L'entraînement commence..[PV:Tomoyo]

Il était assez tard. Environ vingt heures. Ca faisait un jour que j'étais sorti de cet horrible hôpital. Endroit intenable, ou j'étais resté plusieurs jours. Je n'en pouvais plus. J'avais appris cette terrible nouvelle, comme quoi, à cause de mes blessures accumulées lors du combat contre Kisame, je ne pourrais plus être shinobi. Le lendemain matin, aprés une nuit abominable ou je n'avais cessé de pleurer, je m'étais fixé un objectif. Celui de m'entraîner de façon à pouvoir redevenir un ninja, en parfaite condition pour combattre. Mais je savais bien que ce n'était pas chose facile. Ca allait sûrement prendre du temps. Tss, moi qui n'aime pas prendre mon temps...Hier, j'avais passé la journée chez moi, à ne rien faire. Heureusement que Shino et Hinata étaient venus. Et aussi Naruto. Et même Shikamaru et Chôji. Bon, j'imagine que Chôji, c'était surtout pour dévorer mes paquets de chip, mais bon. C'est des gens cool, eux. Ca fait plaisir de voir que je ne suis pas seul. Qu'on me rende visite, qu'on m'accorde de l'importance. Et puis, il y avait aussi Akamaru...Il avait aussi été blessé, mais il va mieux, heureusement. Il ne lui avait fallu que quelques jours pour récupérer complètement, à lui.

Retournons au présent. Cela faisait désormais plusieurs heures que j'étais ici, sur l'un des terrains d'entraînement. Un lieu plutôt immense, entouré d'arbres. Devant moi, trois bûches. J'aurais aimé courir comme un fou. Utiliser mon "Gatsuga" pour détruire une bûche. Mais ca, c'était impossible. J'avais déjà du mal à brandir mon kunai. Il avait commencé à pleuvoir, et moi, j'étais là. Seul. J'étais habillé normalement mais j'étais encore couvert de bandages. Pas sur tout le corps, heureusement. Akamaru ne m'avait pas suivi, il était en train de faire sa sieste. De toute façon, je n'avais pas besoin qu'il vienne. Car pour cet entraînement, je voulais être seul. A un moment, je pris mon élan, puis réussi à prendre mon kunai. Je fonça vers l'une des buche, et m'apprêta à envoyer mon kunai dessus. Mais mon corps ne tenait plus. Je fus pris d'une terrible douleur, et retomba violemment au sol. Allongé, je releva doucement la tête. Je serra des dents, et des poings, avant de m'exclamer:

-Non...Je..Je n'abandonnerais pas...Faut que je devienne Hokage !

Sur ces mots-là, je réussi à me relever. Enfin. La pluie commencait à tomber. Mais non, je n'allais pas retourner chez moi maintenant. Pas avant d'avoir réussi à atteindre ma cible avec mon kunai. Cette cible qui était la bûche. Lentement, je brandis un kunai. Mais je fis l'erreur de l'attraper trop rapidement, ce qui entraîna une atroce douleur au niveau du poignet. Je n'en pouvais plus de ces douleurs-là. Mais non, il ne fallait pas y penser. La pluie était de plus en plus forte. Ce n'était pas simple de tenir debout. Il n'y avait personne autour. Donc, si je tombais...Personne pour m'aider. Et ce qui devait logiquement arriver arriva. J'en faisais décidement beaucoup. C'était trop pour mon corps. Je tomba violemment à terre. Je ferma les yeux. Me rémémora du premier instant ou j'avais dis que je souhaitais être Hokage. C'était à l'académie, lorsque les professeurs nous avaient demandé quel était notre Nindo. Lorsqu'on m'interrogea, je répondis haut et fort que je souhaitais devenir Hokage. Bon, évidemment, il y avait des prétendants à ce titre, comme Naruto Uzumaki. Mais ca ne me faisait pas perdre espoir. Au contraire. La concurrence pousse à s'améliorer, à persévérer, pour triompher. Mais là...Je n'en pouvais plus. Je ne sentais presque plus mon corps. La pluie était de plus en plus violente. Je me mis alors à lâcher une larme nerveuse. Puis d'autres. Je serra des poings, avant de lever les yeux.

-Q-Qui êtes-vous ?

Codage de Niro

Hey what are you doing ?

Un sourire accroché aux lèvres, je sortis d’un pas si joyeux que j’en fusse moi-même surprise. Malgré la pluie qui tombé avidement sur le sol de Konoha. Par réflexe, mon cou se tassa entre mes épaules, alors que les gouttes d’eau tombées sur ma chevelure de nacre. Alors que juste derrière moi je sentais le regard moqueur du vieil Hermite. En effet, je sortais de chez ce cher Jiraya. Oh bien sûr, n’y voyait là aucun sous-entendu déplacé. Jiraya est un ami de ma mère. Il a rencontré la jeune femme à l’époque ou elle fut envoyée mission comme soutiens médicaux. Il est bien évidemment tombé sous le charme de la belle, mais celle-ci au lieu de l’envoyer sur les roses et de lui faire comprendre que ses propositions étaient déplacées, elle le trouva charmant et bourré d’humour. Ce qui plut à l’Hermite. Il y’a longtemps que je ne l’avais pas vu…La dernière fois remonte a mes 9 ou 10 ans je ne sais plus très bien. Il n’a pas cessé de dire que je ressemble à ma mère.Cette journée m’avait conduite chez lui quand la pluie s’était mise à marteler les feuilles et la prairie. Prenant un thé délicieux, j’avais pu parler des heures durant avec l’homme dont la chevelure était aussi argentée que la mienne. Après de nombreux fou rire, anecdotes et petite démonstration de mes talents culinaire et ninja. J’avais décidé de partir pour Suna. Tournant la tête vers la fenêtre où je pouvais voir le visage souriant d’Ero-sennin qui me faisait de grands signes de main, je lui adressai un immense sourire joyeux et lui rendit son petit signe de la main en partant de manière guillerette.

Instinctivement mes deux sphères de métal pas plus grosses que des billes se formèrent, hélas elles n’eurent une durée de vie que très limité, décidant contre toute attente de me protéger du déluge d’eau céleste. Les deux sphères se fondirent l’une dans l’autre, puis je malaxais mon chakra pour faire apparaitre une sorte de dôme en métal dont deux sortes de tiges partaient vers mon dos pour se maintenir au-dessus de mon crâne, le parapluie de mon invention subissait les assauts funestes de chaque goutte. Satisfaite, je repris ma route d’un pas plus serein maintenant que j’étais à l’abri. Le chemin que je suivis fut celui que Jiraya m’avait indiqué. Il m’avait précisé que si je contournais toute la ville j’allais y mettre trois heures et mes si fines, si belles, si athlétiques jambes seraient complètement épuisées. Il m’avait alors conseillé de couper par les bois près des terrains d’entrainement. J’espérais de tout cœur que l’Hermite ne me faisait pas faire un détour immense pour rien. Sinon la prochaine fois je le fais saigné du nez jusqu’à qu’il dessèche comme un pruneau sucré qu’on achète sur les échoppes de Suna.

Quand je passai devant un des terrains d’entrainement, le rideau de pluie cachait une silhouette, qui tentait surement un entrainement intempestif. Dans un sens ça me fit sourire, sauf qu’avec un temps pareil ce n’est pas une bonne chose, surtout pour le corps, il ou elle pourrait tomber malade. Fronçant les sourcils, je sortis des arbres quand la silhouette vacilla et s’écroula de tout son saoul contre la terre humidifiée par l’eau. Accourant vers le jeune homme, je vis au sol un Kunai. Mes pupilles violettes s’empressèrent de regarder autour de moi, il avait tenté d’atteindre une des buches situées de l’autre côté, près de l’endroit où j’étais arrivé en fait. Mais vu les bandages qui semblait couvrir certaines parties de son corps, j’en déduisais qu’il sortait de l’hôpital et qu’il tenté de reprendre son entrainement. Un peu tôt apparemment. Dans ma course vers le jeune homme, mon dôme de protection s’était évanoui, tandis qu’il levé vers moi ses yeux bruns. Les mots les plus simples s’échappèrent de ses lèvres.

Laissant un sourire choir sur mes lèvres rosées, dont la pluie ruisselante avait humidifié au préalable, je me baissai doucement a hauteur de son visage. Les deux marques sur ses joues, rouges et allongé me firent sourire de plus belle. Caractéristique physique que je connaissais. Mes propres marques violettes, en forme triangulaire. Je passai un bras autour de lui, maternelle, mais protectrice, avec douceur. Mes iris posés dans les siens, je répondis aux mots brûlants qu’il aller surement prononcé.

Je te dirais mon nom plus tard…Le plus important c’est de t’aidé a te levé et de vérifié si aucune plait ne s’est rouverte pendant ta chute d’accord ? Dis je d’une voix douce mais ferme.

Alors que j’exerçais une petite pression pour l’incité a se levé et a s’appuyer sur moi, il valait mieux le conduire près des arbres, les feuillages feront une barrière naturelle face à la pluie, il pourra s’assoir sur les bouches, et je créerais une protection plus grande en métal pour nous protéger un peu plus de la pluie diluvienne.

Courage. Je sais que tu en as. Fis je avec un sourire aux lèvres, car il fallait être courageux pour s’entrainer dans de telles conditions alors qu’on est encore en convalescence. Je savais qu’en tant normal je mettais les gens à l’aise, dans toute les conditions en fait, soit par mon charme et mon sourire soit par ce côté mi naïf mi taquin. Quand il se leva tant bien que mal, je l’aidais à rejoindre l’endroit en question. C’est bien, nous y sommes presque. Fis je en l’encourageant de plus belle, me doutant que la douleur de son corps était peu supportable.

(c) fiche par ocean lounge

Devant moi, se dressait une femme absolument splendide. Elle devait faire environ ma taille. Une peau métisse, de longs et fastueux cheveux d'une couleur grise. Et, comme si ce n'était pas assez, un corps tout bonnement...Paradisiaque. Bref. C'était bien étrange mais j'en ignorais carrément la douleur. Je n'arrivait pas à détacher son regard de la jolie demoiselle. Grâce à l'aide de la Sunajin, je réussis à me réfugier prés des arbres, afin d'être en sécurité. Petit à petit, la pluie devenait moins "violente". Il était assez tard, et, désormais, presque aucun civil ni ninja ne traînait dans les rues. Sauf évidemment, les "fêtards". Ceux qui attendaient que la nuit tombe pour se précipiter dans les bars les plus fameux de Konoha, et se "bourrer la gueule". Aucune personne ne traînait, donc, sauf nous. Moi, Kiba Inuzuka, et cette étrange ninja, qui portait le bandeau de Suna, et qui était dotée d'une beauté...Irresistible. Je m'assis alors contre un arbre. Je regarda autour de lui. J'était essouflé, et n'en pouvait plus de subir ces douleurs. Pourquoi moi ? Tout cela, à cause de ce Kisame...Celui qui avait utilisé une technique surpuissante, nommée "les mille requins dévoreurs". Mais bon, ce n'était pas le temps de repenser à cela. Je ne sais pas pourquoi, mais...Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de celui de la ninja de Suna. Je me forca à le faire, car cela devenait gênant. Mes larmes séchèrent, et je me mis finalement à parler.

-M-Merci...Que faites-vous ici ? Bon, je devrais me présenter...Je suis Kiba Inuzuka, Chuunin de Konoha...

Tout en parlant, je baissais les yeux. Je n'osais plus la regarder dans les yeux, de peur que mes joues redeviennent rouges. La jeune femme avait l'air assez puissante. En même temps, les shinobis de Suna le sont pratiquement tous. Temari, avec son éventail, Kankurô, avec ses marionettes. Ne parlons même pas de Gaara et son sable...Il y avait aussi cette kunoichi-là, Pakura...Bref, des ninjas qui étaient trés coriaces. Je me rappelle encore de l'attaque à Konoha, ou nous avions du combattre ces Sunajins. Enfin, "nous"...J'étais endormi, à ce moment-là. Mais Shino m'avait raconté son combat contre Kankurô, et ce n'était pas du tout un adversaire facile. Je me demandais alors, de quoi était capable cette mystérieuse kunoichi. Elle n'avait pas l'air d'être une marionnettiste puisqu'elle n'était pas équipée de parchemins d'invocations. Je regardais le ciel. Il était magnifique. La lune l'était tout autant. Je me demandais quand est-ce que mes blessures disparaîtraient. Devais-je vraiment renoncer à être shinobi, comme ce que le médecin m'avait dit l'autre jour ? Je ne pouvais pas abandonner. On avait bien dit à Rock Lee qu'il ne pourrait plus être ninja, et pourtant...Il avait réussi à le redevenir. Alors pourquoi pas moi ?Lentement, je saisis un caillou, je m'amusa à jongler avec, et finit par le lancer au loin. Me sentant mieux, je pris la parole, et dit à la jolie demoiselle de Suna:

-Il faut que je rentre chez moi, me...Merci encore de m'avoir aidé...

Pour être franc, je n'avais pas envie de partir. Sérieusement, qui aurait aimé quitter une femme aussi splendide que cette Sunajin ? Mais d'un côté, je n'avais pas le choix. Je n'avais pas envie d'inquiéter Hana et Tsume. Même si je sais que, de toute façon, j'allais me faire engueler... Aprés un intense effort, je réussis à me lever. Je commencais à avoir froid. Raison de plus pour m'en aller, et retrouver mon lit. En plus, j'avais vraiment faim. Je me tourna une dernière fois, et je sortis de ma poche une amulette, avec, au centre, le symbole du clan Inuzuka. Je souris et le tendit à la jeune femme, en lui disant:

-Tenez, c'est pour vous...J'espère que ca vous portera chance.

Codage de Niro

Hey what are you doing ?

Ce fut une fois à l’abri que le jeune homme tenta une nouvelle fois de parlée, il parut d’ailleurs se sentir un meilleur forme que précédemment. Quand bien même je n’étais pas tranquille de le voir dans cet état sur un terrain d’entrainement à une heure aussi tardive. Il se demandait ce que je pouvais faire ici. Oh rien, je suis venue espionner le village…Non, je blague, souriant avant de répondre il se présenta comme Kiba Inzuka, tiens donc…Inzuka ? Ce nom me parlait quelque peut. Mais oui, d’où les marques rouges sur ses joues, en forme de crocs. Quand il sourit, je pus voir les canines. Bizarrement, je ne vis nulle part son partenaire canin. En vue de son physique, le jeune homme devait avoir 16 ans. Il devait donc posséder son partenaire canin depuis un moment déjà. Les bandages démontraient qu’il avait du combattre, peut être que son chien était lui-même en convalescence.

Je me nomme Kawachiru Tomoyo et je suis de Suna. Je suis venue a Konoha par hasard à vrai dire, j’ai revue Jiraya-Sama, qui était un ami de ma mère nous avons donc beaucoup parlé. Et bue…pensais je. , Mais en vue de l’heure qu’il est il était temps pour moi de rentré a Suna. terminait je pour répondre au jeune Chuunin.

Son regard se posa sur le sol boueux, avait-il du mal a tenir face a mes pupilles d’un violet intense ou était ce la douleur qui le tiraillait et que comme beaucoup d’hommes il refusait de montré sa douleur a une femme de peur de paraitre faible. Je ne sais guère. Bloqué dans ses pensées, il avait l’air ailleurs. Fatiguée moralement et physiquement. Cela se voyait. Mais ce jeune homme était habité par l’esprit du courage. Ce désir ardent de tenter un entrainement banal sous une pluie torrentielle prouvait qu’il n’abandonnerait pas aussi vite d’être un grand Ninja. Il attrapa un caillou et joua avec quelques secondes avant de le lancer avec force au loin. Un sourire naquit sur mes lèvres. Un regain d’énergie. Le clan Inzuka a du courage et de la force à revendre. Il me remercia pour mon aide et se leva pour rentrer. Il se leva au prix d’un immense effort, je parus voir un léger frisson dû à la température qui était bien tombé à cause de la pluie. Il sortit de sa poche un talisman dont le centre montrait le symbole du clan.

Ne me remercie pas, n’importe qui n’aurait pas pu te laissé ainsi sur le sol voyons. Dit je d’une voix douce, j’avançais vers le jeune homme et attrapa le talisman et le caressa du bout des doigts. Il est magnifique, je te remercie Kiba-kun Dis je avec une voix encore plus douce que précédemment. Alors qu’il aller partir, mes iris virent au sol, là ou il était tombé, que son arme était encore présente. Attends ! Criais je.

Tandis qu’il se retournait, je tendis le bras vers le Kunai au sol, mon chakra se déploya et je magnétisais l’arme qui se souleva du sol pour venir vers le jeune homme attendant qu’il la saisisse. Avec un sourire je repris d’une voix amusée face à son regard à la fois surpris et…émerveillé ?

Tu as oublié ton Kunai. Ça peut toujours servir un Kunai. Prends-en soin. Dis je avec un sourire adorable et joyeux. Même si tu dois avant tout prendre soin de toi avant de tenter de t’entraîner. Tes blessures sont graves, que tu ne veux pas abandonner je peux le concevoir, mais a trop te mouvoir tu pourrais ruiner les bandages et le travail des médecins. Si tes blessures ne guérissent pas parce que tu t’entêtes à t’entrainer jamais tu ne pourras atteindre l’objectif que tu t’es fixé, ton Nindo sera plus fort que tes blessures et tout ce qui ne te tue pas te rendra plus fort. Soigne-toi, travaille ton esprit et ta patience. Et dans quelques jours ton corps lui, t’indiqueras qu’il est prêt a se battre. Fis je sur un ton ferme et sage.

Contrairement aux apparences, vous ne pouvez imaginer le nombre de kunai et de shuriken qui sont dissimulés sur ma tenue et dans mon sac. Non pas que je m’amuse à les faire voler tout le temps. Mais quand je vois que je peux seulement me battre au corps à corps, je privilégie le tout avec des Shuriken et des Kunai. Je n’utilise mes jutsus quand cas de nécessité absolue ou si l’ennemie est d’un nombre important. Ou si je n’ai plus de Chakra. J’espérais que mon monologue de maman ours n’allait pas le faire fuir. Je l’encourage tout en prenant soin de le ménager.

(c) fiche par ocean lounge

Correction RP

> Inuzuka Kiba <

Positif

Négatif

Récompense

Nombre de mots :

Gain de mission :

Calcul :

Expérience gagnée :

Ryos gagnés :

> Tomoyo Kawachiru <