir son but, car dans tous les cas il pouvait ni se protéger ni protéger sa mère, puisqu'il était faible sans le savoir d'un ninja, sans les compétences. Il était content, mais triste en même temps, car il était près du but, mais loin de sa famille, qui était son village natal, il l'avait laissé seulement pour un but, pour un rêve. Alors qu'il pouvait avoir d'autres rêves, il en avait choisi un qui allait détruire certaines personnes mentalement, surtout sa mère celle qui était la plus touchée, elle ne savait plus quoi faire, car c'était une partie d'elle qui s'était vidée, elle était démoralisée à fond, et elle n'allait jamais le voir, car c'était le destin, l'ordre d'un dirigeant et elle ne pouvait pas s'y opposer, car il était bien trop puissant dans tous les sens du terme.  Il le savait et ça le mettait mal, extrêmement mal. Quand il l'avait vue la dernière fois, il ne pouvait pas s'empêcher de faire couler ses larmes, c'était impossible face à l'amour d'une mère, car c'était la merveille en personne une mère, il savait d'où venait le mot : merveille, car c'était sur nous que nos mères veillent.


Après cette visite, il devait s'inscrire à l'académie ninja. Là où il devait se cultiver, apprendre, c'était la seule école à Suna et elle était plutôt grande, car il y avait presque tous les petits qui y étaient. Une fois inscrit, il devait connaître ses horaires, il commençait donc à huit heures pour finir à midi trente. Il avait connu diverses choses, mais pas cette légende, Rikudô Sennin, le défunt, le père des Shinobi. Après l'académie, il y avait les examens, pour passer Genin avant. Avec son intelligence, il avait réussi ce devoir si facilement. Ils étaient stupéfiés, les examinateurs, les professeurs. Ils ne s'attendaient pas à une intelligence, à un QI si élevé.  Il portait le bandeau avec le symbole de Suna. Son équipe avait effectué plus d'une vingtaine de missions de rang D. Une complicité était née entre eux, on passait beaucoup de temps ensemble en dehors des missions, on allait manger ensemble, regarder des films ... Mais quelques fois, il restait quand même à l'écart de ses coéquipiers pour essayer de finir d'apprendre ses techniques. Depuis le temps, il en avait appris quelques-unes; il pouvait en maîtriser des plus difficiles que les précédentes. Même si leurs missions étaient futiles, et lui faisaient gagner en expérience ainsi qu'en endurance. Après toutes ses missions, leur équipe était désormais apte à participer à l'examen des Chuunins dans Konoha no Kuni. Donc leur Sensei les  avait inscrits. Les jours passaient, une grande excitation résidait en Oarashi, du fait de mener enfin des combats, des épreuves de survies, ça lui plaisait tout ça. Après un long voyage, les voilà, ainsi que plusieurs équipes de Kiri & Suna étaient arrivées devant les portes de Konoha. Après avoir posé les bagages dans leur résidence louée pour l'occasion, ils étaient partis tous les trois visiter le village, les rumeurs disaient qu'un restaurant du centre-ville fait de très bon Ramen. Ils voulaient en avoir le cœur net, enfin l'estomac. Les rumeurs disaient vrai, ils avaient goûté les Ramen, il était effectivement excellent. Le lendemain matin, l'examen des Chuunin avait commencé enfin, plusieurs équipes constituées de trois Gennin s'étaient retrouvées dans une grande salle de classe en attendant impatiemment que l'examen commence. Quelques minutes plus tard, l'examinateur était là se dressant devant eux en inclinant son identité, celui-ci s'appelait " Ibiki Morino ". Le premier examen était simple, il fallait répondre à des questions tout en étant surveillé par les examinateurs, le but était de tricher, mais quel dommage pour eux, Oarashi connaissait les réponses, eh oui il apprenait ses leçons, chaque jour, chaque nuit, les leçons qu'ils enseignaient à l'école. Les questions étaient toutes basées sur la stratégie, il avait lu un livre sur ce sujet justement. C'était encore une fois trop simple à son gout. Les bras croisés, il attendait impatiemment, avec son bob sur la tête évidemment, que les minutes passaient pour que la première partie de l'examen se termine pour enfin commencer la deuxième épreuve, celle de survie !

Cette deuxième partie consistait à rester en vie, tout en gardant un parchemin. Mais il fallait prendre le rouleau que l'équipe n'avait pas. Vu que Oarashi était le plus puissant, le plus cultivé des trois, il avait le parchemin sur lui, ce dernier était en sécurité et ses équipiers avaient confiance en lui, car il était le plus puissant pour eux. Les portes de clôture étaient ouvertes, dévoilant l'intérieur de la forêt de la mort. Toutes les équipes étaient obligées de se séparer dans les coins de la forêt pour établir, construire un plan, une stratégie. Tandis que son équipe était en train de contempler les alentours, les autres équipes s'entre-tuaient. Une fois en tête à tête avec une autre équipe, les ennemis étaient sadiques et voulaient s'en prendre à la fille du groupe en premier pour faire le premier sang au sein de l'escouade de notre ami, mais ce dernier n'allait pas les laisser faire. Il avait dégainé son sabre, celui offert par son grand-père, une canne dissimulant une lame. Seulement en quelques coups pour mettre au sol les ennemis, c'était époustouflant. Il saisissait le rouleau pour se qualifier, mais il fallait aller dans un bâtiment, et au nombre de pièges qu'il y avait. Mais tous déjoués par l'équipe stratège de Oarashi, c'était long, mais finalement terminé. Ils étaient qualifiés et aptes pour devenir Chûnin.  Ils étaient tous les trois Chûnin et ils commençaient à refaire des missions, se balader dans Suna comme des vagabonds, et cetera jusqu'à être Jûnin. Et ils avaient réussi à l'être à 19 ans.


Une fois promues, les tensions dans ce monde recommençaient. C'était mauvais signe, un nouveau signal pour dire que la guerre allait reprendre, recommencer? C'était pitoyable, certaines personnes ne comprenaient pas cette belligérance. Oarashi n'avait pas le choix que de participer s'il y en avait une, pour mettre un terme à tout ça. Bien sûr, les villageois comptaient tous sur lui pour mener Suna au sommet. Mais malheureusement, à lui seul il ne pouvait rien faire, car il y avait des tonnes de ninjas compétents. Il constatait les dégâts des Hommes, de la guerre, il trouvait ça incroyable comment les personnes arrivaient à être sans coeur, sans bonté, sans respect. Il n'acceptait pas de voir tout ça, il voulait d'une paix qui ne pouvait être éphémère. Il voulait qu'elle soit éternelle, qu'elle reste à jamais parmi eux. Mais beaucoup se moquaient. Il devenait de plus en plus froid et il évitait tout lien avec les hommes, il n'acceptait plus cette joie de vivre avec eux. Il devenait misanthrope, insociable, il ne voulait plus participer aux délires des villageois.  



 ( 5057 mots - 304 lignes - Fin un peu bâclée, sorry. )