Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) 1381010140-1380964891-kakashiiSur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) 1381010140-1380964891-kakashii



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
De gros personnages libres, dont: Hidan, Kakashi,A Yotsuki, ou encore Jûgo ! Les villages sont attaqués par de dangereux déserteurs, Iwa est le premier village à avoir pu écarter la menace ! Kiri et Iwa sont de nouveau ouverts ! Konoha accepte deux ninjas inventés ! Les Nukenins inventés sont de nouveau autorisés !


LA CÉRÉMONIE DES OSCARS COMMENCERA A 22H CE SOIR !

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez
 

 Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité





Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) Vide
MessageSujet: Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo)   Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) EmptyDim 18 Aoû - 14:50

... ... ...
Kôga




∞ Find the Kurorentai.



Dans un sursaut de terreur, je me réveillais. Complètement en sueur, ma respiration était rapide. Ce n’était qu’un rêve ? Parfait... Depuis quelques mois, mes nuits étaient de plus en plus agitées. D’une main j’allumais la lumière. Au fond de la pièce se trouvait Mehlia. Depuis quelques temps déjà, je la voyais. En fait tout avait commencé le jour où Dahlia avait découvert l’un de mes secrets. Depuis, la présence de ma défunte grande soeur se faisait de plus en plus grande. Au début je ne la voyais que durant mes rêves. Puis lentement, progressivement, j’avais commencé à la distinguer éveillé. Maintenant, je la voyais presque tout le temps. Je devais devenir fou... Il faut dire que ma vie, mes problèmes, et surtout mon travail. Tout ce que j’avais vécu, mon expérience dans son ensemble m’avait complètement changé. Je n’étais plus Kôga Shirayuki le fils de Mifune. Aujourd’hui je n’étais qu’une loque, rien de plus qu’un être méprisant et que les gens détestaient. Bien sûr, tout cela n’était rien de plus que les divagations de mon esprit de plus en plus malade. Car voilà, depuis mon combat contre Ryoku Onigami, j’avais gagné l’estime du village et de ses habitants. Dorénavant les gens ne me craignaient plus. Seulement j’étais trop atteint pour réussir à le discerner. Prenant ma tête dans mes mains, j’essayais de me calmer.



Soudain quelqu’un frappa à la porte. Il était tard, vraiment tard. Personne ne venait jamais me déranger à cette heure là. Excepté bien sûr mon second Takeshi. Sauf que voilà, ceci signifiait une chose que je redoutais. J’allais devoir torturer quelqu’un. Encore... Comme toujours. Je n’en pouvais plus. Malheureusement, c’est le sacrifice que j’avais décidé de faire. Et je m’y tenais. Ce ne serait pas cette nuit que je craquerai. Je me levais de mon lit et avant d’arriver à la porte mettais mon masque. Comme je l’avais deviné, il s’agissait en effet de mon second. Il m’expliqua que les Oi-nin du village avaient capturés un déserteur de rang B du village. Rien de bien exceptionnel. Toutefois, il précisa que celui-ci avait été en contact avec le Kurorentai. A peine eu-je entendu ce nom que je me précipitais dans ma chambre. En à peine une minute, j’enfilais mon kimono, mon armure et mettais Tsume Fokkusu à ma taille. Sans la moindre délicatesse envers Takeshi, je le dégageais littéralement et entamais ma course vers le département des interrogatoires du village. Tant j’étais pressé, il ne me fallut que quelques minutes pour arriver à destination. J’ignorais complètement mes quelques employés encore debout qui me saluèrent. Tout ce qui m’intéressait, c’était les informations que pouvait avoir le nukenin. Suivant la procédure que j’avais instauré, l’homme avait été envoyé dans la section médicale par mes sous-fifres.



La pièce était très blanche, de nombreuses lumières. Le rendu global était on ne peut plus éblouissant. Le nukenin était au milieu de la pièce, attaché fermement à une table en métal. Je m’en approchais rapidement. Il dormait déjà. Sans perdre la moindre seconde, je formais un scalpel de chakra. Méthodiquement, je vins placer la lame sur son torse. Sans avoir besoin de beaucoup forcer, j’entaillais la peau de l’homme. Le but de cette opération chirurgicale était de placer un diffuseur de mon poison anti-chakra dans le corps de l’homme. Il ne me fallut pas plus d’une demi-heure. J’étais tellement familier de cette procédure que j’effectuais sur toutes mes victimes. Grâce à mon Iroujutsu, je fermais parfaitement l’entaille, ne laissant rien d’autre que le tuyau en métal pour remplir la pompe du poison que j’avais moi-même créé. Je sortais alors de la pièce. En attendant qu’il se réveille j’écrivais un message sur une feuille de papier. «Où se trouve le Kurorentai ?». Lorsqu’il fut réveillé, mes hommes le placèrent sur un brancard en métal qui nous permettait de transporter les victimes. J’ouvrais la porte de la cellule de détention. Le brancard fut arrêté à mes côtés. J’allais lui laisser une chance d’échapper à tout ce qui allait suivre. Et dont il ne survivrait au final peut-être pas. Devant ses yeux, je plaçais ma feuille de papier. Il me regarda avec un large sourire avant de me cracher dessus. J’esquivais bien sûr avant de lui casser le nez d’un geste rapide et puissant. Il se mit à saigner abondamment, mais c’était sa faute, il ne serait donc pas soigné.



D’un geste de la main, j'ordonnais à mes hommes de l’installer à l’intérieur. Ce n’était pas une simple cellule de détention, c’était bien une salle de torture à long terme. Son brancard fut placé au centre de la pièce. Solidement attaché au sol, quoique l’homme fasse, rien ne bougerait. Cinquante centimètres au dessus de son front se trouvait un tuyau en métal. Toutes les cinq secondes, une goutte d’eau en tombait. Son front commençait déjà à être mouillé. Ceci peut sembler anodin, mais ça ne l’est pas. Il allait progressivement se concentrer sur le rythme des gouttes. Penser à autre chose serait alors très compliqué et il ne pourrait presque pas dormir. Conséquence logique de cela, il arriverait aux limites de la folie. Mais ce n’était pas tout, loin de là. Une fois fermée, la pièce serait entièrement noir, pas la moindre lumière, il serait donc privé d’un de ses sens. Mais pas seulement, car nous allions aussi lui boucher les oreilles. la perte de deux de ses sens ne ferait qu’accentuer la souffrance que procurerait la torture des gouttes d’eau. La pièce disposait au plafond de lampe d’une puissance folle. Quand nous devrions le faire boire un peu, lui donner des perfusions pour qu’il ne meurt pas, ou bien remplir la pompe anti-chakra, les lampes s’allumeraient. Passant de l’obscurité totale à la lumière la plus éclatante, ses yeux en prendraient un coup.Enfin, la salle disposait d’un régulateur de température très puissant. Toutes les heures, le mercure changerait du tout au tout. Une heure à 45°c, une heure à 0°c, ainsi de suite. Tout ceci allait laisser l’homme dans un état macabre. Mes hommes sortirent de la pièce que je fermais alors, la première étape pouvait commencer.



Comme je désirais vraiment obtenir mes informations, je décidais de laisser l’homme dans la pièce durant un mois. Ce qui était une première, je n’avais jamais laissé personne là-dedans aussi longtemps. Il faillit succomber plusieurs fois, mais mes hommes réussirent à le sauver. La plupart du temps, je laissais les gens là une semaine. Mais avoir un lien avec le Kurorentai était un crime que je ne pouvais tolérer. En plus de vouloir des informations correctes, je voulais le faire souffrir. Ce qui ne m’étais jamais arrivé non plus dans ce travail. Quand je fis ressortir l’homme de là, il était méconnaissable. Mais je désirais qu’il dise la vérité, aussi je ne pouvais pas en rester là. je le fis donc envoyer dans la salle de torture numéro une. Patiemment, je repris la feuille où j’avais écris mon mot il y’a un mois de cela. Pendant ce temps l’homme avait été installé. Je pénétrais dans la pièce le papier à la main. L’homme se trouvait sur une nouvelle table en métal. Celle-ci était inclinée. La tête du nukenin était penchée vers le bas, et ses pieds vers le haut. Au sol se trouvait une grille qui envoyait tout liquide vers les égouts. Dans la pièce se trouvaient une multitude de jerrycans remplis d’eau. Avec moi, il y avait cinq hommes. Deux s’occupaient de tenir son corps, même s’il était attaché. Un tenait fermement son crâne Le quatrième venait de placer une épais torchon sur sa bouche et son nez. Enfin, le dernier portait un jerrycan. Je regardais la scène. Posant genou à terre, j’approchais mon masque de la tête de l’homme. Mes yeux étaient au plus près des siens. Dans mon regard, la détermination, la haine, et le message clair qu’il allait souffrir. Dans le sien, je ne voyais que de la terreur. Le déserteur tremblait assez violemment.



D’un geste de la main, j’ordonnais à mes hommes de commencer. Ils resserrèrent leur étreinte et celui portant le jerrycan commença à verser l’eau sur le visage de l’homme. Le débit d’eau était vraiment très important. J’appelais ceci la torture par l’eau. Rien n’étais plus efficace que ça. Le principe est simple. En mettant un torchon ainsi et en y versant beaucoup d’eau, on procure à la victime le sentiment de la noyade. Seulement, ses poumons étant surélevés par rapport au visage, il ne peut pas se noyer. En réalité s’il meurt, ce sera d’asphyxie. Même les gens les plus résistants face à la torture ne peuvent quasiment pas y résister. En fait, la victime a l’impression qu’elle va bientôt mourir. Pour elle ce n’est pas de la comédie, elle ne peut contrôler la réaction de son corps. De ce fait, personne ne peut y résister éternellement. En général, en 20 secondes la personne capitule. Le record que j’avais vu était de 2 minutes. Seulement l’homme était mort quelques heures plus tard. Afin de faire souffrir bien plus l’homme, je faisais ceci par petites sessions. La séance de torture dura de longues heures, jusqu’à ce que nous n’ayons plus d’eau. Je fis signe à mes hommes de d’écarter. Posant ma main sur la garde de Tsume Fokkusu, je la dégainais lentement. Après l’avoir posé sur la gorge du déserteur, je lui montrais à nouveau la feuille. Mon regard montrait très bien à quel point j’étais sérieux. Haletant, l’homme tenta de parler. Je n’entendis rien. Rapprochant mon visage du sien, j’entendis un mot. Un seul.



« Iwa.... »





Bien, je savais dorénavant ce que je voulais savoir. Je voyais bien que l’homme ne mentait pas. C’était une chose que j’avais apprise tout au long de ce travail. Comme je savais ce que je désirais, le déserteur était maintenant inutile. De plus j’avais lu sur son dossier qu’il allait être exécuté. C’est donc avec grand plaisir que je décidais de m’en occuper. Ici, maintenant, sans plus attendre. Levant ma lame de sur se gorge, je posais la pointe sur son coeur. C’est alors que Mehlia apparut devant moi. Mon corps s’immobilisa. De son air sévère, me défunte soeur me regardait.




« Kôga, c’en est assez. Tu as ce que tu voulais de cet homme. Ce n’est pas ton rôle de lui ôter la vie. Range ton sabre petit frère, je t’en prie. Abandonne l’idée de te venger.... »




Tu es morte. Tu est morte. Tues morte. Je t’ai vu mourir, tu ne peux pas être ici, tu ne peux pas être en vie, c’est impossible, je m’y refuse. Laisse moi, va t’en. Dégage bordel ! Hurlant de rage, je fonçais vers ma soeur pour la planter de mon sabre. Mais au lieu de ça elle disparut brusquement et venais loger Tsume Fokkusu dans un mur. D’un geste sec je l’en retirais. Tombant à genoux, je pris ma tête dans mes mains. Je hurlais véritablement de rage. L’un de mes hommes tenta de me relever pour voir ce qui n’allait pas. Avec force et rapidité, je venais lui coller un uppercut qui le mit au tapis. J’avais complètement perdu conscience de mes actes. De mes poings je commençais à frapper le mur. A force de frapper, je brisais même l’armure de mes poings. Au bout d’une heure, les poings brisés et en sang, je perdis conscience....



© .JENAA
Revenir en haut Aller en bas
Naruto Uzumaki
Naruto Uzumaki
Modératrice ✿ Jinchuuriki de Kyubi & Genin de Konoha. (Rang S)


Messages : 314
Date d'inscription : 25/04/2013
Localisation : A Konoha !

Carte Shinobi
Ryos: 260
Age: 16 ans
Expérience:
Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) Left_bar_bleue510/2000Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) Empty_bar_bleue  (510/2000)


Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) Vide
MessageSujet: Re: Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo)   Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo) EmptyLun 19 Aoû - 15:14

Correction RP


> Kôga Shirayuki<
    Positif

    - Bonne mise en page, paragraphes bien aérés, couleur des dialogues compatible avec le fond de ton code RP.
    - Style d'écriture original
    - Peu de fautes
    - Descriptions bien faites

    Négatif


    Rien à dire

    Récompense


      Nombre de mots :2028
      Gain de mission ://
      Calcul :2028/40 = 50,7*1,1 = 55,77 = 56

      Expérience gagnée :56 XP
      Ryos gagnés ://



Correction RP
Revenir en haut Aller en bas
 

Sur la voie du Bataillon Noir (Rp Solo)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: 
rpg
 :: Pays du Vent :: Sunagakure no Sato
-