Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} 1381010140-1380964891-kakashiiAya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} 1381010140-1380964891-kakashii



 
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De gros personnages libres, dont: Hidan, Kakashi,A Yotsuki, ou encore Jûgo ! Les villages sont attaqués par de dangereux déserteurs, Iwa est le premier village à avoir pu écarter la menace ! Kiri et Iwa sont de nouveau ouverts ! Konoha accepte deux ninjas inventés ! Les Nukenins inventés sont de nouveau autorisés !


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 Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}

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Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} Vide
MessageSujet: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} EmptySam 14 Sep - 10:37

Barashiro Aya
•Nom et Prénom : Barashiro Aya ; • Age : 31 ans ; • Village : Kiri ; • Grade souhaité : Juunin ;
Caractère

Contrairement à ce que ton visage stricte et ta froide apparence peuvent le laisser penser, tu n'es pas une personne froide. Les années de perdition de ton village t'ont juste rendue plus distante d'un quotidien solidaire. Tu apprécies la présence des autres, mais tu es toujours mal à l'aise, convaincue que tu pourrais commettre une gaffe si tu venais à trop parler.

Dans un monde, davantage encore à Kiri, où la guerre est endémique, tu peux en étonner plus d'un par ta douceur. Délicate, tu n'aimes pas trop les barbaries auxquelles certains ninjas peuvent avoir recours. Tu n'as jamais oublié le devoir des ninjas, c'est pourquoi tu n'es pas inscrite dans un engrenage visant à avoir toujours plus de force. Cela t'est égal, même si tu n'ignores pas l'entraînement pour autant. Mais si tu progresses, c'est uniquement dans le but de mieux protéger ton prochain.

Douceur ne veut pas dire faiblesse, tu as un devoir à accomplir et tu es prête à bien des chose pour y parvenir. Mais toujours dans le respect de tes principes. Parmi ceux-ci, tu tentes, notamment, de ne jamais faire couler le sang, laissant au corps du défunt toute son intégrité physique pendant que l'âme s'envole vers d'autres lieux.

Une éducation rigoureuse t'a été donnée : la violence est l'arme des pleutre, non des forts. C'est sur cette base que les tiens sont élevé, d'autant plus depuis que ta sœur aînée est morte durant la brume sanglante. Tu devras également t'y soumettre, affrontant l'horreur de la violence et le devoir familial de protéger kiri. Sans ce test, tu ne deviendrais jamais une kunoichi. Cette mise-à-mort t'a troublée et a sûrement pu orienter ton caractère. Néanmoins, tu n'oublias jamais les valeurs familiales et l'importance même de la famille.

Tu as longuement souffert de leur absence. Car lorsque les choses commencèrent à trop dévier du droit chemin, tu décidas de te lier à la troupe rebelle. Bien sûr, l'échec fut connu et tu dus déserter. Eux te pensèrent morte. Tu leur expliquas tout à ton retour et, malgré leur bénédiction sur tes choix, tu sais qu'une cassure a été faite et que tu ne parviendras jamais à la refermer.

Tu avoues abuser d'une légère coquetterie. Ayant vécu des années en marge de la société, tu es heureuse d'avoir retrouvé tout le confort d'un village et ses équipements. C'est pourquoi tu passes énormément de temps à t'apprêter, chose que tu n'avais pas pu faire durant ta désertion.

C'est d'ailleurs "à cause" de ce côté-là (et également tes faibles revenus durant) que tu dus apprendre à te montrer persuasive afin de gagner, l'espace d'une soirée, une illusion de bien être. Cette période de ta vie a certainement été l'épreuve la plus difficile de toute : quitter le village et ta famille que tu aimais tant. N'y avait-il pas de choix plus dur à faire que celui de quitter ce qui t'est chère en voulant le protéger ?

De ces sombres années, cette apparence austère n'a fait que se renforcée. Et pourtant, tu ne demanderais rien de plus qu'un peu d'attention. Mais ta discrétion t'empêche de t'imposer en société. Ce qui ferait de toi, indéniablement, une très mauvaise cheffe d'équipe.

Tu n'es pas quelqu'un qui aime tuer, comme ton caractère générale peut le laisser transpirer. Si bien que tu ne considères jamais tes victimes comme "un fait de guerre". Tu as toujours la délicatesse de déposer une rose sur leur dépouille et de prier pour que leurs âmes rejoignent un autre endroit sans difficulté.

Parmi tes défauts, tu as cette énorme dépendance à la nicotine. Sûrement en avais-tu besoin pour ne pas sombrer lorsque tu étais au plus bas, seule et errant sans réel but. Le retour chez toi t'a fait un bien fou et t'a donné à nouveau ce simple vœux de "protéger les tiens".

Mais tu n'as pas arrêté d'évoluer une fois de retour au village. Deux événements ont également suscités en toi des prises de position obligatoire pour la suite : la présence d'un jinchuriki et les menaces d'une quatrième guerre.

Sans les haïr, tu n'aimais pas les jinchuriki et la menace latente qu'il représentait pour le village. C'était tout de même des porteurs de monstre et le "vôtre" était proche de la mizukage, soit une position encore plus dangereuse s'il venait à laisser aller ses pulsions de bête.

Tu n'as jamais été pour la guerre, aussi étonnant cela puisse paraître vu ta position de ninja. Et donc tu es bien heureuse de la neutralité affichée par Kiri. Beaucoup dise que c'est là la position des lâches, mais tu trouves que c'est encore la solution la plus pacifiste.

Physique

Il semble avisé de décrire une personne de la tête au pied, une vision classique des personnes. Si on oublie ta tenue ninja, certainement l'une des choses qui est le plus rapidement repérée, c'est bien ton visage qui accroche le regard.

Accrocher, dans ton cas, n'est pas un mot choisi à la légère. L'agressivité naturelle de ce terme est de circonstance. Ton visage, donc, est dénaturé par une longue brûlure sur toute sa partie droite, de part et d'autre de l’œil droit. Il est à se demander comment la vision de ce globe n'a t-elle pas été condamnée à jamais. Beaucoup parle de chance, que ça aurait pu être pire. Certes, mais tu n'es pas de cette avis. La douleur ressentie ce jour là te réveille parfois encore aujourd'hui, lors de nuits agitées.

Oh bien sûr, si la curiosité pousse le regard d’autrui à chercher d’autres séquelles, il ne sera pas bien compliqué de voir les brûlures qui partent de ton cou vers la chute de ta poitrine. C’est là les seules brûlures visibles, mais d’autres zèbrent tristement ton corps. La plupart de ton flanc droit n’est qu’une cascade de chairs mourantes. Ces marques ancrées en toi  ne semblent avoir aucune limite, l’absence totale de pudeur : jambes et cuisses partagent le sombre résultat de cet « accident » de ta vie. Mais il n’est pas encore temps de parler de ça.

D’ailleurs, peut-être faudrait-il détailler davantage un visage que tout tendait à une vision de la perfection. Mais aucune prétention ne peut gagner un être humain de « parfait » car la chair est altérable si aisément et le temps lui-même finit par détruire la condition éphémère. Ton regard est d’un bleu limpide, mais quiconque aurait l’indécence de le saisir durablement verrait que l’iris droit est légèrement plus clair. Mais pas assez pour te décrire en tant que vaironne.

De ce visage, une blonde cascade chute en tout sens. Bien sûr, pour des raisons pratiques et esthétiques, peu de mèches viennent gêner ta vue. Malgré les séquelles de ton vécu, tes cheveux ont depuis longtemps recommencé d’autres cycles et ta chevelure est superbe. Serait-ce là une raison pour laquelle tu leurs voues une certaine adoration et une coquetterie poussée ?

Le nez est fin et suit toujours le tracé originel, prouvant que tu n’as reçu que peu de coups « directs » à cet endroit là, zone pourtant fréquemment fracturée dans le monde des shinobis. La raie tombe sur deux lèvres fines qui ne dévoilent que rarement de jaunes dents, le temps d’une cigarette.

Ta poitrine, de généreuses proportions, n’est jamais mise en avant, tu la couvres et la serres souvent de bandages. Cela a deux buts clairs : diminuer la gêne d’une telle opulence durant tes missions et masquer l’horreur l’ayant frappé des années plutôt. D’ailleurs, il t’arrive fréquemment de porter un foulard ou ton bandeau ninja autours de ton cou.

Comme toute kunoichi qui se respecte, tu as l’allure svelte. Malgré ton statut, tu n’aimes pas la vulgarisation du combat, la sauvagerie. Tu aimes la finesse et le respect de l’autre. C’est donc avec des gestes amples et gracieux que tu combats. Tes jambes rendent grâce à ton élégance tant elles sembles élancées.

Il t'arrive fréquemment de toucher ton ventre comme si tu étais blessé lorsque les événements t'échappent. Toi qui est une remarquable illusionniste, tu as tendance à te perdre entre réalité et souvenirs. Et lorsque tout va mal, une douleur aiguë te tire le ventre : il s'agit d'une longue cicatrice qui semble avoir grandie avec toi. Bien que la plaie soit refermée depuis de longues années, tu continues de porter des bandages. Ce qui, alliés à ceux de ta poitrine, peut donner un effet presque momifié.

Histoire
I'm Sorry by Clint Mansell on Grooveshark

Chapitre I : La rigueur de l'honneur.

Barashiro n'est qu'un surnom donné bien après ta naissance. Tu es née dans la famille Uesugi, réputé pour son sens de l'honneur. En revanche, aucune technique héréditaire ne rendait l’appellation de "clan" logique. Ceci étant, les femmes de la famille ont l'habitude de donner de nombreux enfants. Tu es toi-même le troisième enfant d'une fratrie de cinq.

Ta famille, notamment tes ancêtres, a rapidement pris la décision de rejoindre le village de Kiri. Les membres de ta famille ont toujours eu bonne renommée. C'est donc grâce à tes aïeux que tu as reçu une éducation stricte et dans le sens de Kiri : la fidélité n'est pas qu'un concept, c'est également un devoir.

La brume sanglante est venue ... perturber l'acceptation béate des Uesugi. C'était une façon très et trop dure de nommer des shinobis. Vous ne pouviez l'accepter, mais les hautes sphères firent rapidement comprendre à ta famille que leur indignation et leurs recommandations étaient ... futiles.

C'est donc en silence que les Uesugi décidèrent de suivre la voie qui a toujours été la leur : protéger le village et ses citoyens. Mais un événement allait définitivement brouiller les Uesugi avec le Conseil de Kiri et le jeune Mizukage : ta sœur aînée décéda durant l'épreuve.

Cette violence inutile affirma que ce ne serait guère votre arme. Il n'est pas, selon vous, nécessaire d'un un tueur assoiffé de sang pour être un bon shinobi et bien servir son village. Tu n'appris pas donc, dans ton foyer, à manier le sabre ou le kunai. Non, tu appris essentiellement à comprendre l'essence même du genjustu. C'était la première étape de l'apprentissage.

Chapitre II : Du sang sur tes mains.

Silencieuse, il est difficile de dire comment tu as traversé cette période difficile où tu as été tragiquement et définitivement séparée de ton aînée. Malgré ce drame et la naturelle amertume en découlant, les Uesugi gardèrent leur objectif premier en tête : protéger le village. Et, hélas, pour cela il fallait passer par l’insidieuse, la brume sanglante de son nom.

Était-ce pour venger ta sœur ? Pour gagner un nom et changer les choses ? Seule toi le sait, mais tu continuas à t'entraîner. Encore et toujours, tu étais déterminée et, paradoxalement, absolument pas ambitieuse. Lorsque tes parents te demandant ce que tu voyais de l'avenir, tu répondais simplement : "le soleil se lever au petit matin."

Toute déterminée que tu fusses alors, tu chaviras le jour où tu dus passer cette fameuse épreuve. Qui n'aurait pas été anxieux à l'idée de perdre la vie ou de la prendre pour la première fois ? Tu dus affronter une jeune demoiselle de Kiri que tu avais côtoyer à diverses occasions.

C'était donc ça aussi. Pour avancer, il fallait cracher sur bien des principes. Une vision du monde qui te débecta. Pourtant, tu n'étais pas désireuse de mourir. Tu étais terrifiée à cette pensée. C'est donc la boule au ventre que tu combattis : si tu n'avais pas appris l'art du combat rapproché ou armé, ce n'était pas pour autant que tes parents avaient négligés de te former sur différentes acrobaties.

Tu pris donc le parti d'esquiver, patiente. Cherchant à tromper peu à peu ses sens. C'était extrêmement compliqué pour toi et cela nécessitait une attention constante, tant dans l'imaginaire que dans le réel car ton adversaire ne te laissait pas le temps de construire un schéma mental suffisamment fort et structuré pour la duper.

Mais tu constatas, rassurée, que la fatigue d'un combat de fuite/traque rendait tes insinuations mentales plus fluide. Lentement, elle se mit à frapper dans le vide, la fatiguant davantage alors que toi, tu pouvais reprendre ton souffle. Comment devoir faire ce qui devait être fait ? Tu n'avais pas la force nécessaire pour la perdre à jamais dans son mental et tu ne pouvais la manipuler à ta guise pour qu'elle se suicide. Tout cela, c'était d'un niveau bien trop complexe pour qu'une jeune comme toi puisse y parvenir. Tu n'étais même pas genin, après tout.

Il était évident, pour les affreux observateurs, que ton adversaire ne parviendrait plus à reprendre pied avant un moment. À moins d'une chance exceptionnelle, te toucher était presque impossible. D'autant plus qu'elle en venait à douter des choses réelles qu'elle voyait.

Mais il te fallait franchir le cap. Tu saisis alors le kunai dans ta main. Ta tête était en ébullition, une éternité sembla se dérouler, te vieillissant plus vite que les lois naturelles l'auraient souhaité. La main tremblante, tu t'élanças en hurlant toute ton ressenti, tes angoisses ta peur.

Lorsque tu sentis le kunai franchir sa chair, une sensation glacée te parcourut le ventre : alors que laissait choir ton poids sur elle, tu vis une lame rougeoyante finir un mouvement circulaire. Dans un cliquetis métallique, tu vis le sabre court rebondir sur le sol, tu compris alors. Tremblante, tu abandonnas le kunai dans le corps déjà mort de ta première victime, et apporta ta main présentement libre sur le lieu de cette sensible douleur.

Alors que la douleur avait été ressentie dans le froid, ta main accueillit une chaleur naturelle : toujours aussi tremblante, tu détournas le regard de l'épée vers ta main. Cette dernière était vermeille, ton propre sang s'y répandait en abondance. Tu avais donc déjà commis ta première erreur. C'est sur ce constat que tes sens t'échappèrent et que tu t'écroulas sur la jeune femme.

Chapitre III : un bandeau et des bandages.

Tu repris connaissance dans une monde d'une limpide clarté, cela t'en faisait presque mal aux yeux. Tu regardas le lieu dans lequel tu te trouvais alors et il te fallu de longues minutes avant que les formes floues gagnent en sens. Comme tu pouvais t'en douter, tu te trouvais dans une chambre d’hôpital. La fenêtre était ouverte et les rideaux volaient au gré du vent. Une odeur fleurie se joignit à ce paisible décore.

Tu tentas de te redresser mais une vive douleur se manifesta, avertissant également les infirmières que tu étais réveillée : la soudaineté t'avait forcée à pousser un cri. Tu fus rapidement prise en charge et on te demanda de rester couchée.

Ce n'est que quelques semaines plus tard que tu pus rejoindre le domaine familiale. Accueillie avec soulagement par ta famille, tu eus l'esprit tranquille : tu n'avais contrariée personne par ta bêtise. Après tout qui pouvait déjà tout connaitre du combat lors de sa première "rencontre". Ceci étant, les tiens te félicitèrent car tu avais réussi l'épreuve. Pourtant, tu n'en tiras aucune satisfaction. Tu avais tué quelqu'un et tu avais manqué d'y rester, c'était ces deux faits qui harassaient sans cesse ton esprit.

Tu rejoins quelques jours plus tard le bureau du Mizukage, sans toute fois le croiser, pour récupérer ton bandeau et les indications à suivre pour rejoindre ton équipe et nouveau sensei. Il n'avait pas pu t'attendre tout le temps durant tes semaines de soin. C'était donc à toi de te démener pour rattraper le potentiel retard accumulé.

Malgré ta sortie de l'hôpital et ton assignation à une équipe, tu te sentais toujours oppressée par ta blessure. Timide, tu rejoins une équipe. Tu craignais que la mise à mort qu'il avait dû également exercé les aient rendus monstrueux. Mais tu t'étais sensiblement trompée : chacun devait combattre les conséquences de cette épreuve à sa manière, mais ceux que tu avais connu dans les rues brumeuses de Kiri n'avaient guère réellement changé après cette étape.

Cela t'aida d'ailleurs à combattre l'amer sensation que tu gardais de tout cela. Tu te surpris même parfois, honteusement, à penser que ce n'était "qu'un" fait marquant de ta vie. Mais tu te ressaisissais alors rapidement : nul mort n'est louable.

Chapitre IV : Bercée d'illusions, la froide réalité - elle - ne change pas.

La guerre venait régulièrement secouée le pays, mais tu passas entre les gouttes, pourtant nombreuses, de Mizu no Kuni. Vous réalisâtes vos missions les unes après les autres, sans trop de problèmes. Ramener des chats, cueillir des fleurs loin de Kiri, tout ça n'était pas vraiment compliqué. Non, ce qui l'était davantage c'était de parvenir à augmenter ta maîtrise sur le genjutsu.

Tu découvris, au cours de tes entraînements, que tu avais l'affinité suiton, comme beaucoup de Kiri. Ce n'était pas grave et cela t'arrangeait. Tu ne voulais pas être dotée d'un pouvoir unique, exceptionnel. Tu n'étais pas peureuse, mais ce genre de talent était entretenu et amplifié dans le but de devenir une arme de poids. Tu n'aurais pu le concevoir.

En travaillant toujours plus, ton équipe et toi parvinrent à impressionné votre sensei. Tu parvenais toi, à mêler les illusions avec de naturelles emprises aqueuses. Là où tes coéquipiers étaient spécialisés dans le corps-à-corps et les ninjustus d'ordre plus physiques. Sur cette base, Kahimara, votre sensei décida de vous soumettre au test pour devenir chunin. Bien sûr, tu voulais progresser, mais sans briller. Tu ne refusas pas, pas plus que tes camarades.

En ce temps, l'examen était encore éparse et il n'y avait guère de shinobis des quatre autres puissances. Uniquement Kiri et les quelques villages mineurs alliés, ou assujettis. Mais que les nouvelles générations ne se trompent pas : la violence de ces épreuves était bien présente, sinon davantage.

Néanmoins, la structure était sensiblement la même et vous participâtes à trois. Lors de l'épreuve cognitive et d'espionnage, tu t'avéras être une redoutable concurrente. Bien sûr, les juges virent l'emploi de tes genjutsu, mais ils te concédèrent l'inexpérience et trouvèrent que tu serais intéressante à voir une fois évoluée.

Bien sûr, tu avais toujours compté sur tes coéquipiers pour les phases plus "musclées". Mais ce ne fut pas le cas cette fois là, non. Il était temps pour toi d'ouvrir les yeux sur ce que le monde était vraiment : sale et noir. Vous avez dû vous battre pour continuer votre périple, pour gagner l'honneur d'être jetés dans l'arène, tel des lions affamés.

Et ce droit, c'est avec des lettres de sang que vous deviez l'écrire. Bien sûr, cela dérangeait moins à tes camarades que toi, tu décidas d'accepter en lançant seulement quelques illusions assez simples. Mais à des personnes jugés aptes de devenir des chuunin, c'était loin d'être suffisant et ta volonté pacifiste s'ébranla bien vite.

Tes alliés firent coulés le sang et tu dus leur permettre ... Les aider à tuer. Même si tu ne tuais pas directement tes ennemis, le fait de les déboussoler pour que tes camarades les achèvent n'était-il pas semblable ? N'étais-tu pas une meurtrière malgré toi ? C'est donc troublée que tu avanças vers la dernière étape : les combats individuels.

C'était le moment d'exposer tout ton potentiel. C'était une chose qui ne te bottait réellement pas. Mais tu n'avais pas le choix. Si tu voulais progresser, il te faudrait devenir chuunin et donc donner le meilleur de toi même dans des conditions que tu détestais. C'était assez pénible. C'est donc, une nouvelle fois, avec un poids au cœur que tu pris le chemin de l'arène.

C'est presque sans envie, désabusée que tu te battis. Ce monde te déprimait, il était d'une tristesse sans pareil. Comprenant, cependant, qu'à un contre un, tu avais les moyens de prendre l'ascendant et surtout, de vaincre sans réellement combattre. Tu n'allais pas te gêner pour utiliser toute ta puissance mentale afin d'effrayer suffisamment ton premier adversaire pour qu'il abandonne. C'était là une première victoire : le monde pouvait renoncer, éviter la guerre.

Mais c'est au deuxième combat que le sens du mot utopie prit toute son ampleur. Certains ne vivaient pas "que" pour protéger leur village ou progresser. Certains vivaient pour le plaisir du combat. Devant cette montagne de haine et d'agressivité, tes illusions pacifiques n'eurent aucun effet. Il te poussa dans tes derniers retranchements, tu tentas de lutter, mais la défaite était inévitable et ta mort risquait de survenir, juste pour assouvir sa soif de sang. Tu dus alors abandonner. Bien sûr, ton adversaire ne l'entendit pas de cette oreille, mais l'arbitre l'empêcha de continuer. Cet être sans cœur, tu ne le revis jamais, mais il te força à prendre une décision drastique.

Chapitre V : Douce nuit fleurie.

Malgré ta défaite, les spectateurs furent impressionnés de tes prouesses et, surtout, de ta bonne lecture du combat : il faut parfois savoir se retirer. Bien sûr, ce n'était pas au goût du Mizukage qui aimait le sang et ceux qui osent. Mais la stratégie était une arme redoutable et avec laquelle Kiri avait déjà acquis ses lettres de noblesse.

Tu compris que tout le monde n'était pas enclin à une paix durable. Tu compris que si la violence était l'arme des pleutres, la compassion était le chemin des morts. Tu te savais incapable d'être, un jour, impitoyable. Tu savais que tu chercherais à comprendre l'autre avant de jouter. Mais tu avais compris, durement, qu'il n'y avait parfois aucune autre solution que la mort. Pour obtenir la paix, il fallait annihiler les volontés guerrières.

Et pour ce nouvel objectif, tu n'avais pas le choix : tu devais être capable de tuer. Il te fallait donc des techniques mortelles, des illusions capables de briser l'esprit, de s'insinuer au plus profond de l'âme et l'arracher. Si la mort devait touché l'individu, autant qu'il préserve la dignité du corps.

C'est donc sur ce chemin que tu décidas de prendre route. C'est avec moins de honte que tu engageas le combat. Et ce faisant, le monde s'assombrissait toujours plus à tes yeux, ne trouvant de saveurs et de couleurs qu'aux moments où tu retrouvais les tiens. À ton insu, cette lassitude permit à tes supérieurs de te manipuler, te faisant accomplir des missions qui te forceraient à faire des choix. Et oui, tu osas déverser la mort. Tout cela n'était qu'une suite de tests pour savoir jusqu'où tu pouvais aller. Et dans ton désir de pacification ultime, tu te perdis, une nouvelle fois.

Voyant qu'une femme aussi douce que toi pouvait s'adonner à des gestes qu'elle exécrait fit lentement réagir Kahimara. Il comprit, comme beaucoup, que les choses partaient toujours plus de travers. Pendant ce temps où tu acceptas d'être juunin pour le simple fait d'avoir assassiner des gens, ton ancien sensei s'allia aux rebelles et le mouvement était sur le point d'arriver à son paroxysme, sur le point de se jeter sur le Mizukage.

Chapitre VI : Retour utopique.

Kahimara vint alors te faire la moral. Il ne voulait pas que tu deviennes une femme sans âme. Il t'aida alors à retrouver tes rêves d'enfance. Au final, on s'était seulement servie de tes ambitions pour mieux te manipuler. Tu compris alors que tu étais naïve, qu'il était facile de se jouer de toi, peut-être même que ton sensei le faisait à cet instant. Tu décidas alors de prendre du recul et d'analyser les choses par toi-même, au travers tes yeux.

Tu avançais au travers les murs bondés, tu avais l'impression d'être une blatte fouillant la pourriture du monde. La tristesse, la lassitude, le désespoir ... Tout cela semblait si présent à Kiri. Était-ce cela que tu voulais protéger ? Était-ce le bruit de la pluie que tu voulais entendre ? N'y avait-il pas un seul rire pour égayer le ciel ? Un jeu d'enfant pour gagner un peu de candeur ? N'y avait-il que des larmes à sécher ?

Oui, tu devais faire quelque chose. Et c'est ainsi que tu gagnas la rébellion dans le but d'enfin jouer un rôle - réel - dans ton village. Il n'y avait pas choix plus difficile que d'attaquer son village pour le protéger. Un étrange paradoxe, un douloureux malaise.

Chapitre VII : un autre monde.

Tu pris donc part à cette rébellion, convaincue du bien fondée de celle-ci. Tu savais qu'il y aurait des morts, des dommages collatéraux, mais pouvais-tu faire autrement ? Pouvais-tu changer le monde sans vouloir y toucher ? Tu devais concéder pour un monde meilleur. L'abnégation n'était-il  pas le propre du shinobi.

Tu pris donc part au combat, pluie et feu sillonnaient le village caché, peut-être brillait-il enfin comme un phare au milieu d'une brume ... sanglante. La guerre n'était qu'une facette du monde, après venait les éclaircies. Du moins, c'est que tu pensais. Car armés de toutes les belles intentions du monde, la victoire n'était pas forcément à la clef.

Non, tu vis les tiens reculer, tomber et mourir. Mais quel fut ta tristesse lorsque ton mentor se mit à brûler sous tes yeux ? Et la douleur du cœur allait rapidement être rejointe par celle de la chair. Ton corps se mit à s'embrasser. Tu hurlas de douleur, t'écroulant au sol. Le feu consumait ton corps comme une simple torche.

Tu hurlais, mais ton agresseur te laissa déjà derrière lui, c'était une guerre totale, il n'y avait pas de rancune particulière. Non, tu n'étais qu'un résultat de la guerre. Délaissée dans la souffrance, mais ta volonté de vivre et le peu de suiton qu'il te restait parvinrent à te préserver.

Tu fuis alors le village, tout le monde te croyant mort. Il y avait beaucoup de de portés disparus et tous étaient considérés comme morts. Déserteurs s'ils avaient été vu entrain de fuir. Mais toi, tout le monde te cru morte. Tu savais pertinemment bien ce que signifiait cet échec et tu décidas de disparaître pendant un bon moment.

Aux yeux de tous, tu avais trahi Kiri et tu avais humilié ta famille. Tu n'étais plus rien et tu ne serais plus jamais rien. La première année suivant ce cuisant échec, tu dus panser tes blessures. De longues brûlures zébrèrent alors ta peau, tu n'étais plus que l'ombre de toi-même.

Une fois que tu eus terminé d'être soigné, il te fallu les fonds non seulement pour payer cette hospitalisation, mais également ce dont tu avais besoin au jour le jour. De cette vie, tu refusas majoritairement les assassinats, mais si tu voulais vivre, il fallait parfois faire des choix. C'est d'ailleurs toujours avec une rose blanche que tes victimes furent retrouvées, intactes. Tu refusais catégoriquement d'avoir affaire avec les kirijins.

Ta vie était une sorte de longue et lente perdition, une époque d'errance où tu cherchas le réel but de ta vie. Comment pouvais-tu te racheter ? Et le voulais-tu vraiment ? Après tout, tu étais fidèle à un endroit souillé, où le rêve est mort. Tu cherchais alors une ambition, vainement. Ta préoccupation était essentiellement de savoir ce qui se trouverait dans ton assiette le lendemain et s'il y aurait une assiette.

Chapitre VIII : la nouvelle Mizukage.

Mais les temps changent. Parfois, naturellement. Tu appris que le mizukage avait été remplacé par Meï Terumi à sa suite. Tu ignorais les raisons et dans quelles circonstances. Connaissant son rôle actif dans la rébellion, tu décidas de rentrer à Kiri. En autant d'années de dérives, tu n'avais toujours aucun but, tu n'étais qu'une coquille vide.

Tu montras patte blanche et tu espéras grandement pouvoir réintégrer Kiri. Bien sûr, on peut comprendre tes motivations, mais tu restes une menace potentielle pour le village. C'est pourquoi tu te sens régulièrement épiée.

Tu as rejoint ta famille, mais tu n'oses plus vivre dans leur domaine, ni même porter leur nom, préférant "Barashiro" à présent. Pourtant, c'était toujours une grande joie de les retrouver et ils ne te montraient aucune haine particulière, juste de la tendresse. Mais tu savais qu'un malaise planait et tu préférais éviter de déranger davantage ta famille que tu ne l'avais alors fait.

Il va de soi que tu n'as aucune fonction importante, en dépit de la force qui est tienne et des connaissances que tu as pu accumulé durant ta désertion. Tu ne sais comment évoluer dans la nouvelle société instaurée par Meï Terumi, mais tu te doutes que cela ne dépendra que de toi et viendra avec le temps, alors tu te montres docile, recourant toujours à tes rites de déserteuse lorsque tu prends la vie.

Behind the screen
•Prénom/Pseudo : Bara; • Age : 22 ans; • Hobbies: Beaucoup, mais j'aime ce qui tourne autours du jeu;
• Disponibilité /7
: 4/7 • Double-compte ?: Non ; • Comment avez-vous connu le forum ?: Keaton ; • Comment trouvez vous le forum ?: c'est encore tôt pour le dire. J'aime assez le graphisme, quoique l'effet flouté de certains textes me laisse dubitatif. Sinon, je suis agréablement surpris de l'importance des choix des joueurs dans l'avancée de la trame. ;
codage par Alyss ( Kanade. A. J. Rye )


Dernière édition par Aya Barashiro le Jeu 19 Sep - 22:28, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} EmptySam 14 Sep - 17:57

Welcome Bara :D.
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MessageSujet: Re: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} EmptyJeu 19 Sep - 22:25

Voilà !
J'ai enfin terminé mon histoire.
J'ai mis le grade de Juunin car c'était son niveau avant sa désertion, mais Meï peut décider de la réintégrer à un grade même inférieur.
En ce qui concerne le rang, je vous laisse choisir. Bien sûr, je l'estime au moins à un niveau B ^^ (histoire de rester logique avec son grade de juunin)

Merci du temps que vous apporterez à cette fiche, j'espère que la lecture n'a pas été trop pénible voir, pourquoi pas, agréable.
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Meï Terumi
Meï Terumi
Administratrice ✿ Godaime Mizukage. (Rang S)


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MessageSujet: Re: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} EmptyVen 20 Sep - 0:24

Bienvenue !

Ton personnage tient très bien la route, selon moi. Tu as retranscrit quasiment tous les éléments de l’histoire de Kiri tout autour de ton perso, ce qui l’incruste parfaitement dans le contexte. Je tiens aussi à dire que l’histoire est bien menée non seulement au niveau du scénario mais aussi au niveau de l’écriture. Je ne suis pas adepte du point de vue à la seconde personne mais paradoxalement, ta production m’a plutôt satisfaite. Ce serait d'ailleurs  agréable que tu mettes  en avant en Rp, son intégration sociale à Kiri vis à vis des autres puisque cela pourrait s'avérer être un gros point pour l'évolution de la jeune femme.

Ton background est également bien entraînant et tout se lit d’une seule traite sans difficulté. Les détails sont suffisamment présents et tu sais ressortir les événements les plus importants et traiter en une ou deux lignes ceux qui sont moins primordiaux.
Au niveau des descriptions, je n’ai pas vraiment de reproche à faire. On a assez d’informations sur Aya, notamment sur son physique assez estropié.

Question longueur, le tout est convenable.

Je te signale néanmoins que j’ai parfois repéré des fautes assez répétitives d’accord dans lesquelles, bien souvent, tu oublies d’accorder un pluriel :
" à bien des choseS "
" les tiens sont élevéS "
" tout le monde te croyant mortE."

Ce sont sans doute des erreurs d'étourdissement mais n'hésite surtout pas à te relire, en RP.

Mise à part cela, j’estime que tu as un niveau correct en RP, prouvé par une bonne syntaxe et un bon vocabulaire. Par conséquent, le grade de Juunin ainsi que le rang B  me semblent t'être accessibles.

En attente d'un second avis.


Dernière édition par Meï Terumi le Lun 23 Sep - 14:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} EmptyVen 20 Sep - 18:06

Bienvenue *p*
Belle ava :)
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MessageSujet: Re: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} EmptyVen 20 Sep - 21:56

Bonsoir et bienvenue !

Je trouve le caractère de notre chère AYa très développé, et il s’avère être intéressant. Une kunoichi déposant une fleur sur les dépouilles ennemies, c’est plutôt rare, avouons-le. Du coup, il me tarde d’en apprendre plus sur elle dans tes prochains RP.
Le physique est également très bien étoffé, et je t’en félicite personnellement, sachant comment cela peut être difficile. De plus, dans ces deux descriptions, tu nous donnes quelques petites informations sur l’histoire de Barashiro, nous poussant à dévorer les récits afin de satisfaire notre curiosité au plus vite, ce qui est également un bon point.

L’histoire est plutôt bonne longueur mais se lit tout de même d’une traîte. Elle est originale, bien écrite et bien ficelée, on y trouve tous les détails qu’il faut. De plus, elle tourne principalement autour de Kiri, ce qui nous prouve que tu as bien saisi le contexte de ce merveilleux village malgré les maigres informations qui nous sont disponibles. Néanmoins, tu n’en as pas délaissé le background de ton personnage, et c’est très bien ainsi !

Pour conclure, tu as un bon niveau – je trouve – mais il y’a encore quelques petites coquilles ci et là, comme des « e » en trop, des accords mal accordés, des confusions entre « é » et « er » mais je sais que tu es capable de parfaire tes écrits en te relisant convenablement, supprimant ainsi ces étourderies.

Pour moi, c’est également bon pour le rang B.
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MessageSujet: Re: Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé}   Aya Barashiro - devoir et douceur, confrontation de deux réalités. {Terminé} Empty

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