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De gros personnages libres, dont: Hidan, Kakashi,A Yotsuki, ou encore Jûgo ! Les villages sont attaqués par de dangereux déserteurs, Iwa est le premier village à avoir pu écarter la menace ! Kiri et Iwa sont de nouveau ouverts ! Konoha accepte deux ninjas inventés ! Les Nukenins inventés sont de nouveau autorisés !


LA CÉRÉMONIE DES OSCARS COMMENCERA A 22H CE SOIR !

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MessageSujet: [ Mission de Rang A - Background - Solo ] RED KING. ♚   [ Mission de Rang A - Background - Solo ] RED KING. ♚ EmptyVen 12 Juil - 21:37


DESTRUCTION


MEPHISTOS ▽ Je suis le seul et unique Roi. On me nomme destruction parce que je suis la forme la plus excessive de la possession. ♚ 



復讐真
Les représailles du prince rouge.

Chapter One.

Tu marchais la tête haute, les poings serraient et droit vers ce que l'on peut appeler ta destiner. Ta poitrine semblait se contracter, t'étouffer de l'intérieur, causer ta mort peu à peu. La saveur métallique se repends dans ta cavité buccale tant ton sourire se tordait en un rictus infernale, transformant ton visage en un monde de géhenne pour les hommes. Tous cela à cause de quoi ? La mort avait une nouvelle fois frappée, la faucheuse, de sa lame parfaitement effilée avait choisi d'agrandir le nombre de macchabée. Doucement, tu tires ton paquet de cigarette de ta poche, approchant celui-ci de ta bouche et lorsqu'enfin l'étincelle surgit de ton briquet, que le petit bruit te survient aux oreilles et que la quantitée de nicotine pénètre ton corps.. Alors seulement, tu te rends compte d'où tu es. Nous sommes le mois de Décembre, 16 après Naruto Uzumaki, le 21. Et tu viens d'apprendre une mauvaise nouvelle. Le bruit de la foule te parvient aux oreilles, tu regardes devant toi et la lumière t'agresse, l'aube pointe le bout de son nez et l'astre solaire décide de percer tous ces nuages de grêle. Il fait beau au pays du fer. Et alors tu peux décrire la foule qui te fait face, fatigué et meurtri par son travaille de tous les jours. Et toi, comment vas tu après ce massacre d'Iwa ? Inutile de s'attarder la-dessus, tu n'as fait que ton boulot et tu le redis, redis et redis. Les gens traînent des pieds pour la plupart, tandis que d'autre, énergique à souhait tente de se sortir de cette foule endormi. Tirant une nouvelle bouffée de joie de ton tube de poison, tu ne peux que retenir un bâillement lorsqu'au lieu de ta vision c'est tes narines qui te guident. Loin de là, vers un restaurant dont les odeurs de poisson t'attirent particulièrement depuis que tu as mis pied dans cette ville datant de l'ère Samurai. Glissant entre les passants, t'engouffrant entre deux épaules, passant sous un bras et sautant par-dessus un tonneau de légume. Tu y arrives rapidement, même après avoir subtilement piqué la bourse d'un homme très bien taillé pour les mettre dans les mains d'une pauvre femme, en habit vieux. Ta poitrine te fait toujours aussi mal et tu n'as aucune envie de continuer ta route dans cet état, tu veux simplement vivre un p'tit peu, oublier cela. C'est pourquoi tu te diriges droit vers le restaurant, désireux de commander ta boisson et ton poisson bon marché avec les quelques pièces que tu avais soutiré à ce même riche, un peu plutôt. T'engouffrant entre les tissus qui servaient de porte d'entrée. Maintenant, il était l'un des leaders de cette organisation qu'il prenait comme un châtiment pour le monde ninja, une façon comme un autre de préserver la vie de son garçon de sang. « Ohayô jeune homme. J'espère que votre route s'est bien passé, je viendrai prendre commande dans peu de temps. » Tu souris légèrement, hochant la tête pour saluer l'honorable vieillard. Tu ne pouvais pas montrer ta faiblesse, plus maintenant alors que ta vie approchée de sa fin, peu de ninja passait la cinquantaine, cependant tu ne savais si ton corps t'emporteraient avant, outrepassant les lois Bijuuennes qui te conféraient une santé à toutes épreuves, ou si au contraire tu allais vivre les âges et les transformations du temps. « Et bien, que puis-je pour vous ? » Une nouvelle fois, tu trouves cet homme poli, mais tu ne peux lui répondre convenablement.. Il ne fait que son travail, comme toi quand tu tues. Lentement, tu ouvres la carte posée sur la table, feuilletant rapidement les quelques propositions avant de finalement jeter un regard las sur ton auditeur. Ta voix roque s'élève, personne n'y fait attention, sans les mains tachaient de sang tu n'es que.. normal. Tu commandes donc une bouteille de lait, t'avisant d'un hochement de tête de savoir s'ils ont cela en stock avant de continuer et de commander un poisson divers de la fiche. Finalement, ton regard s'élève vers les cieux et tu penses. Je pense donc je suis. Laissant tes pupilles poursuivre les oiseaux, se perdre dans le cyan de l'infini et caresser les courbes mousseuses des nuages. Il était mort. Il, qui c'est ? Un de tes fils de coeur, l'un des hommes avec qui tu avais le plus travaillé, un enfant.. Un enfant que tu croyais aider en le mettant dans cette source de revenu plus que suffisante qui était le transfert de marchandise, quelques peus illégales par moment. Cependant on l'avait tué. Et tu ne pardonnerais cela que quand la tête de son assassin sera accroché aux remparts de son village natale. Tu ne savais pas qui. Simplement qu'un membre de ton réseau, dans lequel vous êtes tous plus ou moins proche et où tu es considéré comme étant le Roi rouge, surnommé comme cela par les opposants, t'avais fait parvenir le message clair. Totsuka était mort. Seul information ? Un mort sur place, ils étaient deux, il en avait peut être eu un par surprise ? Tu es coupé dans tes suppositions par l'arrivé de ton plat. Soit. Le poisson est l'un des aliments préféraient des chats, étant un hybride entre le chat et l'homme, tu es toi même particulièrement attiré par les acides du poisson particulièrement bon pour le rythme cardiaque, vous observerez le contraste Nicotine - Poisson, ainsi que la digestion et la vue. Le lait quand à lui ? Ton petit malin. Un plaisir interdit que tu ne peux t'offrir que rarement. Tes pupilles se dilatent à peine les première gorgée bue et avalé pour le poisson. Tu sens tes papilles frétiller et tes canines pousser légèrement pour dominer tes autres dents. T'efforçant de réguler tes pulsions, hormones afin de savourer ton repas, tu ne remarques pas le manège qui a lieu dehors, à quoi bon.

Alors cela tourna au vinaigre. Ton visage avait tourné depuis ces conneries et malgré que le pays du fer soit neutre, la peur les forçait à agir. Il ne fallait pas risquer de détruire la magnificence du monde Shinobi. Ricanant légèrement face aux deux gradés qui lui faisait face, tous beau dans leurs armures luisantes, tu t'interdisais l'utilisation du chakra. Ne répondant que par un sourire narquois aux recommandations des deux, tu attends patiemment leurs attaques. « Nous te prions de nous suivre à la prison de sa seigneurie. » La première ne tarde pas, tu passes sous la lame, laissant le tranchant frôler ta nuque. Tu n'avais même pas fini ton poisson, cependant la monnaie était bien posé sur la table. Et puis, ce n'était pas le moment de penser, tu esquives donc la lame, passant sous le bras armé de l'homme, les mains dans les poches avec ce sourire toujours accroché aux lèvres. Agilement, tu bondis, te servant de la tête du premier pour atterrir à la gauche du second qui se prends un kick dans le casque que personne n'aurait jamais aimé prendre. Ton pied brise le casque dans un bruissement fourbe, briser est un grand mot pour l'occasion, il est bien fissuré et les deux sont bien sonnés. T'abaissant dans une courbette symbolique, tu t'enfonces une nouvelle fois dans la foule. Maintenant, le fer sait que le vermeil est dans la flopée. Une nouvelle fois, tu te faufiles, remarquant sans mal que tu es à nouveau poursuivie. Tu commences alors à jouer de tes aptitudes. Ton agilité, ta vitesse et tes réflexes. Tu passes de justesse entre deux gars costauds portant un nombre impressionnant de grosses plaques de bois, passant au-dessus de la friteuse d'un cuisinier puis tu passes dans une herberie, ou droguerie, dans laquelle tu te sers rapidement en choisissant divers variétés d'herbes à chats que tu enfonces dans ta poche sous le regard du tenancier, esquivant d'un saut latéral les foudres de ce dernier avant de bondir sur le chapiteau en toile, prenant appuie sur une fenêtre de ta main gauche, te servant d'un balancement pour atterrir sur une toiture inférieur d'où tu bondis pour atterrir sur le toit d'une enceinte plutôt grande en position assise. Toujours plonger dans ta raillerie, tu les regardes courir alors que seul le silence ne répond à leurs demandes. C'est alors que des cries te sortent de tes pensées. « Descend de là enfoiré ! Garde, garde ! »[Finalement, tu ne peux qu'étouffer une remarque cinglante lorsque le vieillard tocard se retrouve face contre sol, éberlué par le nombre de fantassin qui débarquent devant son enceinte. Il devait en avoir une vingtaine. Ma fois, c'est pas si grave, on dit bien que les chats ont neuf vies, ça fait un peu plus de deux par vie. Toujours aussi narquois, tu les laisses s'approcher, te rejoindre en haut de l'enceinte. « Témé ! Tu ne t'échapperas pas cette fois ! » Un nouveau combat, les vingts n'étaient pas encore monté et attendaient certainement de me voir à l'action, soit. Le cliquetis des sabres sortit du fourreau te bousille l’ouïe, tu n'en tiens pas compte et te permets même un ricanement. Pointant un adversaire des doigts, ces mêmes que tu ramènes vers toi dans un mouvement purement provocateur qui fait mouche. Tu tournes sur toi-même, envoyant ton pied dans la joue du premier, enchaînant avec ton poing qui rencontre l'armure métallique qui se fissure, tout autour du poing, alors que le temps semble se figer, le corps en lévitation autours de mon bras enfoncé dans ce que j'imagine être son estomac. Le bruit des articulations métalliques nous surprends tous et l'armure tombe lentement sur le côté, tu tournes alors légèrement le regard, il continue de monter. Tu te laisses tomber du toit, retombant souplement sur le sol, ton blouson recueillant la poussière. Les deux bras sans le dos dans une position qui se veut aérodynamique, tu te rues sur les quelques uns encore au sol, tu sautes au-dessus d'eux, enfonce ton pied entre les omoplates d'un et l'envoit donc dans le mur d'une boutique pour enfant, qu'il défonce. « Sugoi ! Encore de la Seppuku en vue. C'qui est bien avec vous c'est qu'on a pas besoin de vous tué, vous le faites de votre propre chef. C'est cool ! » Et finalement, tu renonces à te relancer dans la bataille, trop nombreux. Tu te retournes, t'enfonçant une nouvelle fois dans la foule, fouillant rapidement dans ta poche pour trouver l'herbe que tu as piqué plus tôt, te préparant à l'utiliser. C'est alors que tu te rends compte de ton erreur, Ton issu est fermé par une dizaine de Samurai, cinq - six te suivant de prêt. Tu décides donc d'enfoncer l'herbe dans ta bouche et entreprends de la grignoter.

« Yare, yare.. Je ne voulais pas en arriver là, ni forcer sur le Seppuku, mais j'ai pas vraiment le choix. Vous m'en excuserez, Samourai. Mais vous faites de bon test. » Test pour cette herbe toujours, tu ne t'amusais pas, loin de là. Passant doucement ta main sur ton épaule, légèrement entaillé, à des endroits qu'un combattant aguerrie sait indolore. Aucun risque, tous comme dans ton dos. L'adrénaline te monte progressivement au cerveau, ton rythme cardiaque s'accélère et.. Cette fois-ci tu ne cherches pas à le calmer. En fait, pas que l'adrénaline, tous le système des hormones. Tu sembles plus imposant alors, tes yeux dilataient, ta peau rougie, tes muscles bandaient et ta poitrine qui se gonfle d'un seul coup. Cette ivresse ne fait pas tourner la tête..  « Gomen, gomen. But.. Showtime. » Et dans un mouvement possédant la grâce spectrale. Tu utilises une technique de l'ancien temps, un pas, tu lâches du chakra sur le sol et tu glisses dessus pendant un court moment. Brève action. Qui permet de tuer rapidement. C'est comme ça que tu passes de quelques mètres à quelques centimètres. Le pied niché entre les côtes de ton opposant alors que le katana d'un autre se lève, se plantant dans la poitrine de ta précédente victime dans lequel il reste bloqué. Ta main pénètre son corps, saisissant son estomac que tu tires brusquement, le corps s'écroule rapidement. Le massacre n'en est qu'au début. Les gorges se tranchent, se séparent de l'enveloppe vide d'âme dont la porte n'a pas tardé à s'ouvrir. Les armures ne suffisent plus pour tes coups. T'en embroches même trois à l'aide d'un de tes Taijutsus. Le sang te recouvre et finalement, le prince rouge montre à tous pourquoi on l'appelle ainsi. Enfin, une des raisons. [...] Cela faisait quelques minutes que le massacre était fini. Tu étais assis sur l'une des dépouilles, laissant ton rythme cardiaque se calmait, cela pouvait être dangereux pour toi. Tu n'avais pas que ça à faire. Te séparant du lieu de combat, tu t'évanouis dans la clarté, la rue était morbide et pas un bruit n'en sortait. Tu n'avais fait aucune différence entre civile et samourai, tous était mort. Ce n'était pas pour rien que l'on disait que les membres de ton clan était violant.  Finalement, tu pénètres dans une échoppe nommait "Homra".  Inspirant l'air pollué d'éthanol de l'endroit, saluant le barman d'un mouvement de main tu vas t'accouder au comptoir. Bizarrement, tu n'arrivais pas à ne pas aimer ces gars, tous étaient tellement sympathique, tu en oubliais presque leurs quotidien. On ne te sert rien, on se content de poser sur le bois lustré et peint les dernières informations sur la mort de ton coéquipier, sachant que seul la mort de l'importun pourra te soulager. Ta mission commençait maintenant. « Méphistos.. Tu devrais te poser ici cette nuit, tu n'es pas propre, tu ne pourras sortir d'ici sans qu'on te reconnaisse et j'entends les armures de mon comptoir. Tu connais la chambre des membres. » Tu remercies le dénommé Honizura. Lui montrant brièvement la flamme peinte sur ton épaule avant de t'enfoncer dans la chambre. Le signe n'était pas demandé, mais devait être montré à moins d'être question à de nombreuses .. nombreux ennuies on va dire. Gardant le paquet de feuille contre toi, tu allais avoir de la lecture, c'en était sûr. Les marches grincent, la porte grince, le lit grince. Mais tu te sens plus chez toi que d'habitude. Tu ne peux empêcher d'avoir une pensée pour ton fils, qui doit être entrain de se brûler avec sa casserole, de pleurer ton départ, de noyer son angoisse. Mordant ta lèvre inférieur. Que peux-tu y faire ? Quoi que tu puisses en dire, tu aimes l'adrénaline et te soustraire de celle-ci te tueras. Finalement, tu t'allonges sur le lit, regroupant tes mains derrière ta tête avant de te relever. Dégueulasse. Tu enlèves ta veste, la posant sur une chaise avant de retirer ton collier, ta bague et ton Tee-shirt que tu poses aussi sur la chaise, le pantalon suit alors que chaussure et chaussette reste en place. C'était sale. Les habits sont traîné sur le pas de la porte, quelqu'un les cherchera. L'angoisse te prends, tu connais tes habitudes. Tu t'allonges sur le lit, appréciant le moelleux, passant tes mains derrières ta tête, tu ne peux fermer les yeux sans que l'obscurité te hante, tu savais à quelle point elle était dangereuse. Loin de toi l'idée de douter, cependant proche de toi l'idée de te faire tuer. Grognant légèrement, tu te lèves une dernière fois, tournant le verrous, plongeant la pièce dans l'obscurité totale, ne laissant qu'un fin trait lumineux. La cloche du fer sonne le onzième coup du soir. Soit, c'est l'heure de se coucher, l'heure à laquelle normalement le vermeil coule le long du satin. Mais soyons patient, la mort frappera l'imbécile qui a osé toucher à Homra. Tu penses une nouvelle fois. Totsuka est le seul à pouvoir calmer tes crises lorsqu'elles te prennent, comment faire maintenant que celui-ci est mort ? Comment savoir que tu n'allais pas te consumer cette nuit et réduire cette pathétique ville en cendres ? Après tous, c'était bien l'origine de tes cauchemars. C'était pour ça que, fut un temps, tu cherchais la meilleur prison pour que l'on te capture. Finalement, ta voix tremble, mais tu laisses échapper quelques mots qui te tiennent à coeur. « Arigatô Totsuka, pour tous ce que tu as fait jusqu'à présent, ta mort sera puni.. Sois en sûr. Arigatô Homra, de me suivre dans mes entreprises plus égoïste qu'utile. » Et le dernier filin de lumière s'étend, signe que même la lune venait de passer au-dessus de la maison ou que les nuages avaient grossis.




Chapter two

La sueur coulait le long de ton front, tes cheveux collaient ton visage et de ta bouche émanait une sensation pâteuse fortement répugnante. Tu passes lentement ta main devant tes yeux, tremblotante à souhait. Ta bouche se tord en un rictus, une nouvelle fois tu avais rêvé de ta mort, c'est comme si la faux se posait contre ton gout, y traçant un fin filet vermeil qui, petit à petit, s'agrandira. Tu repenses à ton cauchemars, celui qui te suit depuis maintenant tant d'année. Tu te vois, les flammes ravageant tous ce qu'il y a autours de toi, le feu purificateur, mais tu perds le contrôle, ta main brûle, ta peau noircit et tes veines sont étrangement retranscrit en filament orangé. Ton propre chakra te consumant. Délicatement, tu remets une de tes mèches rebelles vers l'arrière, tes cheveux sont gras, une bonne douche.. Toilette, te ferais énormément de bien. Sortant doucement de ton lit, tu ne dors jamais après ce cauchemars, t'façon. Tu sors doucement de la pièce, faisant grincer chacune des parcelles sur lesquels tu marches. Délicatement, tu prends un Tee-shirt blanc et ton pantalon, enfonçant tes pieds dans tes chaussures et tu sors. Respirant l'air frais du matin. Finalement, tu n'avais même pas eu trois heures de sommeil. Tu savais que dans cette baraque, tu les avais presque tous sauver. Tous t'en devais une et aucun ne te trahirais. Enfin, tu le pensais avant ce salopard de Fushimi qui l'avait trahis pour le roi bleu. S'en était suivi des dizaines de déménagement. Tu sors ton paquet de "Marlboro", marque de cigarette qui t'avais particulièrement plu. Personne ne traînait dans les rues à cette heure là, les boutiques étaient fermés, les enseignes se balançaient au grès du vent et claquait contre l'impossibilité d'aller plus loin. Tu souriais, bizarrement, tu ne pouvais penser à tes problèmes ainsi. Te concentrant sur ton ouïe afin de trouver la rivière la plus proche, tu ne tardes pas à te retrouver dans l'eau gelé pour nettoyer tes plaies. [...] Le chemin du retour se fait en silence, toujours personne, cependant une mauvaise impression te guette, tu n'as pas avancé pour Totsuka. Tu pensais que c'était tes collèges du clan Bleu qui avait fait le coup or, on ne s'attaquait pas à un membre du clan destruction ainsi, sans s'attendre à de terribles représailles. Sachant parfaitement que la tête de l'homme était mise à prix, tu savais que tu pourrais te faire de l'argent et donc faire passer cela pour une mission, tu évitais donc la perte de temps. Pénétrant dans l'enceinte, tes yeux s’écarquillent lorsqu'une touffe de cheveux blanc et des yeux rouges vermeils se tournent vers toi. Ton fils. Heureusement que tu t'étais lavé. Tu t'avances lentement, posant ta paume sur ses cheveux que tu ébouriffes avec un sourire. Aucun mot, tu ne sais comment parler à cet inconnu.. Des paroles te reviennent, distinctes, cependant tu ignores d'où elles viennent exactement. « Tu te bats pour ce que tu crois juste, pour défendre une noble cause. Tu as sacrifié ton bonheur pour cette cause. » Finalement tu te baisses, dépose un simple baiser sur le front de ton fils avant de relever, déposer une enveloppe pleine de billet sur la table. Des ryos volaient, piqué à l'organisation, piqué aux riches. C'était suffisant pour qu'ils veillent sur lui encore, ils le faisaient gratuitement, mais ça te faisait plaisir. Toujours. Passant doucement une main sur ton ventre, refaisant les contours que tu connais maintenant par coeur de ton sceau alors que les bruits de tes bottes sur le parquet s'éloignait. « Je venge Homra, mes amis. » On t'avait doté de puissance, ce n'était surement pas pour que tu n'en fasses rien, c'est pourquoi à peine sortir ton énergie explose. Ce rêve obligeait réaction et la première était de se dépecer de ce trop plein d'énergie quotidien. Tu savais où aller, tu savais comment agir, tu savais comment faire. Et tu bondis, laissant le vent fouetter ton visage, laissant cette sensation prendre ton corps, ton bien être explose, c'est ça que tu aimes.. La liberté. Le village de l'herbe allait en patir, tous pouvait en être sûr, cependant en attendant, fallait courir pendant une journée, trouver de quoi béqueter et tout y faire cramer. « No Ash. » Et lorsque deux ninjas se laissent apercevoir, une terrible sensation te prends dans le bas ventre, le chakra noir s'échappe, tes yeux se noircissent, tes babines se retrousse et un hurlement faisant fuir la faune surgit de ta cavité buccale. Le vent n'a plus d'effet sur toi, tu disparais purement et simplement, la seconde d'après deux têtes roulent sur le sol, deux corps s'écroulent en bougeant une dernière fois. Et tu restes derrière eux, la main retroussé contre ton corps, les cinq doigts collaient l'un à l'autre et une expression terrible sur le visage. La chaleur te parvient à nouveau. Les sentiments reprennent le dessus et tu reprends ton expression faciale normale, les yeux dans les nuages. Un soupire s'échappe de ton être et tu marches. Lentement. « Yare, yare.. Même pas amusant. » Cela ne faisait plus aucun doute, à partir de maintenant, tu étais en mission et le village de Kusa allait s'en souvenir, de cette mission.. L'éclair rouge marchera sur les pleines et rien ne pourra l'en empêcher. Et cette fois-ci, c'est le frémissement d'un bosquet qui t'attires. Une nouvelle fois, tu deviens félins, te penchant sur tes quatre pattes. Il faut croire que plus la haine est présente, plus tes entreprises générales deviennent félins. Et tu bondis. Dans la forêt noire, malsaine, poursuivant un lapin sauvage. Sautant sur le tronc d'un arbre dont l'écorce est presque pulvérisé, tes mains s'enfoncent dans le bois, tes mollets se préparent et tes cuisses se contractent. Le sang afflue dans les différents muscles, tu bondis. Pulvérisant l'arbre, outrepassant les branches d'un bosquet, esquivant le tronc d'un autre arbre et passant par-dessus une crevasse, tes pieds reprennent contact, tes mains se posent sur le sol et passent entre tes jambes qui te propulsent à nouveau plus loin. La nature reprend ses droits. Quelques instants plus tard, le lapinou entre les dents, tu le reposes simplement, tu n'avais pas fin, simplement envie de jouer. Et tu reprends tes bonds, tu allais plus vite et plus vite le sang malsain des opposants coulera, plus vite tu seras satisfait.


[...]




Kusa no kuni...




(c) AMIANTE



Dernière édition par Mephistos Phellec le Mar 16 Juil - 1:11, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [ Mission de Rang A - Background - Solo ] RED KING. ♚   [ Mission de Rang A - Background - Solo ] RED KING. ♚ EmptyLun 15 Juil - 23:42

Mephistos Phellec a écrit:

DESTRUCTION


MEPHISTOS ▽ Pas de sang ! Pas d'os ! Pas de cendre ! ♚ 



奔放万物の霊長
Les caprices d'un Roi.

Tes pas frôlent l'herbes. Un soupire s'échappe de ta bouche et tu enfonces tes mains dans tes poches, laissant le poison en ta bouche se consumer lentement.  Cependant, autrement que ce poisson qui est entre tes lèvres, c'est ta colère qui te consume. L'épée de Damoclès divine se dessine lentement dans les cieux, au-dessus de ta tête. Contrairement à celle des autres rois, la tienne semble s'effriter, lentement, mais surement ? Pourquoi ? Ta puissance ne peut être contenu ainsi dans une enveloppe charnelle humaine. Ta fin est proche, tu le sais très bien. Le sceau du Yin devient vraiment trop faible et aussi puissant sois-tu la puissance d'un Bijuu ne peut être retenu. Autrement ? Le Meiton n'est pas une affinitée sans danger, ce n'est pas pour rien que les ténèbres sont les ténèbres. Ta puissance, trop irréel pour être réel est en effet irréel puisque dangereuse pour ta santé. En fait, tu ne pouvais jauger correctement les dégâts dès maintenant, tu pensais même mourir en combattant avant, mais il te reste approximativement cinq ans ? Si tu ne forces pas trop. Tu souris. L'herbe ça brûle. Les maisons brûlent. L'espace d'un instant tu vois la vision divine de ce village réduit en cendre. Puis tu avances, tes pas frôlent à nouveau le sol, les toucher sans les toucher, avancer sans se pousser, tu sembles irréels tant tes pas sont léger, semblant flotter au-dessus du sol. L'avant destruction semble avoir sur toi un effet apaisant. Une aura semble s'élever des personnes que tu croises, un compte à rebours au niveau de la poitrine, une date de mort, se jouant au niveau des secondes, des minutes. Mais aucunes heures. Tu te savais sur le point d'exploser, Totsuka pour toi, ce n'était pas n'importe qui, ce n'était pas un abruti que tu pouvais jeter et remplacer. Non. Totsuka c'est l'homme qui pouvait t'approcher, mais que tu pouvais détruire plus facilement que n'importe lequel d'autre, aucun pouvoir ninja, pas plus intelligent que la normal, pas plus physique que n'importe qui. Cependant, entouré des gros bras, des durs, des hommes que tu avais sauvé de la mort qui t'avais remercié en te rejoignant, arborant tous fièrement la flamme rouge au creux de la poitrine, il semblait à sa place. Et quelqu'un l'avait tué. Cela avait attisé la flamme, l'oxygène était parvenu plus rapidement qu'il le fallait en son foyer, foyer qui avait décidé de régler lui-même le problème. Le charbon de bois ne pouvait être éteint aussi rapidement, la vengeance se fera par le dégagement de vapeur, dégagement d'âme, la vie ne sera pas quitte de la mort et la mort sera, un cours moment, plus puissant que la vie. Cependant le cours des choses reprendra une fois la peur de la mort passé, les hommes procréeront, les géniture se feront tué, et les parents enterreront leurs enfants. Tu ne joues même plus de tes épaules pour passes, tes mains toujours aussi bien fourrée dans les poches de ta veste, une cigarette au bec et tes cheveux vermeils reflétant parfaitement la lueur de l'astre rouge. Tu ne sais pas encore où ils sont, tu ne sais pas où ils se cachent, mais une chose est sûr, quand ta main les attrapera, que tu tiendras l'un de leurs crânes dans ta paume, rien n'empêchera le sang d'éclabousser le sol, la terreur se propager sur les visages de ses copains, la mort ayant déjà posé la faux sur leurs jugulaires. Tu rigoles franchement, le logo des bleues apparaît au loin. « Yare.. FUYEZ TOUS.. FUYEZZZ ! » Et le hurlement s'élève jusqu'au cieux, bougeant nuage et soleil, faisant fuir même la lumière des cieux. Autrement ? Les maisons sont repoussés, les corps volent, s'entrechoquent dans des bruits peu appétissant. Tu les regardes s'enfuir contre leurs grès, alors que de la maison que tu souhaitez initialement détruire émerge cinq ninjas, dont un plus puissant. « Roi bleu.. Ahah.. Ahah. Ahahahahah ! Tu es. Mort ! » Et tu t'avances, avant de prendre de la vitesse, tu disparais, enfonce ta main dans une poitrine, explose le crâne de ton autre main, avant de saisir à pleine main la colonne vertébrale de l'homme, que tu extirpes du corps, ne fixant plus le mort, mais les cinq vivants. La terreur se lit, tu t'en régales. Tu passes ta langue le long de tes lèvres. Aucun mot n'était sortie de leurs bouches, tu tenais cependant à souligner ce qui allait, aujourd'hui, causer leurs morts. « Vous allez tous payer pour la mort d'Hyuina Tosuka. TOUS. TOUS AUTANT QUE VOUS ÊTES. Craignez la colère d'un dieu. Craignez là. » Il pose leurs mains sur la garde de leurs épées, qu'il dégaine négligemment, pour se donner un certain style. Tu ricanes. Ton épée de Damoclès apparaissant une nouvelle fois au-dessus de ta tête. Ils sont morts, tous. Tu ne t'attendais pas à l'attaque Futton du chef du groupe. Attaque que tu t'appropries en la faisant disparaître dans une de tes dimensions ténébreuses, dans le même temps, tu composes une autre série de signe, apparaît derrière eux un trou d'où s'échappe un très grand nombre d'armes de jets. Tu hausses les sourcils, ce ne sont pas des faibles. Tu fonces, fait un pas en avant, un autre. Tu te retrouves devant l'un d'eux, contre un coup d'épée avec ton avant bras, tu fais glisser la lame le long de celui-ci, tu esquives le coup d'un autre en te décalant sur le côté, ton pied se loge au creux du ventre du premier, ton corps explose, les corps sont repoussés. Tu es au centre d'un cratère, quatre corps vivants autours de toi, se relevant d'un bond. Tu es au centre, cependant un corps manque, celui du chef, d'un bond sur le côté, tu te sauves la vie, l'épée de Damoclès semble avoir loupé sa cible. Une mèche de tes cheveux tombent au sol, tentant de le prendre d'un coup de pied, il esquive en se mettant verticale à son épée, tu tentes alors, jouant de ton agilité, d'user de ton autre pied, qui se soulève, te fait partir en arrière et ne heurte rien, d'une part, un visage, d'autre part, mais pas celui de la cible initiale. « Vous êtes mort. »





Les paroles de ton défunt ami te reviennent en tête. Ta rage ne fait que te consumer encore plus. Consumer le roi Rouge, le roi du feu ? Pas trop bizarre ? Doucement, tu passes ta main sur ton sceau, on va aller vite. tu tournes lentement, le chakra t'entoures, la force noir t'enveloppe, tu les vois de haut, ton corps est enveloppé de flamme noir. [...] Kusa no kuni est couvert de flamme noir. Le village n'est plus ce qu'il était, autours de toi ? Des centaines de corps. Tu es couché au sol, laissant la pluie tomber lentement sur ton visage. Le clapotis t'adoucis. Tu es apaisé, ton amis est vengé.




[/font]

(c) AMIANTE

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MessageSujet: Re: [ Mission de Rang A - Background - Solo ] RED KING. ♚   [ Mission de Rang A - Background - Solo ] RED KING. ♚ EmptyMar 16 Juil - 15:55


Correction RP


> Nom du Personnage <

    Positif

    - Style d’écriture vraiment intéressant, tu maîtrise la deuxième personne
    - Le tout est très entraînant et plaisant a lire
    - Ton personnage tu le joue merveilleusement bien, on se croirait dans sa peau en lisant
    - Le tout est d'ailleurs très zolie <3

    +10


    Négatif


    - J'aurais aimé encore plus Razz
    - De légères fautes mais bon, on est humains donc, rien de grave, minime donc on s'en fou je dirais^^



    Récompense


      Nombre de mots : 1151 + 3797 = 4948
      Gain de mission : 30 xp | 250 ryos
      Calcul :  4948 / 20 = 247

      Expérience gagnée : 30 (gain mission) + 10 + 247 = 287
      Ryos gagnés : 250




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