▷ IDENTITÉ
NOM & PRENOM : Kaneko Asumi
ÂGE : 19
VILLAGE : Konoha
GRADE & RANG : Juunin, rang ?
▷ DESCRIPTION PHYSIQUE
Beaucoup de personnes me prennent pour un homme... pourtant je suis surement ce qu'il y a de plus "femme"! Certes mon équipement de combat cache mes formes, mais de là à me considérer en tant qu'homme, mph! Quand je me regarde dans le miroir, je vois une femme trop petite à mon gout (à peine 1m67! Je suis une naine! Je me hais!), avec de long cheveux blonds scintillants, doux au touché et décoiffés (je trouve que ça me donne un coté rebelle), de grands yeux bleu au regard profond mais dangereux, un nez assez petit mais mignon et des lèvres fines et roses qui ne touchent à rien sauf à de la nourriture (n'y pense même pas).
Sinon, le reste de mon corps est sous une surveillance constante. A cause de ça, beaucoup de femmes me connaissant sont jalouses... Justement, pas beaucoup de personnes ont vu mon corps, même pas mon ventre. Je porte toujours une chemise légère mais ample qui cache un peu mes formes. S'il fait froid, je porte un pull épais et une cape avec cagoule. A part en hiver, la plupart des habits que je porte sont de couleurs blanche, rose, verte ou bleue. Sinon, c'est du noir. Par contre, quasiment tout le monde a vu au moins une seule fois mes jambes, car j'en suis vraiment fière. Ne pas les faire devenir un gros tas de muscle est un privilège de ninjas. Du coup, je porte quasiment tout le temps des mini-jeans. Sinon en hiver je porte des jeans moulants.
En mission, je me transforme complètement. Je favorise l'agilité et la vitesse, du coup je porte seulement 6 shurikens et 4 kunais avec 4 parchemins explosifs au minimum. Quelques fois je prend mon katana, mais c'est pour les pires des cas. Sinon, je porte une chemise ample qui s'arrête au niveau de mon nombril pour ne pas empêcher un seul mouvement et dont la manche se termine au niveau du coude. Cette chemise cache un armure de cuir silencieuse et n’empêtrant pas mes mouvements. Comme pantalon je porte des mini-shorts avec des moulants noirs. Finalement je met mon bandeau frontal non pas sur le front (ça me cache ma vue), mais je l'accroche à mon bras gauche.
▷ DESCRIPTION MORALE
Tous mes amis me disent que je suis toujours chaleureuse et sympathique. En effet, je le suis presque tout le temps, sauf quand quelqu'un dit quelque chose de mal d'un de mes amis. Ou encore plus grave, de moi. Dans ces moments là, la personne en face de moi peut recevoir un coup de poing dans la figure (ça peut aller jusqu'à qu'il m'implore pardon devant moi à genoux et me dise que je suis la plus belle de Konoha).
Une autre chose que je ne supporte pas, c'est quand un homme, quel que soit son age, se permette de dire que les femmes sont plus faibles que les hommes. Et là, je n'aimerais pas être à la place de l'autre. Une fois, j'ai cassé le bras à un homme qui avait dit ça... il ne l'a plus jamais refais.
Sinon, je garde toujours mon calme. J'apprécie la vie quand je n'ai rien à faire et qu'il fait beau, sinon je vais m’entraîner. Depuis toute petite, mes sensei et mes parents m'ont dits que je peut compenser mon manque de force par de l'intelligence. C'est pour ça que je suis devenue quelqu'un qui analyse toujours la situation avant de sauter dans un combat. J'ai toujours plusieurs stratégies qui se modifient au cours de la bataille.
Coté amour... Rien. J'ai toujours traité les hommes de façon à ce qu'ils sachent que je suis leur égale. Tous disent qu'ils sont d'accord (sinon...) mais aucun d'entre eux ne m'ont jamais dit quelque chose de vraiment remarquable. Du coup... j'attend.
▷ HISTOIRE
Je serais une femme normale, seulement capable d’être chuunin, si le destin n'en avais pas décidé autrement. Je sens que toute ma vie a été consacrée, sans que je le sache, à atteindre un but bien précis encore inconnu, tellement difficile à atteindre que le destin a du s'en mêler. Mon nom est Asumi Kaneko et ceci est mon histoire.
Chapitre 1:
Dès ma première année à l'académie, j'ai été confrontée au sexisme. Déjà, pendant les cours de maniement d'armes, les garçons se moquaient de moi car je n'avait pas assez de forces pour bien lancer un shuriken ou se servir d'un kunai. Nous étions quatre filles dans la classe, mais même les filles m'aimaient pas, car je possédait une grande intelligence. Mon père me disait de compenser mon manque de force par cette intelligence, comme c'était à peu près mon seul point fort. Du coup, j'ai développé une logique imparable, j'ai appris tout ce qu'il était possible d'apprendre, tout ce qui n'était pas interdit d'apprendre, et même si je ne comprenais pas tout,cela m'a servit grandement. Pour ma première découverte, j'ai appris que le chakra peut remplacer la force. Du coup j'ai travaillé sur mon chakra, pour qu'il me fournisse une force que je n'avais pas. A l'aide des livres et de mon énorme temps libre, j'y suis arrivée. Je me souviens encore de la première fois que j'ai utilisé le chakra de cette façon devant mon sensei. C'était ma seconde année d'académie.
Mon père m'avais prévenu qu'il ne fallait pas que j'utilise mon chakra de cette façon devant le sensei. Mais je n'en avais cure, li fallait que je montre aux garçons que j'étais qu au moins leur égale, ou même plus!
"Je vais peindre une cible sur cette bûche. Il ya a trois shuriken, que chacun lancerait à tour de rôle. Vous serez notés sur la précision et sur la puissance de ces tirs. Des quastions?", expliqua mon sensei.
"Alors commençons. Viens par là Dero-kun."
Dero était le meilleur en tout ce qui concernait le combat, et celui qui se moquait le plus de moi. Je le haïssais.
"Regarde bien, Asumi-chan, tu pourra peut-être apprendre un truc ou deux", me dit-il en pointant un shuriken vers moi. Puis il lança les shurikens en même temps. Tous trois touchèrent la cible et il s'avéra difficile pour le prochain de les retirer de la bûche.
"Haha! Hé, Asumi-chan, si tu me le demande gentillement, je pourrais t'apprendre! Ou sort avec moi, ça serait plus vite... Ton choix."
Ce genre de remarques faisait toujours rire toute le classe, enfin tous sauf moi. Je me mettait dans une grande colère quand il disait ça. A cette époque, je ne savais pas que mon chakra augmentait de puissance lorsque j'avais des émotions.
Evidemment, je passais dernière, et pour cela, j'étais très en colère. De plus, les autres se moquaient de moi derrière mon dos, et cela mettait le feu à mon esprit.
"Asumi-kun, à toi", appela mon sensei. "Je sais que tu n'est pas si forte pour cela, mais c'est pas grave. Ignores les autres, concentre toi et fait de ton mieux."
Ces paroles me calmèrent un peu, ce qui était sans doute une bonne chose. Quand je pris les shurikens, le sensei remarqua tout le suite que quelque chose ne tournait pas rond. J'étais trop confiante. Et je contrôlais pas trop mon chakra. Il commença à dire "attends", mais j'étais plus rapide. Je lança les shurikens avec tout ce que me permettait mon chakra, enveloppant les shurikens de mon chakra et les dirigeant avec mon vouloir.
Le résultat fut pas celui que j'attendais. Je pensais à ce que les trois shuriken s'empaleraient dans la bûche, mais pas à ce que je voyais. Même le sensei n'en croyait pas ses yeux. Les shurikens avaient détruit la bûche, et mille morceaux résidaient par terre, puis ils ont continués leur chemin. Derrière se trouvait trois arbres, et chaque arbres avait un shuriken planté dans l'arbre! Ou plutôt avaient disparus dans l'arbre.
Personne ne parlait. J'étais moi-même sans voix, avant de tomber inconsciente de fatigue.
Je me souviens pas très bien de ce qui s'est passé après, juste que plus personne ne s'est jamais moqué de moi pour ma force. J'ai aussi eue des cours particuliers de maîtrise de chakra donné par un juunin. Puis ce fut l'accident.
Chapitre 2:
Ce fut l'accident qui me mit sur le chemin de mon but ultime. Mais pas de la façon dont je pensais le faire.
Il faut d'abord que j'explique qui sont mes parents. Mon père est le patron d'un magasin d'armes, et ma mère celle qui dirige tout cela de derrière. Mon père s'appelle Koniche et ma mère Ori. Ils m'aimaient comme aucun parents puisse aimer. Ils s'occupaient tout le temps de moi, ils font en sorte de m'aider quand j'ai un problème quelconque. Mais ils ne faisaient jamais rien pour moi. Ils me donnaient des indications, puis ils me laissaient faire, ce qui fait d'eux de très bon parents. Voilà, revenons à mon histoire.
J'avais 9 ans.
C'était un soir d'octobre, et il faisait assez froid, donc je courrais pour pour ne pas avoir froid. A cause de cela, je fis un vacarme un entrant dans la maison, ce qui fut ma première faute. Une chose me frappa: l'odeur. Ori cuisinait toujours à cette heure, mais aucune odeur de nourriture ne pouvait être sentie. Naturellement je me dirigea vers la cuisine cirant "Maman, je suis là!". Silence. Quelque chose n'allait pas. Je sorti deux shurikens et entra dans la cuisine, seulement pour la voir vide. Soudainement, j'entendi un grognement dans la chambre de mes parents.
"Maman?", chuchotais-je, "Papa?". Je déferla dans la chambre.
Ce que je vis glaça mon sang. Je vis Koniche par terre, les bras tendus vers les cotés, le jambes bien droites. Deux kunais étaient plantés dans ses mains, et un katana dans son torse. Ori été étendue à coté de lui, gravement blessée. Lui était mort, mais pas Ori.
"Papa! NON!", j'hurla. Je couru vers son corps et posa mes mains sur son torse pour essayer de sentir un battement de cœur. Tout ce que je senti était son sang encore chaud et visqueux.
"Asumi..." expira Ori, "Viens, je dois te dire une chose..."
J'accouru vers Ori, la retourna doucement et dit:
"Ne te force pas, je vais appeler quelqu'un, il va te sauver. Attends, ne meurs pas..."
Je commença à pleurer de chaudes larmes qui tombèrent sur les joues d'Ori.
"Je n'ai plus longtemps... écoute moi..." Ses phrases étaient coupés par des toussotements. "Nous ne sommes pas... tes vrais... parents"
Soudainement, le monde semble vaciller autour de moi, et tète semblait légère et je fut sur le point de vomir.
"On connait ta... mère, pas... ton père." Elle respirait de plus en plus fort, et je ne pouvais rien faire, j'était impuissante. "Va chercher ta mère, elle saura te répondre, hgn!" Elle poussait maintenant des cris de douleurs. Puis elle fut sujet de tressautements. J'étais là, la regardant se contracter de douleur, encore submergée par un trop d'émotions.
"Va chercher ta mère, elle s'appelle..." Soudainement je repris fonction de mon corps et j'approchais ma tête d'elle.
"... Aika Emako. Elle vit à..."
Elle perdit le souffle mais réussit à prononcer:
"Elle vit à... Ku..."
A ce moment là elle contracta tout son corps. Elle me regarda avec un regard si attendrissant et plein d'amour que même si elle n'était pas ma vrai mère, je l'aimerais comme si elle l'était. Puis tout son corps se relâcha.
"MAMAAAAAAAN".
J'ai criée, pleurée, tapée sur le sol pendant près de 10 minutes avant qu'un voisin ne fut intrigué par ces bruits et vint me chercher. J'étais dans un état traumatisé et je me suis laissée faire. On m'emmena à l’hôpital, ou on me donna un tranquillisant, puis je perdis connaissance.
Je pleure encore quelque fois en repensant à cette scène, même si elle s'était déroulée il y a 10 ans. Mais cela m'a permis de me donner deux objectifs: trouver mes vrais parents et les assassins qui ont tués Ori et Koniche.
Après l'incident, je vécue par moi-même. Je n'avais pas à faire les courses, l'autorité du village veillait toujours à ce que j'ai de quoi manger.
Mais ce qui a le plus changé, c'était mon attitude de travail. Avant je travaillais durement pour montrer aux garçons que je suis leur égale, mais maintenant, je travail tout le temps pour être la meilleure, pour pouvoir trouver les assassins d'Ori et Koniche. En plus, je voulais atteindre au plus vite le rang de juunin pour pouvoir partir seule et aller trouver ma mère. Et avoir une bonne "discussion" avec elle. L'académie fut facile. J'étais passée genin. Pour être brève, pendant ce temps, j'ai améliorée ma compréhension du chakra, et mon sensei m'appris encore plus sur comment l'utiliser. Il voyais une grande shinobi en moi. Et j'étais fière de cela. Mais ce qui étais le plus important à l'époque c'était de devenir chuunin, puis juunin. Donc j'appris des techniques de plus en plus puissantes qui me venaient facilement. Mes coéquipiers, Enzo et Shari, étaient devenus puissants par le fait qu'ils ne supportaient pas d’être battus par une fille, et quand j'ai su cela, j'ai quand même enragée et j'ai quasiment cassé un bras à Enzo...
Chapitre 3:
Puis arriva l'examen chuunin. C'est à ce moment là que j'ai perdu mon innocence, pour le meilleur ou pour le pire.
Tout se passait bien (dans le contexte d'un examen chuunin) quand le dernier combat sonna. J'avais défait tous mes adversaire, même Enzo et Shari. J'avais aussi adorée leur face de "quoi j'ai perdu contre elle?", face dont je n’arrêterais pas de me moquer d'eux. Bref. Mon ennemi était très doué. Je l'avais observé depuis le début du tournoi de matchs et il n’arrêtais pas de m'épater. J'ai oubliée comment il s'appelait, mais je me souviens très bien de ce combat. Déjà à cet age, il utilisait le ninjustu médical. A l'époque, cela le rendait quasiment invincible, surtout qu'il utilisait aussi le taijustu. J'avais bien dis qu'il était doué!
J'étais fière d'avoir atteint le dernier match du tournoi, mais à l'époque je n'étais pas encore assez forte pour le battre, et cela se prouvait facilement. N'importe quel débile aurait abandonné avant que le match commence en voyant ce qu'il pouvait faire. C'est d'ailleurs ce qu'ont fait les autres après l'avoir vu démolir son premier opposant. J'aurais du abandonner juste là. Mais quelque chose me retenais. C'étais son attitude. Il savait qu'il était fort, mais il était aussi arrogant. Surtout envers les filles qu'il a rencontré pendant l'examen. Et, vous savez comment je réagis à ce genre de situation... J'ai tout fait pour le battre. Quand je dis "battre"... le bon mot serait plutôt "tuer".
Quand je parvint au milieu de l'arène, avec l'autre en face de moi, il me sourit et dit:
"Tu ne pourra jamais me battre, abandonne maintenant."
"Dans tes rêves. Tu vas voir ce que tu vas te prendre.", répondais-je.
"Bon, dans ce cas, là, je n'utiliserais pas mon bras gauche, vu que t'es une fille. Je n'aurais sans doute aucune difficulté de te battre."
Je vis rouge. Toute mon intelligence s'était mis à fonctionner pour trouver un moyen de le faire le plus mal possible. Et il y arriva. Mais je n'avais pas considérée que cela pouvait être mortel. C'était une combinaison des techniques les plus puissantes que je possédait à l'époque. Je pouvais compter le nombre de technique que je connaissais sur une main. Pas besoin de les citer, le les ai tous utilisé pendant le combat.
J'ai commencée à me préparer avant même que le combat ne commence: j'ai influé un kunai et un shuriken de mon chakra afin de m'en servir comme Kawamiri. Et je mis en marche mon piège dès que l'instructeur dit "commencez". Avant que l'autre puisse bouger un doigt, j'ai lancé 1 shurikens dans sa direction en mettant un Kanashibari sur l'ennemi. Puis je lança mon kunai/Kawamiri avec un faux papier explosif attaché sur lui sur le sol derrière lui. Etant un shinobi assez expérimenté, il sorti de mon Kanashibari avant que les shurikens ne le touche et les esquiva. Mais, en voyant le papier explosif attaché à mon kunai, il sauta hors du chemin de mon kunai et directement vers moi. Ce que je voulais. A ce moment, j'utilisa ma spécialité: mon chakra. Je fis un bunshin classique et en profitant du peu de fumée crée par le bunshin, je lança mon avant dernier shuriken vers lui et fit un Kawamiri avec le kunai que j'avais lancé au début. Il vit sans doute moi lui jetant un shuriken. Du coup, il esquiva sans problème mon shuriken, que je récupéra, et fis un Dachô Seikūzan à mon bunshin. En même temps que son coup de pied aérien, je lança mes deux kunais explosifs sur lui, et mon shuriken/Kawamiri droit vers lui. Il s'aperçut assez vite que c'était à un bunshin qu'il venait de donner un coup de pied et regarda derrière lui. Pour voir deux kunais explosifs et un shuriken fondre sur lui. Sa seule option, c'était de sauter très haut pour éviter les trois en même temps. Les kunais passèrent et explosèrent là où il se trouvait il y avait une seconde, créant un écran de fumée, puis le shuriken passa sous lui. A ce moment, je réalisa le dernier Kawamiri de ce combat, et me retrouva sous lui. Là je réalisa le dernier combo de technique du combat. Je leva la tête et fis mon Gõkuhõ. Etant dans les airs et sans savoir que j'étais en dessous de lui, il ne put esquive aucune. Il se prit les 5 balles du vide et perdu l'équilibre dans les airs. A ce moment là, je fis ma technique la plus puissante que j'avais: le Raiten Shuriken. Je mis toutes mes dernières armes dedans, soit 2 kunais et 3 shurikens. En les dirigeant avec mon chakra, je les accéléra, et les rendis plus aiguisés, et enfin les dirigea vers le shinobi. Cela aurait pu ne pas le tuer, mais j'étais en colère qu'il ne me prennait pas sérieusement que je mis tout ce qui restait de mon chakra dans cette technique. Je dirigea toutes ces armes vers sa gorge. Au dernier moment, alors que j'allais le tuer, je me souvins que c'était aussi un examen pour devenir chuunin, et que mon but c'était cela, donc j'ai essayé de changer la direction de mes armes. Un kunai dans l'épaule, un shuriken dans le ventre, un autre dans la jambe et le dernier dans son bras. Mais je ne maîtrisais pas encore parfaitement cette technique, et un kunai échappa de mon contrôle. Et s'enfonça dans sa gorge. Bien sur, je ne savais pas tout cela en combat, l'écran de fumée m'empêchait de voir, et je n'avais pas senti le kunai s’échapper de mon controle. Tout ce que je vis, c'était mon adversaire par terre, du sang autour de lui et une équippe médicale autour de lui. Je n'en avais cure. J'avais gagné. J'étais la plus forte.
Ce fut seulement après l'examen et avoir reçue mon rang de chuunin que mon sensei me dit que je l'avais tué. Le choc que cela m'a donné. Je ne tenais plus sur mes jambes, et je failli perdre connaissance. Je n'étais pas sure de ce qu'étaient mes objectifs. Je n'avais aucune idée qu'est-ce c'était que de tuer quelqu'un. Mais au bout d'un moment, je réalisa que c'était un passage que devait prendre tout les shinobis, et que j'allais, un jour ou l'autre, tuer quelqu'un, alors autant le faire tôt. Après tout, je voulais devenir plus puissante pour retrouver mes parents, et si cela signifiait de devoir tuer, je le ferais. Ainsi commença mon histoire. Evidemment, l'examen juunin fut un problème, mais un problème comme les autres. De plus, j'avais réussi à supprimer toutes émotions de rage pendant un combat car sensei m'avais appris que lorsque j'étais enragée, je n'agissais pas aussi bien que lorsque j'étais calme.
Bref, voila le gros de mon histoire, de comment j'ai grandi, de comment je suis arrivée juunin, et de pourquoi je cherche à faire une mission dans un village caché commençant par Ku...
▷ QUE PENSE VOTRE PERSONNAGE DE TOUT CE QU'IL SE PASSE ACTUELLEMENT ?
Lorsque je rentre à Konaha, j'essaye de penser à l'impact que mes actions ont sur le reste du monde. Il s'avère que les consèquences ne sont pas très grandes, ce qui m'énerve. En faite, les consèquences ne sont pas grandes car l'Akatsuki est dans mon chemin. J'essaye d'approcher de ma mère, mais les actions que font l'Akatsuki créent de nombreuses missions dont je dois y participer, et cela me laisse très peu de temps pour trouver ma mère. De plus, ils essayent de capturer tous les jinchuurikis. Y compris Naruto, et je dois absolument le protèger de l'Akatsuki, même si je pense au'il peut très bien se défendre lui-même. Mais je peux détruire l'Akatsuki petit à petit en contrariant leurs plans et les tuer quand une opportunité se présente.
Sinon, les guerres me laissent en rage. Les humains ont toujours eus des guerres et continueront à les avoir. Evidemment, je n'aime pas aller en combat, avoir ma vie sur la ligne pour d'une idée morale des villages cahés. Ceci est, pour moi, une tristesse que des shinobis très doués et remarquables doivent mourir pour le bien des moralités. Chaque village essaye de protèger sa valeur, son honneur, mais pour cela il essaye de détruire un village ennemi. Pour moi, cela est une injustice que doivent porter les shinobis.
Je pense que si quelqu'un peut arrêter les guerres, c'est Naruto. Il a une identité remarquable, un caractère bien construit et ne laisse jamais tomber ses idée, pour cela je l'admire et j'essaye de me comporter comme lui. C'est pour cela que j'essaye d'arrêter les guerres. Et pour faire cela, j'ai déduit que je doit arrêter l'Akatsuki. En plus, je pourrais retrouver ma mère après, ou pendant si j'ai le temps: d'une pierre deux coups.
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Sujet: Intelligence overcomes power. || Asumi Kaneko (FINI) 
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